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  • Nos deuils nationaux, nous les réservons à nos soldats tombés au combat.

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
    En rendant un hommage solennel aux six français assassinés la semaine dernière au Niger par la barbarie, le Premier ministre, Jean Castex, venu accueillir leurs dépouilles à Orly, saisit l'opportunité du rapatriement des corps des victimes pour opérer un coup de communication supplémentaire, jouant sur la sensiblerie des uns et le disfonctionnement émotionnel des autres.

    "La France toute entière porte le deuil" a affirmé Castex. Non, la France ne porte pas le deuil, même si bien des Français sont légitimement touchés par ce massacre. Nos deuils nationaux, nous les réservons à nos soldats tombés au combat.

    Ces six expatriés par choix idéologique universaliste, ont fait preuve d'une imprudence qui les a conduit vers les balles des bourreaux et les lames des égorgeurs. Nous dénonçons cette imprudence et fustigeons ces engagements angéliques au service d'une vision béate du monde Bisounours comme nous méprisons ces ONG imbéciles.

    Nous n'en pensons pas moins aux familles et aux amis de ces jeunes gens à qui il appartient, seuls, de les pleurer. La Nation, quant à elle, ne doit exprimer que sa compassion. Pas son emotion. Jamais!

    L'Etat, lui, ne doit affirmer que sa détermination à anéantir la menace islamique. Et, bien plus, que la clamer, la mettre en oeuvre, par tous les moyens, en opérations extérieures justifiées si nécessaires, mais d'abord et avant tout sur notre sol. Tout le reste venant de l'exécutif français fait le jeu des terroristes. En créant les conditions d'une chambre d'écho disproportionnée, le pouvoir accroît l'impact des coups portés par les djihadistes, renforce leur sentiment de puissance et signe un aveu de vulnérabilité nationale.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes debout et costume


     
     
  • Thaïlande : cages en plastique dans les écoles pour combattre le coronavirus

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2020

    Dans la lutte contre le Covid-19, les gouvernements aux ordres de l’OMS font preuve d’inventivité… et de folie : c’est la compétition pour mettre en place la mesure qui sera la plus spectaculaire et… intransigeante. Tandis qu’en Australie, particulièrement à Melbourne, la dictature sanitaire s’intensifie grâce à la permission donnée à la police d’entrer sans mandat dans les habitations, en Thaïlande ce sont les écoles qui deviennent des quasi-prisons.

    La réouverture des écoles à la suite des restrictions anti-Covid s’accompagne de l’introduction de mesures de précaution uniques qui doivent être respectées par les élèves. Parmi celles-ci, des ‘cages en plastique’ dans lesquelles sont enfermés les étudiants et les élèves. Les images publiées cette semaine, relancées par de nombreux journaux internationaux, montrent précisément les élèves de l’école Wat Khlong Toey, une école de la capitale thaïlandaise qui compte 250 élèves, en train de suivre les leçons depuis l’intérieur de cubes en plastique transparent.

    Les instantanés susmentionnés montrent des enfants jouant avec des constructions assis par terre, portant un masque facial, à l’intérieur de ces blocs, positionnés dans toute la classe à une distance d’au moins un mètre l’un de l’autre. L’objectif de la présence d’installations transparentes est de protéger les élèves de toute contamination externe au cours des activités d’enseignement.

    Une autre photo montre que des blocs en plastique sont également installés autour des bureaux des enfants, afin que les plus petits puissent suivre les leçons assis dans une structure antiseptique.

     

    Les précautions anti-contagion prises à l’école Wat Khlong Toey ne s’arrêtent pas là. Avant d’entrer dans l’institut, les enfants sont soumis à une mesure de prise de température corporelle à l’aide d’un thermo-scanner. De plus, dans les couloirs de la structure, il y a des distributeurs de liquide désinfectant pour les mains.

    En adoptant des mesures de précaution anti-Covid, les écoles thaïlandaises ne suivent aucun ordre particulier, certaines d’entre elles mettant en pratique des mesures prudentielles de santé encore plus strictes. Par exemple, l’école Sam Khok, située juste au nord de Bangkok, a demandé à ses quelque 5 000 élèves de s’auto-isoler chez eux pendant quinze jours, avant de donner le feu vert aux jeunes pour qu’ils retournent en classe et recommencent les cours.

    D’autres institutions encore forcent le personnel enseignant à donner les cours avec des masques et les enfants à venir à l’école avec des écrans faciaux en plastique.

    Voilà donc à quoi ressemble le « monde d’après » : à un monde orwellien, froid et tyrannique.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Projet de loi sur les crimes haineux en Ecosse, Mr Bean rit jaune…

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2020

    Après la France, et tant d’autres pays occidentaux, c’est l’Ecosse qui veut « criminaliser » les propos incorrects.

