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  • Rémilly (57) : Un père s’inquiète de la disparition de ses deux fils qui seraient partis en Afghanistan avec son ex-compagne, convertie à l’islam, et son nouveau conjoint afghan

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2020

    Par  le 12/08/2020

    Le parquet de Metz a ouvert une enquête pour la “disparition inquiétante” d’une mère de famille. Convertie à l’islam, elle aurait quitté la Moselle pour l’Afghanistan avec ses deux garçons et son conjoint, d’origine afghane.

    Son numéro de téléphone « n’était plus attribué », son domicile à Rémilly (Moselle) « était vide », a expliqué Me Arnaud Blanc, l’avocat du père des deux enfants. C’est en effet son client qui a donné l’alerte le 5 août dernier. Cette mère de famille de 33 ans, divorcée du père de deux garçons de 6 et 10 ans, s’était depuis remariée à un homme d’origine afghane. Elle s’était récemment convertie à l’islam. Comme le relaye franceinfo, c’est dans la nuit du 4 au 5 août dernier que le couple et les deux enfants ont quitté la Moselle. Ils auraient pris un avion au départ d’un aéroport en Allemagne. « Nous pensons que la famille se trouve désormais en Afghanistan », a précisé le procureur adjoint, Julien Berger.

    (…) Valeurs via fdesouche

  • Accord secret Chine-Vatican : deux ans après, toujours plus de persécution

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2020

    L’agence de presse missionnaire Asia News fait le bilan deux ans après la signature de l’accord provisoire, dont les modalités restent toujours secrètes, entre la République populaire de Chine et le Saint-Siège. La conclusion est sans appel, et donne raison au cardinal émérite de Hong-Kong, Mgr Joseph Zen, farouche opposant à cet accord tout autant politique que doctrinal qui met les catholiques entre les mains de leurs bourreaux communistes : les persécutions se sont intensifiées, les conditions de vie et la liberté de culte se sont dégradées.

    « Quelques mois après l’expiration de l’accord provisoire sur les nouvelles nominations des évêques, fidèles laïcs, prêtres et pasteurs s’interrogent sur les effets qu’il a eu sur la vie des communautés chrétiennes en Chine, écrit Asia News. Du côté du Vatican, l’espoir est le renouvellement de l’accord. La Chine est susceptible de le renouveler aussi, de l’utiliser comme un outil anti-américain. Reste la question, pas du tout idéologique, de la liberté religieuse.

    « L’accord provisoire que le Vatican et la République populaire de Chine ont signé il y a deux ans expirera le 21 septembre. A cette époque, il y avait des “optimistes” qui louaient cet accord comme “historique” et prophétisaient une révolution copernicienne pour la vie de l’Église en Chine. Aujourd’hui encore, les « enthousiastes par défaut » – très peu nombreux en vérité et toujours les mêmes – poussent au renouvellement de l’accord provisoire. Des personnalités liées d’une manière ou d’une autre au Vatican ont également fait des suggestions à cet égard. Jusqu’à présent, cependant, la Chine ne s’est pas prononcée, mais nous supposons que son approbation de poursuivre l’accord est presque certaine, ne serait-ce que pour embarrasser les États-Unis. En effet, l’accord provisoire – qui traite des nouvelles nominations des évêques chinois, une question purement ecclésiologique et de liberté religieuse – est mêlé à bien des égards à la querelle entre la Chine et les États-Unis et les jugements sur sa valeur dépendent du choix a priori effectué sur qui devrait être la future superpuissance qui dominera le monde. »

    Pour éviter une approche idéologique, AsiaNews a lancé une enquête auprès des évêques, des prêtres et des fidèles laïcs en Chine, leur demandant de raconter comment la vie de leurs communautés a changé et comment leur foi est vécue après le célèbre accord. John, de Shanghai, écrit Asia News « exprime l’embarras de voir le drapeau chinois sur les bâtiments chrétiens, qui est devenu une obligation souvent accompagnée de l’affichage du portrait du président Xi Jinping ». Et Maria, du nord de la Chine « énumère la série de contrôles mis en œuvre sur les communautés, en particulier l’interdiction de donner une éducation religieuse aux jeunes de moins de 18 ans (ce qui est contraire à la constitution chinoise). »

