Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2025

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Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2025

Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

En France, la moitié des exploitations sont dirigées par un agriculteur de 55 ans ou plus. L’enjeu du renouvellement des générations est crucial dans le monde agricole. Mais les jeunes repreneurs se font rares, notamment en pays de Savoie où le coût de la vie et du foncier refroidissent les ambitions. En Savoie et en Haute-Savoie, 52 % des exploitants ont plus de 50 ans. La vague de départ à la retraite approche et sans repreneur, c’est l’autonomie alimentaire de la région, voire du pays qui est en péril.
Patrick Pavy a dédié toute sa vie à son exploitation et à ses animaux. Depuis près de 50 ans, les journées de cet éleveur sont rythmées par la traite des vaches, la fabrication de tomes des Bauges et la vente aux clients.
Mais ce quotidien si bien rôdé va bientôt changer car, à 65 ans, il a décidé de partir à la retraite. “La coupure sera sans doute un peu difficile mais on sait qu’on arrive à un âge où il faut passer la main, admet-il en balayant le sol de son étable. Il faut lâcher un peu et former un jeune qui serait aussi passionné.”
Le problème, c’est que ce jeune passionné se fait attendre. Depuis un an, Patrick essaye de revendre ses parts et de trouver l’associé qui le remplacera aux côtés de son épouse et de son fils. Mais pour l’instant, aucune offre sérieuse n’a retenu son attention.
“Ça inquiète, c’est du souci, reconnaît le sexagénaire. On est les seuls à faire de la tome des Bauges bio. Donc on espère qu’on trouvera quelqu’un qui veuille bien faire ce métier, pour qu’on ne soit pas les derniers“. […]
En 40 ans, le nombre d’agriculteurs a été divisé par quatre en France. Alors tout l’enjeu est de donner envie aux nouvelles générations. C’est la mission que s’est fixée Guillaume Léger, le président des Jeunes agriculteurs de Haute-Savoie.
Nous le retrouvons à Bellecombe-en-Bauges, en Savoie, où il est de passage sur l’exploitation de Charlotte Rostaingt. Avec son équipe, il a accompagné la jeune femme dans son projet de reprise.
Cette trentenaire, fille de boulanger, n’est pas issue du milieu agricole. Pas de parcelles en héritage, ni d’enfance passée à la ferme. Elle a dû se former elle-même et emprunter plus de 500 000 euros avec une associée pour acquérir et moderniser un élevage de vaches laitières.
“Le but c’était de se préserver. On a fait le choix d’avoir un gros enjeu financier au départ pour avoir un train de vie correct, explique-t-elle. Notre génération, on veut vivre correctement de notre travail. Du moins, avoir du temps pour soi“. […]
“Aujourd’hui, si on enlève nos dispositifs d’accompagnement, on n’arrivera pas à renouveler la moitié des exploitations. En France, 60 % des départs en retraite sont renouvelés seulement, et ce n’est pas suffisant. L’idée, ça serait de remplacer huit exploitations sur 10 pour, à l’avenir, continuer à produire notre alimentation“, explique Guillaume Léger.
Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2022

Que s’est-il donc passé pour que le changement de genre ubuesque de cet homme ait été accepté? Lors de l’entrée en vigueur de la loi, la Confédération avait donné des précisions aux offices d’état civil et on y trouve deux indications qui sont en tension l’une avec l’autre.
D’abord, notamment pour éviter une intrusion trop forte dans l’intimité d’une personne, les officiers n’ont pas à chercher à savoir si celle-ci est honnête. Les responsables des services ne doivent pas «rechercher activement un abus» et il n’existe «aucune obligation de vérifier l’intime conviction des personnes concernées.» La sincérité de la personne est présumée, conformément au principe de la bonne foi.
Or d’un autre côté, il est aussi dit que les officiers d’état civil doivent refuser toute demande qui serait «manifestement abusive». Selon la Confédération, cela veut dire: «lorsque la personne concernée reconnaît devant l’officier déposer une déclaration par plaisanterie, dans un but frauduleux ou de toute autre manière non sincère». […]
Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020

Les ressortissants étrangers dont les Algériens établis en France mais qui n’ont jamais cotisé à l’assurance ne touchent pas de pension de retraite. En revanche, ils peuvent bénéficier de l’allocation de solidarité aux personnes âgées qui peut atteindre au maximum 903,20 euros par mois. Pour les Algériens, un certificat de résidence pourrait suffire pour postuler à cette pension mensuelle.
[…]
…une allocation mensuelle existe pour cette catégorie de personnes n’ayant jamais cotisé. Il s’agit de l’Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa). Elle est destinée aux personnes âgées à faibles ressources. Celle-ci n’est pas une retraite et n’est pas réservée aux personnes étrangères.
Elle est destinée aux personnes âgées de 65 ans et plus, ou 62 ans en cas d’inaptitude au travail ou d’incapacité permanente d’au moins 50%, selon le site de l’Assurance retraite. Il s’agit d’une prestation non contributive de la Sécurité sociale, c’est-à-dire que l’Aspa n’est pas financée par des cotisations, mais par l’impôt.
Son montant dépend des “ressources” et de la “situation familiale” des personnes concernées, selon le site de l’administration française. L’Aspa est cumulable avec d’autres ressources tant que le montant total ne dépasse pas le plafond établi pour percevoir l’allocation.
Pour une personne seule et sans aucune autre ressource, française ou étrangère, le montant maximum mensuel de l’Aspa en 2020 est de 903,20 euros. Aujourd’hui, un couple peut recevoir jusqu’à 1.402,22 euros par mois, toujours selon ses ressources.
[…]
L’article dans son intégralité sur ObservAlgerie via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2020

Un homme de 53 ans a été condamné à 24 mois d’emprisonnement, dont six avec sursis, pour avoir volé, frappé et déféqué sur un homme de 85 ans qu’il venait cambrioler en mai au Croisic. Il a également injurié et menacé de mort les policiers municipaux venus l’interpeller. Il était jugé ce jeudi.
(…) Le retraité essuie de nombreux coups, notamment à la tête. Des coups que conteste le prévenu sans convaincre le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire qui le juge ce jeudi. Puis quand le vieil homme est au sol, il défèque sur lui et lui macule la tête avec ses excréments. « Il a été souillé littéralement » insiste l’avocat de la victime Me Frignat qui estime qu’il « n’a dû son salut qu’à l’arrivée de la police municipale ».
Les agents se font copieusement insulter, menacer de mort et de carnage. A plusieurs reprises, le cambrioleur crie « Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage ». Le prévenu a déjà été condamné à 19 reprises, dont une fois pour assassinat. Et quand le procureur dénonce son « comportement odieux », il préfère se boucher les oreilles.