    Humza Yousaf, de mère kenyane et père pakistanais, ministre de la justice de l’Ecosse, -celui qui trouve qu’il y a trop de blancs au parlement écossais-, a proposé une loi « contre les crimes de haine », interdisant la critique des religions et croyances pouvant aller jusqu’à 7 ans de prison.

    Yousaf a décrit la législation comme une « étape importante » dans la lutte contre les préjugés. « Mais les critiques, écrit le quotidien The Sun, craignent qu’un nouveau délit « d’attiser la haine » – quelle que soit l’intention – puisse conduire à une augmentation des poursuites pour ceux qui expriment des opinions controversées » et politiquement incorrectes, passibles d’une peine de prison maximale de sept ans.

    Mr Bean, de son vrai nom l’acteur Rowan Atkinson, et d’autres artistes se sont élevés contre cette atteinte à la liberté d’expression, dans une lettre coordonnée par la Humanist Society Scotland : « Le projet de loi crée des délits ’de haine’ sans qu’aucune intention ne soit examinée mais uniquement des mots, des actions ou des illustrations.

    « Cette infraction pourrait même s’appliquer au fait d’être en possession de matériel produit par quelqu’un d’autre, lorsque le partage du matériel pourrait susciter la haine.

    « Les conséquences involontaires de ce projet de loi bien intentionné risquent d’étouffer la liberté d’expression et la capacité d’articuler ou de critiquer les croyances religieuses et autres convictions.

    «Tel qu’il est actuellement libellé, il pourrait faire échouer le débat et la discussion rationnels qui jouent un rôle fondamental dans la société, y compris dans l’activité artistique.»

    La lettre conjointe ajoutait :

    « Le droit de critiquer les idées, philosophiques, religieuses et sensibles doit être protégé pour permettre à une société artistique et démocratique de s’épanouir. »

    La semaine dernière, des avocats haut placés de la Faculté des avocats ont déclaré que le projet de loi pourrait entraîner un « grand nombre de poursuites ».

    Ils ont également averti que des commentaires sur les réseaux sociaux tomberaient sous le coup de cette loi, tandis que les chefs de l’Église catholique ont affirmé que cela pourrait entraîner des poursuites contre des personnes qui citent tout simplement cité des passages de la Bible.

    L’uniformisation des esprits sous le joug de la pensée unique, et la censure qui va avec, est à l’échelle mondiale…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Toulouse : 4 morts et 27 blessés par balles ou à l’arme blanche depuis le début de l’été

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2020

    Par  le 14/08/2020

    […]

    Les chiffres sont têtus : 4 morts et 27 blessés par arme à feu, arme blanche ou objet contondant sont à déplorer depuis le 21 juin 2020, selon notre propre comptage. Des statistiques supérieure à l’année dernière, pour la même période de l’année.

    Jusqu’à sept agressions graves en un week-end

    L’été avait, du reste, fort mal débuté. Une série de sept agressions au couteau était recensée entre le vendredi 19 et le lundi 22 juin 2020, laissant plusieurs victimes entre la vie et la mort.

    […]

    Couteau à foison et armes lourdes en circulation

    Cette dernière fusillade a été commise à l’arme lourde, de guerre, avec un fusil de type AK-47 autrement appelé « Kalachnikov », ce qui est loin d’être une première mais dont l’utilisation de plus en plus fréquente inquiète au plus au point les forces de l’ordre.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Metropolitain via actu.fr

  • Ile-de-France : menaces, crachats, coups… pèsent sur le quotidien des chauffeurs de bus

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2020

    Par  le 13/08/2020

    A l’encontre des chauffeurs de bus de la RATP ou entre voyageurs, insultes et violences se banalisent en Ile-de-France et prennent de l’ampleur avec le Covid-19 et le port du masque imposé dans les transports. D’après un rapport consulté par Le Parisien, cet été, presque chaque jour, au moins un machiniste a été insulté, menacé voire agressé. Ou c’est son bus qui a été caillassé.

    «Pour nous, c’est devenu presque banal», reconnaît un machiniste francilien, délégué syndical. […] Cette violence gratuite et généralisée semble être devenue pour les machinistes une composante du métier. Celle que l’on accepte plus ou moins bien en fonction de l’humeur de la journée. «Ce n’est évidemment pas normal, mais comme c’est quotidien, ça devient malheureusement une habitude, confirme Grégory, délégué Sud. Lorsqu’on porte plainte, il n’y a aucune suite », soupire-t-il. «Alors on finit par l’accepter. Il y a des jours où se faire insulter ne nous touchera pas. Et d’autres, où on le vit plus mal». […]

    Le Parisien via fdesouche