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  • 60% des Français souhaitent régulariser les sans-papiers qui disposent d’un contrat de travail

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Mars 2021 – Une étude Harris Interactive

    Régulariser les travailleurs étrangers résidant en Europe sans titre de séjour
    mais qui disposent d’un contrat de travail, afin qu’ils bénéficient des mêmes
    droits et rémunération que les travailleurs européens

    60% : Tout à fait favorable / Plutôt favorable
    40% : Tout à fait opposé(e) / Plutôt opposé(e)

     

    Permettre à tous les étrangers résidant depuis cinq ans en Europe de voter aux
    élections municipales et européennes, comme c’est le cas pour les étrangers
    originaires des pays de l’Union européenne

    56% : Tout à fait favorable / Plutôt favorable
    44% : Tout à fait opposé(e) / Plutôt opposé(e)

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    Source : fdesouche

  • Financement du terrorisme : 2 femmes qui envoyaient à leur sœur, en Syrie, de l’argent versé par la CAF ont été interpellées par la DGSI

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Deux femmes qui envoyaient à leur sœur, en Syrie, de l’argent versé par les allocations familiales ont été interpellées par la DGSI et placées en garde à vue.

    L’argent, nerf de la guerre… et du djihadisme. L’affaire survenue la semaine dernière est tout à la fois modeste et révélatrice. Car elle témoigne du travail discret et systématique des services de renseignement pour lutter contre le soutien financier «familial» à des djihadistes présents dans la zone syro-irakienne, où, après les revers enregistrés, les organisations terroristes se reconstituent dans la clandestinité.

    Lundi 15 mars, les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont interpellé deux femmes à Nîmes. Placées en garde à vue, ces deux sœurs en aidaient financièrement une troisième à la personnalité beaucoup plus préoccupante. Partie en zone syro-irakienne dans les années 2014-2015, celles de la création et de l’expansion du «Califat», cette troisième sœur radicalisée se trouve toujours là-bas avec ses enfants. Et elle n’est pas détenue par les forces syriennes ou kurdes mais toujours libre de ses mouvements dans l’une des poches de résistance islamistes.

    […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Nouvelle loi de séparation : une menace totalitaire

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Nouvelle loi de séparation : une menace totalitaire

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    Aline Lizotte dénonce les menaces totalitaires du gouvernement :

    […] La menace est sérieuse, car elle attaque la politique républicaine qui avait été conclue entre l’Église et le ministère de Raymond Poincaré en 1922. Cette entente politique permit à Pie XI de donner un consentement aux associations diocésaines qui remplaçaient les lois cultuelles votées en 1905-1907, sous le ministère d’Aristide Briand.

    Dans la loi de 1922, il n’était pas dit que les préfets pouvaient s’immiscer dans la gestion des cultes et faire tous les cinq ans une vérification du gouvernement interne de l’évêque. Il n’était pas dit non plus que la préfecture devait rendre compte à l’État de la gestion financière des Églises et contrôler la provenance de l’«argent» venu de l’extérieur. Les contrôles normaux des sources financières de la loi 1901 appliqués au fonctionnement des associations diocésaines étaient déjà bien suffisants. Quant à la surveillance de l’enseignement, les dispositions législatives opérées par l’OGEC sur les institutions d’enseignement secondaire et, directement, par le Ministère de l’Intérieur, sur les établissements d’enseignement supérieur ne pouvaient faire oublier à l’Église catholique que son action pastorale, ses enseignements et les diverses œuvres de bienfaisance – de charité – restaient toujours pour une part sous le contrôle de l’État.

