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  • L'avenir dira si le vaccin russe contre le COVID-19 est efficace, fiable et performant.

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    Mais le scepticisme aussi automatique que dégoulinant de haine contre Poutine affiché par les scientifiques de mes fesses qui pullulent depuis six mois sur les plateaux de télévision et font la pluie et le beau temps dans les coulisses du pouvoir, le doute janséniste des éditorialistes politiques uniformément formatés par les écoles de propaganda-journalisme, le mépris goguenard de ces "consultants" venus d'on ne sait où pour le plaisir de "consulter" la courbe d'évolution hebdomadaire de leurs piges, est ignoble.

    La détestation de ce grand pays résistant à l'ordre mondial autant que les pressions des laboratoires font que, par idéologie autant que par cupidité, le monde occidental et l'Europe, sont parfaitement capables d'inclure ce vaccin, même s'il s'avérait salvateur, dans la liste des produits interdits à l'importation dans le cadre des sanctions imposées à la Russie depuis sa légitime récupération de sa terre de Crimée.

    Le Système en est là.

    Jean-François Touzé.

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  • États-Unis : Ibrahim Bouaichi, incarcéré pour viol, a été libéré de prison en raison du Coronavirus. Il en a profité pour tuer la femme qui l’accusait

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2020

    Par  le 10/08/2020

    États-Unis – Ibrahim E. Bouaichi a été libéré en avril, il a tué la femme en juillet.

    Selon la police, un homme détenu pour viol en Virginie, qui a été libéré de prison en raison des inquiétudes concernant le Coronavirus, a ensuite tué la femme qui l’avait accusé.

    Ibrahim E. Bouaichi a tué par balles la femme, qu’il avait violée, fin juillet, après avoir été libéré de prison le 9 avril.

    Bouaichi a été inculpé l’année dernière pour des accusations de viol, strangulation et enlèvement. La femme, que la police a identifiée comme étant Karla Elizabeth Dominguez Gonzalez, a témoigné contre lui au tribunal du district d’Alexandrie en décembre.

    Les avocats de Bouaichi ont fait valoir qu’il devrait être libéré en attendant son procès, car le virus mettait en danger les détenus. Il a été libéré moyennant une caution de 25 000 dollars, malgré les objections d’un procureur.

    (…) Fox News via fdesouche

  • La nouvelle publicité de Nike est une propagande de l’extrême gauche.

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2020

    "Vous ne pouvez pas nous arrêter" !

    Le message mondialiste de Nike fait partie de la programmation sociale que l’extrême gauche fait subir à notre civilisation pour imposer son agenda.

    Nike, une des plus grandes entreprises privées du monde, suit la mode en faisant la promotion des minorités agissantes et de l'idéologie marxiste. C'est la publicité pour forcer la majorité à changer radicalement son environnement pour une minorité qui n’est pas/plus en mesure de s’y intégrer.

    L'agenouillement d’athlètes, Black Lives Matters (alors que ce mouvement est en train de détruire les villes américaines, semant désolation, misère et morts sur son passage), la suggestion du métissage, la femme en burqa faisant du skate, suivie d’un athlète trans (pas antinomique pour deux sous...), tous les clichés sont présents.
    Nike ne vend plus des baskets mais de la propagande d’extrême gauche.
    Cenaor

     

    Source : lesobservateurs

     

  • Liban, après les pleurs, la révolte

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    Liban, après le deuil commence la manifestation. Et la contestation a immédiatement conduit à une révolte contre le gouvernement et le Hezbollah : les manifestants ont occupé les bureaux des ministères. L’explosion du stcok de nitrate d’ammonium, qui a fait 158 ​​morts (bilan encore provisoire), 6 000 blessés et 300 000 sans-abri, a été ‘’l’étincelle‘’ qui a suscité le mécontentement, après des mois et des mois de crise économique et sanitaire. Et cela détruit l’équilibre fragile du gouvernement Diab.

