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  • Grenoble : “ville utopique des années 1970 devenue un laboratoire pour les Verts, les « quartiers » ne connaissent que leur loi”

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2020

    20/09/2020 à 10h50

    Grenoble, côté obscur

    Drogue, rodéos, règlements de compte… Dans cette ville utopique des années 1970 devenue un laboratoire pour les Verts, les « quartiers » ne connaissent que leur loi. 

    Les policiers de la brigade spécialisée de terrain n’ont pas fait deux pas dans ce quartier d’Echirolles, au sud de Grenoble, qu’un concert de Klaxon digne d’une finale de Coupe du monde retentit pour prévenir les dealers. Les guetteurs, les « choufs » dans le jargon des cités, hurlent le mot-clé « Arah ! » et les vendeurs de drogue s’évaporent. Nicolas, la quarantaine, bras tatoués et grande gueule d’ange à la Bernard Giraudeau, ne s’en agace pas. Il a l’habitude de ce jeu de dupes : « C’est une comédie, chacun joue son rôle. Si t’es linéaire, t’arrives à rien. Il y avait du trafic y a trente ans, y en aura dans trente ans. Faut faire un effort mental, ne pas trop réfléchir, sinon je démissionne et je fais autre chose. »

    […]

    Quartier utopique sorti de terre dans les années 1970, quand les classes moyennes et les immigrés vivaient ensemble, la Villeneuve a vu sa mixité s’estomper au fil des années et la drogue envahir ses contre-allées bétonnées. « Avant, on baignait dans un niveau social au-dessus du nôtre, déclare Ali, 58 ans, éducateur. Quand les bobos sont partis, dans les années 1990, la vie a changé. Al Pacino, dans “Scarface”, est devenu la référence ». L’ex-procureur de la République de la région, Jean-Yves Coquillat, a eu ces mots durs en 2017 : « Je n’ai jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrenée par le trafic de drogue. » Selon lui, le niveau de la délinquance était alors 53 % plus élevé que dans les autres villes de même taille. Confirmation de Will, policier à la Bac, qui sillonne la cité chaque nuit : « On a l’impression que ça monte chaque année, beaucoup d’agressions au couteau, quatre voitures incendiées chaque nuit… »

    […]

    L’article dans son intégralité sur Paris Match via fdesouche

  • Portraits d’antifas…

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2020

    Une vidéo qui en dit long sur les antifas… entre garçon en jupe et vieux branlant.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1306606670815154176

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron veut relancer le bonus des banquiers qui prennent des risques

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020

    PAR  LE 

    Le bonus des banquiers est actuellement encadré par des dispositions contraignantes de l’Union Européenne pour éviter les dérives connues en 2008 : prise de risque inconsidérée qui rapportent des sommes colossales en cas de succès, et qui sont financées par le contribuable en cas d’échec. La France demande à ses partenaires d’assouplir cette réglementation…
     
    Tout un symbole. Le bonus des banquiers revient sur la table des revendications françaises dans l’Union. C’est ce qui ressort d’un document que Reuters a consulté. En l’espèce, il s’agit d’un courrier commun de Bruno Le Maire et de son homologue allemand à leurs partenaires européens pour les exhorter à assouplir les règles bancaires. Parmi ces règles figurent celles qui encadrent les bonus des banquiers… Bonus des banquiers et Union bancaire
     
    Nous évoquions la semaine dernière le passage précipité de Bruno Le Maire à Berlin, en marge de l’Eurogroupe. Nous rappelions que l’empressement français à déterrer le dossier de l’Union bancaire était une façon éloquente de manifester l’angoisse des pouvoirs publics vis-à-vis des désordres bancaires que même les dirigeants de la BCE annoncent depuis plusieurs mois. On en sait plus, désormais, sur les discussions que les deux ministres ont eues en coulisse. Elles ont essentiellement porté sur l’assouplissement des règles prudentielles applicables aux banques, héritées de la crise de 2008.
     

     

    Emmanuel Macron: « Quand on vit ce que l’on vit, on ne peut pas demander aux gens de l’avoir prévu il y a dix ans »

  • Téléchargez le projet du Parti de la France (24 pages) : https://www.parti-de-la-france.fr/.../Projet-programme...

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020

     
     Téléchargez le projet du Parti de la France (24 pages) : https://www.parti-de-la-france.fr/.../Projet-programme...
     
     

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  • L’inventeur de l’iPhone appelle à se retourner contre sa propre création

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2020

    IPhone addict ! - Pas Envie De Fraises

    « Interrogé dans l’émission Envoyé spécial sur la place que prennent les smartphones dans le quotidien des hommes, l’inventeur de l’iPhone, Tony Fadell, appelle à se retourner contre sa propre création et à en reprendre le contrôle. Un aveu d’échec pour celui qui est à l’origine du design de l’appareil qui a révolutionné le genre et qui s’écoule toujours à des dizaines de millions d’exemplaires dans le monde.

    « Parfois je me réveille en me disant que je veux que l’iPhone soit bien utilisé, et non pas qu’il détruise des familles, ou toute la société, même. Les gens doivent reprendre le contrôle ! On doit se battre ensemble pour combattre la bête », confie cet Américain désormais installé à Paris qui est aussi connu pour être le père de l’iPod.
    Il raconte que sa femme l’accuse régulièrement d’être l’unique responsable lorsque leurs enfants n’arrivent pas à décrocher l’œil de l’écran. « C’est ta faute ! », lui lance-t-elle.

    Cet informaticien, dont le cerveau a imaginé pas moins de 18 générations d’iPod et trois d’iPhone, ne s’attendait pas à ce que le produit phare d’Apple impacte autant la vie quotidienne. « Quand on a testé le premier iPhone, c’était facile de surfer sur le Net. Aussitôt, ça a changé nos interactions chez Apple. Je n’imaginais pas que ça allait changer nos habitudes si rapidement », assure-t-il auprès de France 2.

    En 2010, au moment de l’explosion des applications, Tony Fadell commence à prendre ses distances avec l’iPhone. « Les gens passaient leur temps à regarder leur écran alors qu’on était en train de parler ! C’est là que j’ai réalisé avec l’arrivée des applis, des notifications qui commençaient à apparaître, que si je voulais parler avec les gens, je devais le tenir à distance », raconte-t-il. 2010, c’est aussi le moment que choisira Tony Fadell pour quitter définitivement les rangs d’Apple. Un départ qui permet aujourd’hui cette liberté de ton. »

    Source : Le Point via contre-info