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  • Le blues des policiers municipaux à Grenoble : “On se sent dénigrés et abandonnés (…) on nous demande de fermer les yeux”

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2020

    21/09/2020 à 9h32

    blues des policiers,grenoble

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1308087091176316931

     


     

    Quand il part en intervention avec son taser et sa matraque, David, policier municipal depuis plusieurs années à Grenoble, sait qu’il n’a pas les moyens pour ses missions.

    “L’arme de poing, il ne veut pas en entendre parler. Il y a des individus qui se baladent avec des couteaux ou avec une arme à feu et dans ce cas-là, on se retrouve coincé. Les policiers municipaux se sentent dénigrés”, assure-t-il.

    Après son élection en 2014, Eric Piolle avait annulé la commande des armes à feu. Et aujourd’hui Julie, policière municipale elle aussi, a l’impression de ne plus faire son métier correctement. “On nous demande simplement de fermer les yeux. La politique de la ville, c’est la verbalisation de véhicules et pas du tout d’aller dans les quartiers s’occuper des problèmes de délinquance”, précise-t-elle. 

    Un manque d’effectif

    À Grenoble, les 93 policiers municipaux sont assistés de 90 caméras de vidéo-protection, Un tiers d’entre elles seraient hors-service. Mais pour Diega Trupia, déléguée CFDT, il y a aussi un problème d’effectif dans la police nationale.

    “Dans tous les cas, ils ne sont pas assez nombreux pour une agglomération comme Grenoble pour pouvoir gérer tout ce qui est faits mineurs et faits graves. Et donc souvent on nous envoie sur les faits mineurs pour qu’ils puissent se concentrer eux sur tout ce qui est plus grave”, affirme-t-elle. 

    Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, 54 policiers nationaux sont venus renforcer les équipes à Grenoble depuis cinq ans.

    BFMTV via fdesouche

  • Göteborg (Suède) : des milices armées installent des barrages routiers pour contrôler les voitures qui entrent dans certains quartiers

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2020

    Suède – “Nous avons un problème évident”, a admis récemment le Premier ministre suédois Stefan Löfven. Il faisait référence non pas à la pandémie de Covid, mais à un été de criminalité qui a laissé les Suédois, même blasés, dans l’incrédulité. Il y a régulièrement des bombardements, des attaques à la grenade à main et des fusillades. Des jeunes hommes s’entretuent à un rythme effroyable – dix fois plus qu’en Allemagne.

    Le sentiment que le gouvernement a complètement perdu le contrôle s’accroît. Pourtant, si Löfven a finalement reconnu l’existence du problème, il semble toujours en dénier la véritable nature.

    Le mois dernier, à Botkyrka, au sud de Stockholm, une jeune fille de 12 ans qui promenait son chien a été tuée par une balle perdue lors d’une fusillade de gang – et dans une interview télévisée, ses amis ont expliqué que les fusillades font tout simplement partie de la vie quotidienne dans leur quartier. Une enfant a déclaré qu’elle entend des coups de feu depuis la fenêtre de sa chambre presque toutes les nuits. Et c’est peut-être ce qui est le plus choquant pour les Suédois plus âgés : à quel point les enfants dans ces quartiers sont résignés ; à quel point ils se sont habitués à la violence.

    C’en est trop pour Mats Löfving, le chef adjoint de la police nationale, qui a décidé au début de ce mois de parler clairement de la nature des criminels que lui et ses collègues combattent. Il existe au moins 40 réseaux criminels familiaux – ou clans – en Suède, a-t-il confirmé : des immigrés qui sont venus en Suède “uniquement dans le but d’organiser et de systématiser le crime”. Selon Löfving, ils gagnent leur argent grâce au trafic de drogue et à l’extorsion et “ont une grande capacité de violence”.