    Un autre laïc chinois fidèle, « Benoit » (pseudonyme) déclare à Asia News : 

    « Par rapport à l’Église du sud, notre situation est plutôt calme. Au cours des dernières années, nous avons eu un bureau relativement stable. Les messes dominicales, les messes solennelles et toutes les activités de prière se déroulaient assez régulièrement. Tout cela s’est terminé par la signature de l’Accord provisoire sino-vatican le 22 septembre 2018. En vue de Noël 2018, le personnel du gouvernement local est arrivé pour nous dire que notre lieu de rencontre serait interdit. » 

    Tout est fait pour ramener l’Église « clandestine » dans celle « patriotique » (fidèle au Parti) puis réduire cette dernière, à la fois en nombre et en importance. Le but est clairement de transformer l’Église en un organe de propagande du Parti.

    John, de Shanghai, raconte encore :

    « J’ai eu un petit choc quand j’ai commencé à voir le drapeau national à l’extérieur du bâtiment de l’église. Il n’y a rien de mal à afficher le drapeau national. Mais pour affirmer le slogan « aimer la patrie, aimer l’Église » [«Ai guo, ai jiao» est le slogan de l’Association patriotique, également entériné par le Conseil des évêques chinois reconnu par le gouvernement], il ne vaudrait pas mieux exposer aussi et en même temps la bannière de la foi, par exemple celle du Vatican ou celle de la paroisse? »

    Maria, confirme :

    « Les murs extérieurs de la paroisse sont couverts de nombreuses normes concernant la culture chinoise et l’administration de l’Église; le drapeau flotte sur le clocher, à côté de la croix, comme s’il voulait remplacer la lumière de la croix. »

    Asia News révèle également combien la pandémie de Covid-19 a encore aggravé les conditions des églises en Chine, contraintes de fermer et de rouvrir seulement après plusieurs mois, et seulement sous certaines conditions, très politiques et pas du tout sanitaires : les personnes souhaitant entrer dans les lieux de culte doivent d’abord s’inscrire en ligne en fournissant toutes leurs données personnelles. Les églises peuvent rouvrir, mais seulement si elles promettent de donner également une éducation patriotique aux fidèles et de respecter les « quatre exigences » : cérémonie de levée du drapeau, enseignement et promotion des lois chinoises, prédication des valeurs fondamentales du socialisme, promotion de la culture traditionnelle chinoise. La campagne des « quatre conditions » a débuté en 2018 (année de l’accord) et avec la pandémie elle a connu une nouvelle accélération.

    Les contrôles d’application des règles sont eux-aussi obsessionnels. Comme en témoigne Teresa à  :

    « Au cours de ces deux années, le diocèse a été confronté à une pression croissante. Par exemple, le dimanche, dès le matin, le gouvernement envoie son personnel à l’église pour vérifier. Certains se tiennent devant l’entrée, d’autres sont assis dans les rangées du fond, d’autres errent çà et là : leur but est de voir le fonctionnement de l’église et ses activités. De plus, le personnel qui reste devant l’entrée vérifie que les enfants de moins de 18 ans ou tout juste accomplis n’entrent pas dans l’église. Lorsqu’ils voient des enfants ou des élèves du primaire, du collège et du lycée qui veulent y entrer, ils les forcent à rentrer chez eux, les empêchant de rester dans la paroisse. Il est strictement interdit d’organiser des cours de catéchisme pour mineurs; même les salles de classe sont fermées. Bref, une grande désolation ! »

    Cela se produit dans les églises officielles, tandis que les églises clandestines, en revanche, sont confrontées à une persécution totale. En avril, dans la province du Jiangxi, au sud-est, l’administration locale a contraint certains des prêtres diocésains, qui ont refusé de rejoindre l’Association patriotique catholique chinoise (APCC), à suivre un cours de formation patriotique de trois jours. Un mois plus tôt, dans la province du Hebei, les autorités ont forcé un prêtre catholique de 83 ans assigné à résidence dans un hôtel à le forcer à rejoindre le CPA. Après trois jours, les symptômes d’une crise cardiaque ont rendu nécessaire l’hospitalisation. Le religieux a donc été renvoyé dans sa ville natale avec l’interdiction de célébrer la messe et d’autres fonctions religieuses. La police vérifie les entrées des églises où il a célébré la messe, pour l’empêcher de revenir ou les fidèles de s’y retrouver.

