Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2020
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Carl LANG@carllang2022La "stratégie" du gouvernement concernant la Covid-19 est passée de "tester, tracer, isoler" à "tester, alerter, protéger". Le ministre de la santé ne connait-il donc pas le verbe soigner? Le corps médical pourrait peut-être lui proposer diagnostiquer- isoler-soigner.
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Mais qui est encore au RN a part pour la gamelle ?
Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2020
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Le gang du PCF et des barbares
Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2020
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Le nouveau maire PCF de Bobigny, Abdel Sadi, a posé avec deux responsables associatifs, avant de la poster sur Facebook. L’une des personnes est Lynda Benakouche, la présidente de Crescendo, structure d’aide aux enfants. Une associative active, également chargée de mission en mairie… mais aussi compagne de Jean-Christophe Soumbou, membre du gang des barbares condamné à dix-huit ans de prison en 2006 pour son rôle dans la séquestration, la torture et le meurtre du jeune Ilan Halimi.
Jugée « protégée » par l’UDI sous la mandature précédente selon certains – l’hypothèse a été documentée dans le livre « le Maire et les Barbares »écrit par la journaliste Eve Szeftel – elle serait désormais dans les petits papiers de la nouvelle municipalité PCF.
Au-delà de la condamnation de son époux, elle-même a fait l’objet de trois admonestations de la préfecture de Seine-Saint-Denis au sujet de son emploi. Par trois fois, sous la mandature UDI, entre 2014 et 2020, les services de l’Etat ont pointé ses qualifications inférieures à celles exigées pour l’emploi occupé. Par ailleurs, la Chambre régionale des comptes (CRC) avait aussi épinglé Lynda Benakouche dans le lot des agents surpayés au regard de leurs compétences.
En 2005, elle avait été condamnée pour des violences sur une autre femme.
Lynda Benakouche est sous le coup d’une procédure interne, et doit être entendue par l’administration.
Source : lesalonbeige
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La Pietà de Michelange à la sauce Black Lives Matter : Jésus peint en noir
Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2020
Auteur : Francesca de VillasmundoAu nom de la bien-pensance actuelle, racialiste et indigéniste, l’Académie Pontificale pour la Vie, plus mondaine que spirituelle, soumise aux volontés déconstructivistes de l’extrême-gauche copine du mouvement Black Lives Matter, a posté sur twitter un photomontage contre le racisme avec ce commentaire :
« Une image qui vaut un discours. »
L’image fait apparaître une nouvelle version de la Pietà de Michelange : Jésus a été peint en noir.
Ce n’est pas la première fois que le Christ devient le protagoniste de certains changements discutables au nom de l’antiracisme. Déjà en janvier 2018, par exemple, Fabio Viale avait éliminé la figure du Sauveur, la remplaçant par celle d’un garçon nigérian nu, les yeux fermés et une croix tatouée sur son bras droit. Cette version de la Pietà de Michel-Ange fut dévoilée à l’occasion de l’inauguration du bureau milanais d’une galerie d’art toscane.
L’actuel photomontage avec le Christ noir promu par Monseigneur Paglia, le président de l’Académie pontificale pour la Vie, a inévitablement provoqué de fortes réactions défavorables. Bien des internautes se sont scandalisés de cette récupération politiquement correcte et profondément déplacée.
Trafiquer un chef-d’œuvre d’art, conservé dans la basilique Saint-Pierre, est considéré par beaucoup comme une véritable offense. Le photomontage provocateur a été critiqué par plusieurs sites catholiques conservateurs, qui accusent l’Académie de collaborer avec le mouvement des BLM. Et c’est précisément sur le réseau social que les positions les plus dures ont émergé :
« Ne touchez pas Michel-Ange »;
« Vade rétro ».