    […]

    Sous prétexte de protéger le «droit privé» des personnes contraintes à se soumettre à des actes qu’une culture différente n’admet pas, actes que les Églises chrétiennes rejettent également (les mariages forcés, les mutilations sexuelles des jeunes filles, l’inégalité de l’héritage, les discours de haine, les discriminations multiformes), le projet législatif généralise les restrictions du droit public pour toute les assemblées cultuelles, même celles qui n’ont rien à voir avec ces faits de sociétés. Par le fait même, l’État trahit la parole et l’écrit auxquels, sous le gouvernement Poincaré, il s’était engagé2 sous la haute protection du Conseil d’État :

    «Le gouvernement de la République ne croit pas que la légalité des statuts qui ont été soumis à ce corps (le Conseil d’État) soit discutable et, si jamais elle était contestée, il ferait naturellement connaître son opinion et la soutiendrait dans toute la mesure de ses attributions, en la justifiant par ces documents qu’il considère comme décisifs».

    L’État français peut-il ainsi renier une parole donnée publiquement à toute Église et toute communauté cultuelle en spoliant le droit public de la liberté religieuse sous prétexte de faire respecter des droits privés ? Certes, il doit protéger tous les citoyens qui sont sous son gouvernement. Mais quand pour le faire il attaque le droit à la liberté religieuse et tente de faire prévaloir ses enquêtes et son ingérence en des domaines à l’égard desquels il n’a aucune compétence législative, il agit comme un gouvernement tyrannique. Surtout qu’il a d’autres moyens d’agir. Quand les États-Unis ont admis les Mormons comme citoyens américains, ils leur ont interdit la polygamie. Ils n’ont pas pour autant tenté de détruire toute forme d’Église ou d’association cultuelle. Et ils leur ont offert la protection du droit public pour leurs assemblées et les fonctions hiérarchiques de leurs communautés.

    Il est vrai, écrit Hannah Arendt3, que «les libertés démocratiques sont fondées sur l’égalité de tous les citoyens devant la loi. Pourtant, elles n’acquièrent leur sens et leur fonction organique que lorsque les citoyens appartiennent à des groupes qui les représentent, ou forment une hiérarchie sociale et politique».

    Ce que ce Gouvernement veut faire disparaître, ce n’est pas que le chrétien prie ou pleure devant son Dieu, mais que la hiérarchie – les évêques, les pasteurs et les ministres – puisse avoir une influence sociale déterminante en tant qu’Église, surtout en tant qu’Église hiérarchique. L’Église – aucune assemblée cultuelle – ne devrait avoir une influence prépondérante sur les projets sociétaux des programmes gouvernementaux, principalement sur tous ceux qui touchent les mœurs, qui promeuvent les libertés des valeurs transcendantes, celles de la foi et de la pensée, qui regardent les grandes traditions qui ont structuré ce pays autant pour la famille que pour l’éducation.

    C’est le combat dans lequel nous sommes engagés. Ce n’est pas notre piété religieuse qui est mise en cause, c’est non seulement notre liberté religieuse privée, c’est notre communauté ou notre Église. C’est le droit public d’appartenir à des groupes qui maintiennent la liberté de penser et de vivre autrement que ce que nous proposent ces groupuscules pour qui la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu.

     

    Source : lesalonbeige

  • Chute de la natalité en France

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Les chiffres de la natalité de janvier sont historiquement bas, consacrant la crise de la natalité en France. Mais nos idéologues considèrent que la priorité c’est de pouvoir avorter…

     

    Source : lesalonbeige

  • Risques de corrections boursières, de krachs obligataires et d’actions en 2021

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2022

    Le CAC 40 a fini en net repli de 1,07 %, ce vendredi, en dessous des 6.000 points, à l’issue d’une semaine volatile, perturbée par les craintes inflationnistes et les taux d’intérêt américains à 10 ans. Les taux obligataires états-uniens, qui semblaient s’assagir, sont repartis à la hausse jusqu’à 1,74 %. L’irrationnel s’empare des esprits dans un monde instable, surendetté, qui croule sous les liquidités des banques centrales. 