    Don Francesco, témoigne lui-aussi sur Asia News :

    « Après la signature de l’Accord sino-vatican, les politiques religieuses de notre diocèse ne se sont pas seulement relâchées, au contraire elles ont encore diminué. Les autorités rassemblent souvent des prêtres pour des cours de formation, poussent les prêtres clandestins à rejoindre l’Association patriotique, les arrêtent en les emmenant dans des lieux secrets pour changer leur mentalité ». Et Don Paolo : « Après la signature de l’Accord sino-vatican, la situation de l’Église clandestine est de plus en plus critique, les lieux de prière paroissiaux ont été fermés, la célébration publique de la messe dominicale n’est même plus autorisée, les prêtres ne peuvent pas faire autre chose que célébrer la messe en privé au domicile de certains fidèles, sans pour la participation, le communiquer à trop de fidèles. Malgré cela, même les messes privées sont souvent arrêtées par les autorités locales. »

    Un autre prêtre qui a donné son témoignage à l’agence missionnaire, énumère les règles draconiennes du nouveau règlement des affaires religieuses mis à jour en 2018. Non seulement les membres du Parti ont strictement l’interdiction d’appartenir à une religion, mais aussi tous ceux qui travaillent dans le secteur public.

    « Les employés des organes de l’État et des institutions publiques, qui ne sont pas membres du parti, sont tenus de signer un document dans lequel ils promettent de ne professer aucune religion. De nombreux fidèles qui travaillent dans les organes de l’Etat et les institutions publiques, de peur de perdre leur emploi, trahissent leur religion et abandonnent leur foi. »

    Les règles concernent tout le monde :

    « Il n’est pas permis d’enseigner la foi aux mineurs de moins de 18 ans. » « Les citoyens qui croient en une religion ne sont pas autorisés à être enrôlés dans l’armée. » « L’Eglise ne peut organiser aucune activité éducative ». « Une université a interdit aux étudiants catholiques d’assister à la messe dominicale. »

    Le régime chinois recourt également à de véritables astuces pour fermer les églises, même celles officiellement reconnues :

    « Même si elles sont enregistrées, les églises sont souvent fermées sous prétexte que ‘’le nombre de fidèles est trop petit‘’.  Au moment de l’inscription, les responsables locaux conseillent verbalement à l’Église de ne pas enregistrer trop de fidèles et, par conséquent, certaines paroisses n’en ont enregistré que quelques-uns. Après cela, le gouvernement soutient que ‘’l’église ne peut pas être utilisée avec si peu de gens‘’, et elle est fermée. »

    Mgr Zen prophétisait bien lorsqu’il clamait que cet accord entre le Vatican bergoglien et la Chine, non seulement ne mettrait pas un terme aux persécutions des catholiques par le régime communiste mais serait pareillement une trahison du Christ !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Sous l’impulsion de l’extrême gauche, les Pays-Bas s’enfoncent dans l’idéologie du genre pour satisfaire le lobby LGBT

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2020

    Pays-Bas – Le gouvernement néerlandais a annoncé que, à partir de 2024 ou 2025, les cartes d’identité ne porteront plus la mention du sexe. Début juillet 2020, Ingrid van Engelshoven, ministre de l’Emancipation, a adressé une lettre au Parlement annonçant la disparition de la mention du féminin et du masculin sur les cartes d’identité néerlandaises «à partir de 2024-2025». La ministre considère cette inscription «inutile».
    Les Néerlandais garderont néanmoins la mention de leur sexe sur leurs passeports, pour être en règle avec les exigences de l’Union européenne.

    La raison de cette décision : céder aux revendications politiques du lobby LGBTQ.
    «Les citoyens doivent pouvoir façonner leur propre identité», écrit la ministre, membre du petit parti soixante-huitard D66, qui a imposé le sujet à l’agenda de la coalition gouvernementale.