    L’interview a fait l’effet d’une bombe. Le Premier ministre a toujours essayé de parler de la criminalité comme d’un problème socio-économique – et il s’en est tenu à cette ligne en réponse à Löfving, en disant : “je ne veux pas lier la criminalité à l’ethnicité”. Un mantra gouvernemental qui insinue que même poser des questions sur le lien entre la criminalité et l’immigration est xénophobe. (…)

    Le mois dernier, les conflits entre criminels rivaux se sont intensifiés au point que des gangs ont pris une initiative sans précédent pour asseoir leur domination. Des hommes masqués et armés ont mis en place des barrages routiers, et ont contrôlé les voitures qui entraient dans certains quartiers de Göteborg. Les rues ont été désertées car les gangs ont ordonné aux habitants de rester à l’intérieur. Le directeur d’une école locale a déclaré sans ambages : “Les postes de contrôle contrôlés par des milices criminelles sont quelque chose que j’ai vu pour la dernière fois en Afghanistan. Je n’aurais jamais pensé que cela deviendrait une réalité en Suède”. Entre-temps, les visites à domicile des médecins ont été suspendues dans la région pour des raisons de sécurité ; et le personnel des services de soins aux personnes âgées et handicapées est escorté dans ses rondes par des agents de sécurité.

    (…) The Spectator via fdesouche

  • Canaries : les arrivées de migrants africains en hausse de 500%

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2020

    Les arrivées de migrants africains aux Canaries ont atteint en septembre des niveaux inédits depuis la grande vague de la seconde moitié des années 2000, lorsque des dizaines de milliers de personnes avaient débarqué sur cet archipel espagnol proche des côtes africaines.

    La hausse des arrivées s’est accélérée ces derniers jours, coïncidant avec une météo favorable : lors de la première moitié de septembre, près de 1200 personnes ont débarqué sur les îles Canaries, selon des chiffres officiels. Un tel nombre d’arrivées en une quinzaine n’avait pas été atteint depuis 2008. Quant au dernier record annuel, il date de 2006, avec l’arrivée de 31.600 migrants.

    La réactivation de cette route, en sommeil depuis des années, coïncide avec la signature, il y a un an, d’accords permettant de contrôler les frontières de l’Union européenne avec la Turquie, la Libye ou le Maroc. Du 1er janvier au 15 septembre, 5121 migrants sont arrivés dans l’archipel, soit une hausse de 500 % sur un an, selon le ministère de l’Intérieur espagnol.

    […]

     

    TelQuel via fdesouche

  • Strasbourg : Une étudiante agressée par 3 jeunes parce qu’elle portait une jupe

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2020

    21/09/2020 à 23h58

    Une étudiante strasbourgeoise a été insultée et frappée au visage vendredi 18 septembre parce qu’elle portait une jupe. Elisabeth dénonce un climat de plus en plus malsain et dangereux pour les jeunes femmes à Strasbourg.

    Elisabeth rentrait chez elle à pied le vendredi 18 septembre, quand elle a croisé trois hommes d’une vingtaine d’années, près de la médiathèque Malraux à Strasbourg. “Un des trois hommes me dit ‘regardez cette pute en jupe’ “témoigne l’étudiante en LEA de 22 ans. “Je me permets de répondre ‘pardon’. Là, ils me répondent ‘tu te tais salope et tu baisses les yeux’. Deux m’attrapent chacun par un bras et le troisième me donne un coup de poing au visage. Et après, les trois s’enfuient”.

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Autun : elle perçoit 64 138 euros d’aides sociales… depuis le Maroc

    Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2020

    21/09/2020 à 18h54

    Une femme a été condamnée à un an de prison avec sursis pour avoir fourni de fausses déclarations afin de toucher diverses aides et allocations

    Enfants scolarisés à Tanger, prime de rentrée délivrée à Autun

    La prévenue, une femme de 42 ans, était absente à son procès. Elle demeure officiellement à Tanger (Maroc) depuis 2016, avec son mari et leurs trois enfants. Elle était donc poursuivie pour avoir, entre 2016 et 2019 à Autun, où elle s’était domiciliée, indûment perçu la somme de 64 138 € sous différentes formes : prime de rentrée scolaire, revenu de solidarité active, allocations familiales, aide personnalisée au logement. Elle avait été interpellée à la sortie d’un aéroport en France alors qu’elle venait rendre visite à sa famille.

    […] Après délibéré, le tribunal a estimé qu’elle était coupable, en la punissant d’une peine d’un an de prison avec sursis , et de cinq ans d’inéligibilité à tout mandat électif.

     

    lejsl.com via fdesouche