    Des milliers de personnes sont descendues dans la rue, de 5 000 à 10 000 selon les estimations. En quittant le port, la zone la plus dévastée de Beyrouth, la foule s’est immédiatement heurtée à la police alors qu’elle se dirigeait vers le centre. Des groupes plus organisés de centaines de militants de l’opposition ont occupé les bureaux des ministères, dont le siège du ministère des Affaires étrangères, tandis qu’un affrontement très dur a eu lieu non loin de là sur la Place des Martyrs, le même où Rafiq Hariri, alors Premier ministre, a été assassiné le 14 février 2005. Etait attendue, vendredi, la sentence par contumace du procès international des auteurs présumés, tous les militants du Hezbollah, de cette attaque, mais le Tribunal spécial des Nations Unies pour le Liban a reporté la peine au 18 août, « par respect pour la d’innombrables victimes de l’explosion dévastatrice qui a secoué Beyrouth, en raison du deuil national de trois jours au Liban ». Le report de la peine n’a pas calmé l’opposition. Au contraire, elle a accru le ressentiment envers le Hezbollah, considéré comme le principal coupable de la catastrophe et du président maronite Michel Aoun, considéré comme le plus grand protecteur du Hezbollah. Les manifestants ont brûlé les photos d’Aoun hier.

    Des révoltés ont aussi tenté de prendre le quartier général de l’Association des banques, y mettant le feu avant d’être délogés par l’armée, selon un photographe de l’Agence France-Presse sur place. Les protestataires ont également investi les ministères de l’Économie et celui de l’Énergie, symbole de la gabegie des services publics, les coupures de courant alimentant la gronde. « Nous sommes officiellement en guerre contre notre gouvernement », a déclaré une militante, Hayat Nazer. Les banques sont la cible de la colère des manifestants depuis octobre en raison des restrictions draconiennes imposées sur les retraits et virements à l’étranger. 

    Ces manifestations ont fait un mort du côté de la police et environ 700 blessés. Ce sont d’autres victimes indirectes de l’explosion qui a secoué le pays.

    Le ressentiment très fort contre le mouvement armé chiite a pareillement augmenté après la déclaration de son chef Hassan Nasrallah, qui a nié toute implication du Hezbollah dans cette double explosion qui a eu lieu dans le port de Beyrouth.

    Le général maronite Michel Aoun, dans son discours télévisé, a plutôt tenté de mettre la responsabilité des explosions sur des saboteurs étrangers. Il a évoqué une éventuelle action militaire secrète dans laquelle « une bombe ou un missile » aurait été utilisée. Il demande aussi que l’enquête sur l’explosion soit uniquement libanaise et non internationale. Et a refusé l’aide d’Israël.

    Que le Hezbollah puisse être directement responsable du désastre car il contrôle le port de Beyrouth n’est qu’une hypothèse, mais c’est toujours une hypothèse bien fondée et c’est une cause de colère populaire au Liban, où le Hezbollah, quel que soit le déroulement des élections, reste toujours dans une position assez forte pour faire chanter tout gouvernement, avoir sa propre armée et propre infrastructure complètement à l’abri du contrôle des autorités étatiques.

    Le Hezbollah a en effet déjà produit des explosifs à partir de nitrate d’ammonium, lors du bombardement de touristes israéliens en 2012 à Burgas, en Bulgarie. Plusieurs tonnes de ce produit hautement explosif ont été saisies dans les dépôts secrets du Hezbollah dans le cadre d’opérations antiterroristes en Allemagne (au printemps dernier), en Bolivie, au Koweït, à Chypre et au Royaume-Uni au cours des cinq dernières années. C’est une arme ‘’pauvre‘’  car elle est facilement disponible sur le marché. Que le Hezbollah ait puisé dans un dépôt dans un port qu’il contrôle directement à Beyrouth pourrait expliquer pourquoi cette substance y est restée, dangereusement, toutes ces années et que personne ne s’est donné la peine de la stocker ailleurs.

    Le Premier ministre Hassan Diab a annoncé hier soir que lundi, au Parlement, il demandera la fin anticipée de cette législature et de nouvelles élections. « Nous ne pouvons pas résoudre la crise structurelle du pays sans élections législatives anticipées. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Beyrouth, notre responsabilité nationale

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

    Ceux qui, en France, soutiennent la pétition déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.

    Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.

    Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est à dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:

    « Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité.

    Jean-François Touzé.

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