    La ministre ajoute qu’elle aidera les entreprises à éviter elles aussi «l’enregistrement inutile du sexe».

    «Il y a évidemment un côté révolutionnaire néomarxiste dans cette idée de suppression progressive des genres masculin et féminin», note Wierd Duk, grand reporter à De Telegraaf. «Cette idéologie est née de l’individualisme forcené des années 1960 et du postulat que tout est social. Cela mène à l’idée qu’on peut faire aboutir tous nos désirs puisque les normes de la nature ne sont pas reconnues, notamment la binarité homme-femme. Et, s’il le faut, on utilise une forme de contre-science», dit-il.

    Chris Rutenfranz, ancien criminologue et chroniqueur se demande où s’arrêtera la satisfaction des «droits». «Est-ce qu’on peut décider de changer son âge sur ses papiers, comme l’a récemment demandé un certain Emil Ratelband, car il se sentait offensé d’être vieux ?»

    Geerten Waling, jeune historien spécialiste de la révolution de 1848, s’inquiète de l’absence de débat, qui «pose problème, car elle accroît le fossé entre les gens simples, qui voient la réalité changer et ne reconnaissent plus leur monde, et des élites, qui, loin de donner voix au mécontentement, cèdent aux minorités les plus actives». «Si ça continue, nous aurons un retour de bâton».

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron, les explosions de Beyrouth et la directive Carnegie

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2020

    Un article de l’excellent blog italien de l’essayiste et journaliste Maurizio Blondet fait le lien entre les récentes et meurtrières explosions au port de Beyrouth, une étude du think tank américain Carnegie Middle East Center,  publiée il y a à peine deux mois le 10 juin 2020, et au titre annonciateur Détruire le Liban pour le sauver (Destroying Lebanon to save it) et l’attitude de Macron, l’homme des intérêts mondialistes, lors de sa visite au Liban.

    La thèse de l’étude Carnegie est « simple et efficace », écrit Blondet :

    « Beyrouth est en fait aujourd’hui un avant-poste de l’Iran au Moyen-Orient, car il est contrôlé par le Hezbollah [tous deux déclarés par Israël Amalek ]; pour détruire le Hezbollah, il faut détruire le Liban, puis après le changement de régime, le reconstruire avec le financement du Fonds monétaire international.

    « L’étude Carnegie dicte ce qui suit : le Congrès doit adopter une loi qui “interdit à tous les contributeurs au Fonds monétaire international d’aider à un sauvetage libanais” qui “ne récompenserait que le Hezbollah, à un moment [où] les manifestants au Liban exigent la fin de la corruption et s’opposent au règne du Hezbollah”.

    « La destruction économique et financière du Liban était notoirement déjà en cours, et maintenant nous comprenons mieux pourquoi et par qui elle a été causée. »

    Mais que vient faire Macron là-dedans, certains se demanderont. Réponse de Blondet :  

    « Après l’explosion qui a détruit Beyrouth, Emmanuel Macron y atterrit et que fait-il? Il est reçu par une petite foule qui l’acclame et le supplie de libérer le pays de la “corruption”, et il annonce, ce sera “le début d’une nouvelle ère”, “je ressens votre colère”, “je proposerai un nouveau pacte politique pour le Liban”.

    « Peu de temps après, il apparaît à la télévision et – devinez quoi ? – Il Attaque le Hezbollah. Et il proclame: “Les fonds pour le Liban sont là, mais ils attendent que les réformes soient faites. Il n’y aura pas de chèque en blanc pour le Liban.” Il ne faut pas non plus exclure des sanctions “contre ceux qui bloquent les réformes au Liban”; et “J’ai dit au Président Aoun qu’il était important de changer le système au Liban.”

