Publiépar Guy Jovelin le 25 janvier 2021
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Attention ! Le pire est à venir avec la terrible période de la Chandeleur.Il conviendra de garder les distances avec les crêpes dont la haute contagiosité circonvolutive est démontrée.Une interdiction de vente des poêles à frire serait, par ailleurs, à l'étude et pourrait être décidée lors du prochain Conseil de Défense, tandis que le Conseil scientifique préconise la limitation des achats de farine à 50 grammes par personne.À la Chandeleur, on garde ses distances, où on meurt.Le mieux serait de la repousser au 31 février 2022.JFT.
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Un ex-candidat EELV-LFI mis en examen pour tentative d’assassinat
Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2021
Le mardi 12 janvier, un homme était blessé par balles à Saint-Priest, ville de la métropole lyonnaise. Mohammed Djeffalet son frère sont soupçonnés d’être les auteurs des tirs.
En mars 2020, Mohammed Djeffal était candidat pour Saint-Priest sur la liste ACTES (Alliance Citoyenne pour la Transition Ecologique et Sociale), soutenue par la fédération Europe Ecologie-Les Verts du Rhône. Parallèlement, Mohammed Djeffal était également candidat aux élections métropolitaines lyonnaises, cette fois-ci sous les couleurs de La France insoumise.
A quand la dissolution de LFI et d’EELV ?
Source : lesalonbeige
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Et le retour dans leur pays ?
Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2021
Ils viennent en France malgré l’épidémie et les hivers plus rigoureux qu’en Afrique… et réclament leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie»… Il existe pourtant une solution durable et économique : le retour dans leur pays.
Environ 300 immigrés clandestins occupaient dimanche après-midi une ancienne école maternelle du XVIe arrondissement de Paris pour réclamer leur mise à l’abri «du froid et de l’épidémie». Avec l’aide des associations pro-immigration Utopia56, Droit au logement (DAL) et coordination des sans-papiers (CSP) 75.
Source : lesalonbeige
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Les lacunes du rapport Stora
Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2021
L’historien Benjamin Stora a été choisi par Emmanuel Macron pour travailler sur la réconciliation des mémoires de l’Algérie française. Il a remis son rapport le 20 janvier dernier. Bernard Lugan, grand spécialiste de l’Afrique, nous fait part de ses réflexions sur ce rapport que les Harkis contestent par ailleurs.
Pacifier les mémoires, certes, mais à condition :
1) Que cela ne soit pas une fois de plus à sens unique…Or, les principales mesures préconisées par le Rapport Stora incombent à la partie française alors que du côté algérien il est simplement demandé des vœux pieux…
2) Que la mémoire algérienne ne repose plus sur une artificielle construction idéologique car, comme l’a joliment écrit l’historien Mohammed Harbi, « L’histoire est l’enfer et le paradis des Algériens ».
Enfer parce que les dirigeants algériens savent bien qu’à la différence du Maroc millénaire, l’Algérie n’a jamais existé en tant qu’Etat et qu’elle est directement passée de la colonisation turque à la colonisation française.
Paradis parce que, pour oublier cet « enfer », arc-boutés sur un nationalisme pointilleux, les dirigeants algériens vivent dans une fausse histoire « authentifiée » par une certaine intelligentsia française…dont Benjamin Stora fait précisément partie….
Voilà donc pourquoi, dans l’état actuel des choses, la « réconciliation » des mémoires est impossible. Voilà aussi pourquoi toutes les concessions successives, toutes les déclarations de contrition que fera la France, seront sans effet tant que l’Algérie n’aura pas réglé son propre non-dit existentiel. Et cela, les « préconisations » du Rapport Stora sont incapables de l’obtenir, puisque, pour l’Algérie, la rente-alibi victimaire obtenue de la France, notamment par les visas, est un pilier, non seulement de sa propre histoire, mais de sa philosophie politique…
Un peu de culture historique permettant de comprendre pourquoi, il est donc singulier de devoir constater que l’historien Benjamin Stora ait fait l’impasse sur cette question qui constitue pourtant le cœur du non-dit algérien. Au moment de l’indépendance, la priorité des nouveaux maîtres de l’Algérie fut en effet d’éviter la dislocation. Pour cela, ils plaquèrent une cohérence historique artificielle sur les différents ensembles composant le pays. Ce volontarisme unitaire se fit à travers deux axes principaux :
1) Un nationalisme arabo-musulman niant la composante berbère du pays. Résultat, les Berbères furent certes « libérés » de la colonisation française qui avait duré 132 ans, mais pour retomber aussitôt dans une « colonisation arabo-musulmane » qu’ils subissaient depuis plus de dix siècles…
2) Le mythe de l’unité de la population levée comme un bloc contre le colonisateur français, à l’exception d’une petite minorité de « collaborateurs », les Harkis. Or, la réalité est très différente puisqu’en 1961, 250.000 Algériens servaient dans l’armée française, alors qu’à la même date, environ 60.000 avaient rejoint les rangs des indépendantistes.
Or, cette fausse histoire constitue le socle du « Système » algérien, lequel se maintient contre le peuple, appuyé sur une clientèle régimiste achetée par les subventions et les passe-droits. Ce même « Système » qui, à chaque fois qu’il est en difficulté intérieure, lance des attaques contre la France.
N’en déplaise à Benjamin Stora, voilà qui n’autorise pas à croire à sa volonté d’apaisement mémoriel.
Source : synthesenationale
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Le Honduras inscrit dans la Constitution l’interdiction totale de l’avortement et de la dénaturation du mariage
Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2021
Jeudi 21 janvier, au Honduras, le Parlement a voté une réforme de la Constitution qui inscrit dans la loi organique l’interdiction totale de l’avortement et clôt toute possibilité de débat et de modification postérieure. Le vote de jeudi grave aussi dans la Constitution l’interdiction de la dénaturation du mariage. L’article 67 indique désormais :« La pratique de toute forme d’interruption de la vie à naître, dont il faut respecter la vie à tout moment, est considérée interdite et illégale. Les dispositions légales qui seraient créées après l’entrée en vigueur du présent article et qui établiraient le contraire seront nulles et non avenues. »
Il faudra désormais les trois quarts des voix pour revenir sur ce verrou constitutionnel.
Le Honduras fait partie des six pays de la région, avec le Salvador, le Nicaragua, la République dominicaine, Haïti et le Suriname, à interdire totalement l’avortement.
Source : lesalonbeige