Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 36

  • Louis Aliot mis sous surveillance par l’Union des Etudiants Juifs de France

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    Photo ci-dessus : Louis Aliot en Israël, kippa sur la tête.

    Enième démonstration qu’aucun gage donné par le Rassemblement National ne suffira pour être admis au club : l’Union des Etudiants Juifs de France annonce son intention de surveiller de près la politique de Louis Aliot à la mairie de Perpignan.

    On ne compte pourtant plus les signes d’allégeance offerts par Louis Aliot pour être classé “fréquentable”. A peine élu maire de Perpignan, Louis Aliot n’est-il pas allé chercher son directeur de cabinet au… parti socialiste ? Stéphane Babey, nouveau directeur de cabinet de Louis Aliot à la Mairie de Perpignan, était jusqu’alors directeur de cabinet adjoint de la présidente socialiste du Conseil départemental des Pyrénées-Orientales.

    Pourtant, l’Union des Etudiants juifs de France souhaite la création d’une association de vigilance destinée à mettre sous surveillance le maire de Perpignan et son équipe. C’est ce qu’a annoncé le jeudi 6 août en conférence de presse Noémie Madar, la présidente de l’association communautariste juive.

    Il est pourtant difficile de suspecter Louis Aliot de la moindre sympathie à l’égard de l’antisémitisme. L’ancien “compagnon” de Marine Le Pen a suffisamment répété être juif et porter autour du cou l’étoile de David de son grand-père rabbin.

    Louis Aliot se rend régulièrement en Israël pour y rechercher des soutiens.

    C’est aussi Louis Aliot qui accompagnait Marine Le Pen lorsque celle-ci avait participé à une réunion avec la délégation du Parlement Juif Européen.

    C’est encore Louis Aliot qui accompagnait Gilbert Collard pour une réunion avec la Confédération des Juifs de France et amis d’Israël en vue de les convaincre de soutenir Marine Le Pen à l’élection présidentielle.

    C’est toujours le même Louis Aliot qui retweetait un message de la télévision israélienne i24News affirmant que la France est le pays qui compte le plus de tweets antisémites, d’après un recensement effectué par l’Ambassade d’Israël en France.

    Et Louis Aliot poursuit dans cette voie maintenant qu’il est maire de Perpignan.

    Louis Aliot a en effet validé l’élection de Maurice Halimi au statut de président du conseil d’administration du Théâtre de l’Archipel, le 30 juillet. Un geste stratégique envers la communauté israélite de la capitale du Roussillon, puisque Maurice Halimi est le frère de Daniel Halimi, président de la communauté juive de Perpignan.

    Et pour encore accentuer les bonnes relations, la rumeur prétend que Louis Aliot fera tout pour que Maurice Halimi obtienne également la présidence du festival du photojournalisme Visa pour l’Image.

    Cela ne devrait pourtant pas encore suffire pour obtenir son carton pour le dîner du CRIF…

     

    Source : medias-presse.info

  • 10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    contre-info Auteur : Rédaction

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :

    « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
    Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
    Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

    Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
    Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
    Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

    Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
    Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
    Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

    L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
    La période appelée « la Terreur » allait commencer.
    Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
    Naissance de la République.
     
  • Le chaos libanais.

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    1596900959_photo.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé ddélégué général du Parti de la France
     
    A Beyrouth, des dizaines de milliers de Libanais, pour la plupart chrétiens, manifestent leur colère contre le régime féodalo-mafieux, construit sur la corruption et la mise en coupe du pays au nom d'intérêts privés et d'enjeux fixés par des puissances étrangères. Les manifestants parlent de révolution. Mais une révolution suppose l'existence d'un peuple et nous savons qu'il n'y a ni nation ni peuple libanais. 
     
    Tout à la fois empli d'arrogance, lourd de tartarinades et consternant de naïveté, le déplacement guignolesque de Macron à Beyrouth en milieu de semaine, n'aura eu pour effet que de brouiller encore un peu plus les cartes en suscitant de faux espoirs et en feignant d'ouvrir des portes condamnées. 
     
    Dans ces conditions, ceux qui, en France, soutiennent la pétition poignante et déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.
     
    Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.
     
    Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est-à-dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:
     
    " Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité ". 
     