    « Bref, il est allé exécuter parfaitement le plan du projet Carnegie. En trouvant aussi le ton de l’Européiste, c’est-à-dire cet air de condescendance et de supériorité menaçante (…) : faites les réformes, pas de chèques en blanc … »

    « Il est allé jusqu’à dire, continue l’essayiste italien en citant Macron : “Je proposerai un nouveau pacte politique au Liban et je reviendrai le 1er septembre, et s’ils ne le font pas, je prendrai ma responsabilité politique…” »

    « En clair, précise Blondet, c’est la ligne d’exécution du projet Destroying Lebanon to save it dans lequel on lit : “L’empêchement d’un sauvetage par le FMI n’entraînera rien d’autre que la destruction sociale et économique du Liban, car le pays pourrait bientôt manquer de devises fortes pour importer des produits de première nécessité tels que la nourriture, les médicaments et le carburant. Les choses seront aggravées par la mise en œuvre par Washington de la loi César, une loi sanctionnant le régime Assad à Damas, qui fermera une soupape de sécurité qui consentait au Liban d’effectuer des transactions à travers la Syrie. Le Liban pourrait bientôt découvrir qu’il est devenu un Venezuela sous stéroïdes.” »

    « Bref, ce que le Liban subissait déjà avant l’explosion dévastatrice », analyse Blondet, avant d’ajouter :

    « Quant à Carnegie pour le Moyen-Orient, c’est une émanation du Carnegie Endowment for International Peace, fondé en 1910 par le milliardaire Carnegie pour faire passer le ‘verbe’ américain à travers le monde; il est considéré comme le troisième groupe de réflexion le plus influent au monde, après Brookings Institution  et Chatham House, il possède des bureaux à  Washington DC,  Moscou,  Beyrouth,  Pékin,  Bruxelles  et  New Delhi.

    « Amalek désigne le peuple ennemi mythique d’Israël, dont Deutéronome 25: 17–18, Exode 17:14 et 1 Samuel 15: 3 prescrit l’extermination totale : “De l’homme à la femme, de l’enfant à l’allaitement, du bœuf au mouton, pour que le nom d’Amalek ne soit même pas mentionné en référence à un animal en disant “Cet animal appartenait à Amalek”. »

    Et Maurizio Blondet de conclure :

    « Pour le Hezbollah, c’est fini, je pense. Mais quelle précipitation cependant ! » 

    A la lecture de cette pertinente analyse sur les connections entre ce que d’aucuns appellent ‘le 11 septembre libanais’, l’étude de Carnegie et la visite de Macron, on se dit : étonnement et une fois de plus, voilà des explosions, arrivées fort à propos, qui servent la cause du mondialisme, et de la stratégie politique sioniste américaine… Mais bien sûr cela n’est qu’une coïncidence.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source :medias-presse.info

  • Un politicien israélien déclare que l’explosion au Liban est un « cadeau de Dieu »

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2020

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    Un ancien député israélien déclare que l'explosion au Liban est un « cadeau de Dieu »

    Le chef de parti et ex-député israélien Moshe Feiglin a joyeusement salué l’explosion dévastatrice et meurtrière de Beyrouth comme un « cadeau » de Dieu à temps pour la fête juive « Tu B’Av » (fête romantique pour danser, distribuer des fleurs et chanter.).

    « Aujourd’hui, c’est Tu B’Av, un jour de joie, et un vrai et immense merci à Dieu et à tous les génies et héros vraiment (!) Qui ont organisé pour nous cette merveilleuse célébration en l’honneur de la journée de l’amour. »

    Il a poursuivi en spéculant que l’explosion n’était pas un accident, affirmant qu’il avait une « expérience » des explosifs :
    « Vous ne croyez pas vraiment que c’était un entrepôt de carburant en désordre, n’est-ce pas ? Comprenez-vous que cet enfer était censé nous tomber dessus comme une pluie de missiles?! J’ai une certaine expérience des explosifs. La plus grande explosion à laquelle j’ai participé était de 2,5 tonnes de TNT. Ce que nous avons vu hier au port de Beyrouth était beaucoup plus grand. L’effet destructeur (sans le rayonnement) était comme une bombe nucléaire. »

    Dans une interview à la radio locale, l’ancien député du Likoud a déclaré qu’il espérait qu’Israël était responsable de l’explosion :

    Il a déclaré : « Si c’était nous, et j’espère que c’était nous, alors nous devrions en être fiers, et avec cela nous créerons un équilibre de terreur. [sic]

     

    Source : contre-info