Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020
Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020
Le beau temps est revenu à la piscine de Porrentruy, et depuis mercredi, l’affluence va en augmentant.
L’agent de sécurité Jean-Marc Vallat était tout sourire: «Tout va mieux à la piscine, sans les fauteurs de troubles français».
Exclure les étrangers? La mesure prise par le Conseil municipal de Porrentruy est jugée discriminatoire par une frange de la population et par des politiciens qui ne sont pas tous de gauche. Mais à la piscine, les habitués ajoulots applaudissent: «Ouste, les casseurs! C’est mal fait pour les familles, mais c’est mieux comme ça», disent trois retraités en sortant de la piscine.
(…)
Responsable de la piscine, Thomas Schaller est satisfait: «Les utilisateurs nous disent «merci» tous les jours». Jean-Marc Vallat renchérit: «Les gens sourient en mode vacances, alors qu’avant, à cause des fauteurs de troubles, ils étaient tendus. Certains détenteurs d’un abonnement renonçaient à venir.»
Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020
Portland : des Antifa malmènent une dame âgée et l'aspergent de peinture ; ils en empêchent une autre d'éteindre un feu qu'ils ont allumé.
La dame répond : « Vous savez quoi ? Nous mourons pour vous. »
*
Source : lesobservateurs
Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020
Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020
Le Conseil constitutionnel a censuré l’article controversé qui prévoyait la mise en place de mesures de sûreté à la libération des détenus condamnés pour des faits terroristes dans le cadre d’une nouvelle loi adoptée définitivement le 27 juillet dernier par le Parlement.
« Les articles 1er, 2 et 4 de la loi instaurant des mesures de sûreté à l’encontre des auteurs d’infractions terroristes à l’issue de leur peine sont contraires à la Constitution« , a écrit le Conseil constitutionnel dans un arrêt public rendu ce vendredi.
La loi prévoyait que le procureur pouvait requérir des mesures de sûreté à l’encontre des personnes condamnées à une peine d’au moins 5 ans pour des infractions en lien avec des faits de terrorisme, allant de l’interdiction de paraître dans certains lieux ou de rencontrer certaines personnes, au port du bracelet électronique, en passant par un pointage régulier auprès des services de police ou de gendarmerie. Des mesures applicables à la sortie du détenu après avoir purgé sa peine. […]
« La mesure contestée permet d’imposer diverses obligations ou interdictions, le cas échéant de manière cumulative, qui portent atteinte à la liberté d’aller et de venir, au droit au respect de la vie privée et au droit de mener une vie familiale normale« , ont fait valoir les Sages. Alors que le gouvernement voyait dans ces mesures un moyen de « protéger la société » en prévenant le risque de récidive, ses détracteurs dénonçaient une loi « populiste » permettant la mise en place d’une « justice prédictive ». […]