    En attendant, le Hezbollah qui, pour le moment fait profil bas mais ne doute pas que le chaos lui profitera, continuera d'étendre sa main mise politique et militaire sur le pays, les organisations internationales profiteront des programmes d'aide humanitaire pour conforter leurs plans, des dizaines de milliers de Libanais seront contraints à l'exil, tandis que loin des soupes populaires sur lesquelles devront compter ceux qui resteront, les milliardaires de la diaspora continueront leur vie de nababs.
  • Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2020

    Une Lampédusienne raconte l’enfer vécu sur l’île avec les débarquements de migrants qui ne s’arrêtent jamais : « Regardez ce qu’ils font ici… ».

    « Ce n’est plus possible de continuer comme ça ! » : Rosy Matina est une Lampédusienne dont le terrain, acheté par son père en 1967, borde le hotspot de Cala Imbriacola. Elle n’en peut plus.

    La nuit, les immigrés montent chez elle et campent, boivent de l’alcool, se saoulent. L’air autour de la maison délabrée, dont le toit a été renversé par Rosy elle-même et son compagnon parce que les migrants isolaient des femmes et avaient des relations sexuelles à l’intérieur, est irrespirable. Il y a une odeur d’urine et d’excréments, éparpillée tout autour, semblable à celle perçue près d’un purificateur. Par terre, couvertures prélevées sur le hotspot, vaisselle, restes de nourriture, matelas.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1292086029147570177

    «Un soir, nous sommes arrivés – dit-elle – et nous avons trouvé des gens qui campaient. Ils nous ont offert du haschich. Une autre fois, je suis venu avec ma fille et 14 d’entre eux étaient ivres et nous ont harcelées sexuellement. J’ai glissé le long de la falaise vers le hotspot. Ma petite fille m’a couru après. Nous avons demandé de l’aide à la police. Ils nous ont dit que les migrants sont intouchables. Ils font ce qu’ils veulent ».

    La raison ? «Il y a ceux qui gagnent beaucoup de leur présence», explique-t-elle. Rosy est exaspérée par la situation. Elle a présenté de nombreuses plaintes aux carabiniers, a porté plainte, mais personne n’est jamais intervenu. «Ils ont dit qu’ils viendraient nettoyer – précise-t-elle -, mais rien, ils ne sont plus jamais revenus. Le maire Totò Martello doit avoir honte. Il devrait simplement quitter son fauteuil et disparaître. Je vous le dis : si je trouve encore un migrant sur ma propriété, je lui tire dessus. Si mon père avait été là, il aurait utilisé le fusil de chasse ».

    Rosy vivait des récoltes de sa terre, de ce qu’elle gagnait en élevant des moutons et des poulets. «Je n’ai plus que les porcs – poursuit-elle -. Ils ne les mangent pas car pour les Arabes c’est interdit. Mais ils ont mangé quatre de mes chiens ». Elle dit cela en nous montrant les restes d’un petit chien. «Ils l’ont dépecé – dit-elle – et ils l’ont fait sur le gril. Vous voyez, juste là, où sont les couvertures ».

    Il Giornale

    Via Fdesouche

  • Pic d’interventions pour tapages nocturnes cette nuit à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2020

     

    85 interventions pour tapages nocturnes en une nuit. La soirée du samedi 8 août au dimanche 9 août a été particulièrement agitée. Malgré la circulation du coronavirus, les soirées sont nombreuses.

    La nuit du samedi 8 août au dimanche 9 août a été particulièrement agitée. La gendarmerie de Toulouse a dû intervenir 85 fois pour tapages nocturnes. Effectivement, cette année, les relations entre voisins sont parfois un peu tendues. En raison de la circulation toujours active du coronavirus, certains Toulousains n’osent pas vraiment sortir de chez eux. Mais d’un autre côté ils ont envie de passer du temps entre amis ou en famille. Les soirées dans les appartements se sont donc multipliées cette année. Et cela fait du bruit. Parfois trop pour certains voisins

    Il faut dire qu’après des semaines de confinement les Toulousains souhaitent se changer les idées. Certains ne sont pas partis en vacances et avec la chaleur actuelle nombreux sont ceux qui veulent profiter des chaudes soirées d’été.

    Pour info, il est possible de porter plainte pour tapage nocturne à partir de 22h. Pour que les forces de l’ordre interviennent, il faut que la nuisance sonore puisse s’entendre d’un logement à l’autre. L’auteur des faits risque une amende de 68€ avec une possibilité de payement immédiat ou sous 45 jours. Si ce délai est dépassé alors l’amende s’élève à 180€

     

    Source : lejournaltoulousain