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  • Le Creusot (71) : Tabassés et menacés de mort par une dizaine d’individus, le patron d’un commerce et sa femme jettent l’éponge. « Un jeune a même caillassé ma fille de 3 ans »

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2020

    Par  le 15/08/2020
     

    Le Creusot – « Demain, cela aurait fait deux mois que je suis ouvert » raconte le patron du commerce. « C’est fini au moins dans cette ville. Je vais poursuivre mon projet mais ailleurs ».

    Et pour cause, mercredi, vers 17h30, une dizaine d’individus sont venus « lui casser la gueule ». Un véritable passage à tabac dont lui et sa femme ont été victimes. « J’ai 30 jours d’ITT et ma femme 10. J’ai eu une commotion cérébrale » poursuit-il au téléphone.

    Les intimidations ne datent pas d’aujourd’hui. Un jeune individu, il est tout juste majeur, « il vient de sortir de prison » stipule le gérant de la Sandwicherie, a rayé sa voiture, casser le pare brise et a « même caillassé ma fille de 3 ans ». (…)

    L’Informateur de Bourgogne via fdesouche

  • Italie : armé d’un couteau, un migrant nord-africain a retenu en otage un garde à l’intérieur de la cathédrale de Milan

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2020

    Par  le 15/08/2020

    Selon Il Giornale, le suspect est un migrant nord-africain.


    Un homme armé d’un couteau a brièvement retenu en otage un garde à l’intérieur de la cathédrale de Milan mercredi avant d’être rapidement arrêté, a annoncé la police.

    Après l’arrivée de policiers et une brève médiation, l’homme a lâché son couteau et a été arrêté.

    Il était entré dans la cathédrale afin d’échapper à un contrôle de police, a affirmé dans un communiqué Anna Scavuzzo, adjointe au maire de Milan

     

    TV5 monde via fdesouche

  • 22 août 2020 – Commémoration du massacre de Montréjeau lors de l’insurrection catholique et royale de 1799 dans le Midi

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2020

    Pour la deuxième année consécutive, le Comité du Souvenir des victimes de la Révolution en Midi toulousain organise à Montréjeau (Haute-Garonne), le 22 août prochain, une journée de commémoration de l’insurrection catholique et royaliste de 1799 dans le Midi toulousain, insurrection qui s’acheva par le massacre de milliers d’insurgés par les troupes révolutionnaires le 20 août 1799 à Montréjeau, et en d’autres endroits du Midi. 

    Comme nous l’indiquions l’année dernière :
    Passée sous silence par l’Histoire officielle, cette insurrection reste un épisode très méconnu de la Révolution. Il est frappant de constater que jamais la mémoire de ces insurgés n’a pu être honorée. Et d’abord, le nombre exact de ces victimes n’est pas connu, ni ce qu’il est advenu de leurs dépouilles. L’ensemble des récits des protagonistes – principalement les chefs des troupes républicaines qui commandaient à Montréjeau – font état de plusieurs milliers de morts, certainement environ trois mille, peut-être plus, en un seul combat, en une seule journée, le 20 août à Montréjeau. Des milliers de victimes sous-armées et sous-équipées, tombées sous le sabre de troupes républicaines régulières aguerries, mitraillées à bout portant, et pour la plus grande partie noyées dans la Garonne. La plupart des victimes sont restées anonymes et n’ont pas eu de sépulture ; en l’état de nos recherches dans les archives, leurs actes de décès ne figurent pas à l’état-civil.
    Cette journée de commémoration est organisée par le “Comité du souvenir des victimes de la Révolution en Midi toulousain”, placé sous le Haut patronage de Mgr le Prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou. Le Comité compte comme patrons M. Jean de Viguerie (+), M. Jean Raspail (+),  M. Reynald Secher, M. Philippe Pichot-Bravard, le professeur Cyrille Dounot, le colonel Jacques Hogard, et plusieurs autres personnalités, et bénéficie du soutien de l’association du Souvenir Vendéen, qui a souhaité accompagner une démarche analogue à celle menée en Vendée militaire depuis des décennies.

    Pour rappel, l‘année dernière (17 août 2019), l’édition inaugurale de cette commémoration avait déjà attiré une centaine de personnes, ce qui était très satisfaisant pour une première, dans une région qui – il faut bien le dire – n’est pas habituée aux manifestations contre-révolutionnaires. 

    Nous souhaiterions que cette grande journée de commémoration, qui comportera une Messe (dans le rite de saint Pie V), plusieurs allocutions, ainsi qu’un pique-nique convivial, soit l’occasion de se retrouver le plus nombreux possible dans une ambiance d’amitié française.
     
    Rendez-vous est donné à Montréjeau (31), samedi 22 août 2020 à 10 h, sur le boulevard de Lassus.
     