La réponse de l’Académie pontificale pour la Vie, afin d’essayer de démentir les rumeurs sur un possible type de connexion avec le mouvement militant international, ne s’est pas fait attendre : « Il n’y a aucun type de lien avec le mouvement Black lives Matter. C’est une manipulation politisée » s’est insurgé le porte-parole de l’Académie, Fabrizio Mastrofini, feignant innocemment que ce photomontage en lui-même n’était pas « politisé », avant d’ajouter :
« Cette image se veut un message contre le racisme à trois cent soixante degrés. »
Comme le souligne l’édition d’aujourd’hui du quotidien italien La Verità, ce n’est pas la première fois que le conseiller spirituel de la Communauté de Sant’Egidio fait scandale pour avoir courtisé les immigrés et le monde LGBT : en 2007 il fit peindre une fresque du Jugement dernier révisé et corrigé en mode homohérétique, « avec une vaste iconographie gay en plus de deux transsexuels et d’un duo homosexuel ». Et évidemment, il est un de ceux qui encensa à sa mort le politicien et ami du pape François, le radical-chic homosexuel Marco Pannella, le père de la loi sur l’avortement en Italie :
« Un homme d’une grande spiritualité, qui sait nous aider à espérer et qui a passé sa vie pour les pauvres. »
Et le photomontage posté sur twitter n’est pas politisé, ose dire son porte-parole…
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Angleterre – Appel à dénoncer les réunions familiales de plus de six personnes
Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2020
Auteur : Pierre-Alain DepauwRoyaume-Uni – Au milieu des restrictions imposées par le gouvernement britannique au nom de la lutte contre le coronavirus qui permettent uniquement à des groupes de six personnes ou moins de se rencontrer, le ministre britannique chargé de la criminalité, de la police et du service d’incendie Malthouse encourage les citoyens à dénoncer leurs voisins aux autorités publiques si sept personnes ou plus sont rassemblées.
“Il est loisible aux voisins de faire cela via le numéro non urgent”, a déclaré Malthouse à la BBC lorsqu’on lui a demandé si une personne devrait signaler un rassemblement dans la cour d’un voisin. «Et s’ils sont inquiets et qu’ils voient ce genre de chose, alors ils devraient absolument y penser.»
Depuis quelques jours, de nouvelles règles restreignent les rassemblements intérieurs et extérieurs dans de grandes parties du Royaume-Uni, notamment en Angleterre et en Écosse.La BBC a rapporté qu’à Bristol, une mère a été approchée par la police parce que le pique-nique avec son enfant en bas âge et des amis de son enfant constituait un groupe de sept personnes et était désormais illégal. «C’est très difficile à comprendre : je suis autorisée à être dans un pub avec un groupe de personnes distantes d’un mètre, mais je ne peux pas être avec les amis de mes enfants», a-t-elle répondu à l’officier.
Des règles différentes dans diverses régions du Royaume-Uni sont également source de confusion. Une femme «a dit qu’elle pensait que son rassemblement de plus de six personnes était autorisé parce que les enfants allaient tous à l’école ensemble. Des groupes comme celui-ci seraient autorisés dans le pays de Galles voisin et en Écosse, où les enfants ne comptent pas dans le total.
Si un groupe doit être séparé par la police, chaque membre du groupe pourrait être condamné à une amende de 100 £ si l’incident est la première infraction. Après cela, l’amende devrait doubler à chaque fois, jusqu’à 3 200 £ pour la sixième infraction.
Afin de garantir “une application plus stricte des règles déjà en place”, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé la semaine dernière que son gouvernement utiliserait le plan “COVID Secure Marshalls”.
“Nous renforcerons la capacité d’application des autorités locales en introduisant des COVID Secure Marshalls pour aider à assurer la distanciation sociale dans les villes et les centres-villes, et en mettant en place un registre des agents de santé environnementale sur lesquels les autorités locales peuvent s’appuyer”, a déclaré Johnson lors d’un conférence de presse.Johnson n’a pas expliqué à l’époque quels seraient les pouvoirs des «COVID Secure Marshalls», ni comment ils seraient recrutés.
Le Daily Mail a rapporté un jour plus tard que les marshalls “n’auront aucun pouvoir formel pour procéder à une arrestation et doivent être payés par les autorités locales.” Bien qu’ils puissent interrompre les rassemblements de sept personnes ou plus et alerter la police, ils ne sont pas autorisés à imposer des amendes.
Le journal a cité Ken Marsh, président de la Metropolitan Police Federation, qui a souligné que les policiers réguliers étaient «absolument déconcertés» par cette annonce.
«Toute aide est une bonne aide, mais ce que j’aimerais comprendre, c’est quel est réellement leur rôle, que leur demandons-nous de faire?», demande un policier.
«Des marshalls ont déjà été déployés par le conseil municipal de Leeds et le conseil de Cornwall», selon le Daily Mail. D’autres endroits devraient recruter de tels agents dans un proche avenir, en utilisant les fonds du gouvernement local pour la formation et la rémunération.
Source : medias-presse.info