     
  • L'empire de la servitude sanitaire.

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2020

    Le corinavirus circule, certes.

    - Comme tous les virus il n'est pas inoffensif, mais il est peu mortel, et parmi ceux qui y succombent, beaucoup seraient morts en toute hypothèse d'autres pathologies ou de l'épuisement de leur âge; d'autres sont morts AVEC le COVID, mais pas DU COVID.

    - Aucune surmortalité n'a été enregistrée en France ces derniers mois.

    - Le nombre de personnes hospitalisées continue, jour après jour de baisser, tout comme celui des malades en réanimation.

    - La plupart des contaminés le sont aujourd'hui à cause de leur imprudence juvénile, de leurs habitudes "communautaires", de la promiscuité des "quartiers" où ils vivent ou des pays d'où ils reviennent.

    S'il y a une deuxième vague, c'est celle de l'intoxication gouvernementale diffusée par ses obligés scientifiques et relayée avec complaisance, mais aussi avec incompétence, manque total de sens critique ou du discernement, des journalistes des chaînes d'information en état de cécité absolue depuis leur formatage dans le moule des écoles dont beaucoup viennent à peine de sortir.

    S'il y a une deuxième vague, c'est celle, après le confinement général, du confinement des esprits par sidération des consciences dans un alignement global qui est la marque bien connue de ce que Guy Debord appelait l'empire de la servitude en précisant : « La décadence générale est un moyen au service de l’empire de la servitude ; et c’est seulement en tant qu’elle est ce moyen qu’il lui est permis de se faire appeler progrès. »

    Jean-François Touzé.

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  • 15 août : Assomption. Fête nationale française. Voeu de Louis XIII

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2020

    L’Assomption désigne l’élévation aux Cieux de la mère du Christ, corps et âme.

    La Sainte Vierge – qui selon la doctrine catholique, tient dans la Création une place si particulière – quitta ce monde d’une façon extraordinaire : son corps fut préservé de la corruption que connaissent les cadavres, tout comme son âme avait été préservée de la corruption du péché.

    C’est la principale fête mariale. L’Assomption est un dogme.

    En France, s’ajoute au 15 août le caractère de fête nationale, depuis Louis XIII.

    Voyez ci-dessous, en comparant les origines des deux « fêtes nationales », comme on est loin du 14 juillet qui commémore la naissance mythologique de la République dans la haine et dans un bain de sang bien réels….

    Le voeu :

    En 1637, après vingt-deux ans de mariage, le roi Louis XIII n’avait toujours pas d’héritier et la France était dans une guerre difficile.

    Le souverain prépara un vœu qui consacrerait la France à Notre-Dame de l’Assomption, plaçant la nation sous la protection de la Sainte Vierge ; on disait qu’il y pensait depuis longtemps.

    En novembre 1637, un texte fut enfin soumis au Parlement.
    Puis soudain, la bonne nouvelle tomba : la Reine était enceinte !

    Le vœu fut finalement signé par le Roi le 10 février 1638, comme un remerciement, et instaura les processions du 15 août en hommage à Notre-Dame de l’Assomption.

    Le 5 septembre 1638, naquit le dauphin de France, futur Louis XIV.
    Du fait de sa naissance vue comme quasi-miraculeuse, il reçut le nom significatif de Louis-Dieudonné (« donné par Dieu »).

    Ce vœu fut publié sous la forme d’un édit dont voici le texte intégral :

    « Dieu qui élève les rois au trône de leur grandeur, non content de nous avoir donné l’esprit qu’il départ à tous les princes de la terre pour la conduite de leurs peuples, a voulu prendre un soin si spécial et de notre personne et de notre Etat, que nous ne pouvons considérer le bonheur du cours de notre règne, sans y voir autant d’effets merveilleux de sa bonté, que d’accidents qui nous pouvaient perdre.  »

    Lorsque nous sommes entrés au gouvernement de cette couronne, la faiblesse de notre âge donna sujet à quelques mauvais esprits d’en troubler la tranquillité; mais cette main divine soutint avec tant de force la justice de notre cause, que l’on vit en même temps la naissance et la fin de ces pernicieux desseins. En divers autres temps, l’artifice des hommes et la malice du diable ayant suscité et fomenté des divisions non moins dangereuses pour notre couronne que préjudiciables au repos de notre maison, il lui a plu en détourner le mal avec autant de douceur que de justice. La rebellion de l’hérésie ayant aussi formé un parti dans l’Etat, qui n’avait d’autre but que de partager notre autorité, il s’est servi de nous pour en abattre l’orgueil, et a permis que nous ayons relevé ses saints autels en tous les lieux où la violence de cet injuste parti en avait ôté les marques.

    Quand nous avons entrepris la protection de nos alliés, il a donné des succès si heureux à nos armes, qu’à la vue de toute l’Europe, contre l’espérance de tout le monde, nous les avons rétablis en la possession de leurs Etats dont ils avaient été dépouillés. Si les plus grandes forces des ennemis de cette couronne, se sont ralliées pour conspirer sa ruine, il a confondu leurs ambitieux desseins pour faire voir à toutes les nations que, comme sa providence a fondé cet Etat, sa bonté le conserve et sa puissance le défend.

    Prenant la très sainte et très glorieuse Vierge pour protectrice spéciale de notre royaume, nous lui consacrons particulièrement notre personne, notre Etat, notre couronne et nos sujets

    Tant de grâces si évidentes font que pour n’en différer pas la reconnaissance, sans attendre la paix, qui nous viendra de la même main dont nous les avons reçues, et que nous désirons avec ardeur pour en faire sentir les fruits aux peuples qui nous sont commis, nous avons cru être obligés, nous prosternant aux pieds de sa majesté divine que nous adorons en trois personnes, à ceux de la Sainte Vierge et de la sacrée croix, où nous vénérons l’accomplissement des mystères de notre rédemption par la vie et la mort du Fils de Dieu en notre chair, de nous consacrer à la grandeur de Dieu par son Fils rabaissé jusqu’à nous et à ce Fils par sa Mère élevée jusqu’à lui ; en la protection de laquelle nous mettons particulièrement notre personne, notre Etat, notre couronne et tous nos sujets pour obtenir par ce moyen celle de la Sainte Trinité, par son intercession et de toute la cour céleste par son autorité et exemple, nos mains n’étant pas assez pures pour présenter nos offrandes à la pureté même, nous croyons que celles qui ont été dignes de le porter, les rendront hosties agréables et c’est chose bien raisonnable qu’ayant été médiatrice de ces bienfaits, elle le soit de nos actions de grâces.

    A ces causes, nous avons déclaré et déclarons que prenant la très sainte et très glorieuse Vierge pour protectrice spéciale de notre royaume, nous lui consacrons particulièrement notre personne, notre Etat, notre couronne et nos sujets, la suppliant de nous vouloir inspirer une sainte conduite et défendre avec tant de soin ce royaume contre l’effort de tous ses ennemis, que, soit qu’il souffre le fléau de la guerre, ou jouisse de la douceur de la paix que nous demandons à Dieu de tout notre cœur, il ne sorte point des voies de la grâce qui conduisent à celles de la gloire. Et afin que la postérité ne puisse manquer à suivre nos volontés en ce sujet, pour monument et marque immortelle de la consécration présente que nous faisons, nous ferons construire de nouveau le grand autel de l’Eglise cathédrale de Paris avec une image de la Vierge qui tienne en ses bras celle de son précieux Fils descendu de la Croix et où nous serons représentés aux pieds du Fils et de la Mère comme leur offrant notre couronne et notre sceptre.

    Exhortons pareillement tous les archevêques et évesques de notre royaume et néanmoins leur enjoignons de faire célébrer la même solennité en leurs églises épiscopales et autres églises de leur diocèse

    Nous admonestons le sieur archevêque de Paris et néanmoins lui enjoignons que tous les ans le jour et fête de l’Assomption, il fasse faire commémoration de notre présente déclaration à la grand’messe qui se dira en son Eglise cathédrale et qu’après les vêpres du dit jour, il soit fait une procession en la dite Eglise à laquelle assisteront toutes les compagnies souveraines et le corps de ville, avec pareille cérémonie que celle qui s’observe aux processions générales les plus solennelles; ce que nous voulons aussi être fait en toutes les églises tant paroissiales que celles des monastères de la dite ville et faubourgs et en toutes les villes, bourgs et villages du dit diocèse de Paris.

    Exhortons pareillement tous les archevêques et évesques de notre royaume et néanmoins leur enjoignons de faire célébrer la même solennité en leurs églises épiscopales et autres églises de leur diocèse; entendant qu’à la dite cérémonie les Cours de Parlement et autres compagnies souveraines et les principaux officiers de ville y soient présents ; et d’autant qu’il y a plusieurs épiscopales qui ne sont pas dédiées à la Vierge, nous exhortons les dits archevesques et évesques en ce cas de lui dédier la principale chapelle des dites Eglises pour y être faite la dite cérémonie et d’y élever un autel avec un ornement convenable à une action si célèbre et d’admonester tous nos Peuples d’avoir une dévotion particulière a la Vierge, d’implorer en ce jour sa protection afin que sous une si puissante patronne notre royaume soit à couvert de toutes les entreprises de ses ennemis, qu’il jouisse largement d’une bonne paix ; que Dieu y soit servi et révéré si saintement à la dernière fin pour laquelle nous avons été créés ; car tel est notre plaisir.

    Louis,
    par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre

     

    Source : contre-info