    L’or surréagit à la baisse avec des cotations autour de 1.730 dollars l’once, trop sensible à la hausse nominale des taux d’intérêt, tandis que le Bitcoin spéculatif prend son envol vers des sommets à plus de 60.000 dollars, même si la camarde l’attend au bout du chemin. Selon Jean-Claude Trichet, la bulle des crypto-actifs ressemble à la célèbre bulle des tulipes néerlandaises au XVIIe siècle. Un projet de loi qui a de grandes chances d’être adopté au Parlement indien vise à interdire le négoce, le minage et la détention du Bitcoin  et de toutes les cryptomonnaies dans l’ensemble du pays. En , le minage est d’ores et déjà interdit.

    Quant à l’or, il attend, au contraire, patiemment son heure. La Pologne veut encore acquérir 100 tonnes du métal précieux, après avoir déjà doublé ses réserves. La Banque centrale polonaise pourrait supplanter la Banque d’Angleterre en termes de réserves d’or. De plus, les règles de Bâle III devaient entrer en vigueur le 28 juin 2021 : l’or physique sera alors considéré comme un actif bancaire de niveau 1. Il aura alors le même poids, dans le bilan d’une institution financière, que des espèces en euros ou des obligations souveraines d’État. Jusqu’à présent, l’or était considéré par les banques centrales comme un actif de niveau 3, ce qui signifiait une décote de 50 % par rapport à un actif de niveau 1. Les banques centrales seront donc d’autant plus intéressées à acheter de l’or physique pour le mettre en réserve dans leurs coffres.

    Aux États-Unis, la masse monétaire M2 augmente à la verticale tandis que la vitesse de circulation de la monnaie diminue tout aussi rapidement d’une façon opposée. Les sommes énormes engagées par  pour stimuler l’économie seront payées par une hausse de la fiscalité aussi bien par les entreprises (impôts sur les sociétés à 28 %) que par les particuliers (impôts sur le revenu, taxes sur les plus-values) ou par l’. La croissance, en 2021, pourrait être de 6,5 % aux États-Unis avec une inflation de 2,4 %. Le déficit budgétaire a atteint 17 % du PIB, en 2020, et la dette américaine n’est pas soutenable à long terme, si l’on ne modifie pas la trajectoire des dépenses publiques.

    En France, le coût de la crise sanitaire, en 2020, pour l’État est au minimum de 160 milliards d’euros, selon le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt. La commission Arthuis, chargée d’un rapport sur les finances publiques, nous met en garde : l’endettement de la France devrait atteindre 133 % du PIB, en 2030, et 150 % du PIB, en 2045. Une remontée des taux d’intérêt serait mortelle pour la France. 1 % de taux d’intérêt supplémentaire représentera 28,8 milliards d’euros, en 2030. 10 % de taux d’intérêt supplémentaires… les recettes totales du budget de l’État français ne suffiraient alors pas à payer, sans inflation, les seuls intérêts de la dette ! La France de Macron est un pays au bord de la banqueroute.

    À terme, une forte inflation semble donc inévitable pour rembourser la dette en monnaie de singe. La monétisation de la dette par la BCE est une première forme d’effacement de la dette. La politique budgétaire de la fuite en avant continue. Patrick Artus estime que nous sommes au tout début d’une bulle sur les actions et l’immobilier, les banques centrales n’ayant plus comme seule solution, afin d’éviter l’effondrement, que d’empêcher la baisse des actifs et donc de créer des bulles. Ray Dalio, le fondateur de Bridgewater, estime qu’il faut être stupide pour investir aujourd’hui dans des obligations ; il faut acheter des actifs tangibles. Rabobank, de son côté, prédit des augmentations de prix bibliques à venir pour les denrées alimentaires. Pour l’instant, le président de la Fed Jerome Powell ne souhaite rien faire pour éviter l’inflation ; une surchauffe à venir de l’économie américaine est donc probable.

    À terme, la Fed devra cependant essayer de maîtriser les taux afin qu’ils ne montent pas trop vite. La BCE a déjà annoncé son désir de stopper la hausse des taux obligataires en contrôlant la courbe des taux. La seule chose certaine, c’est que le pacte de stabilité de Maastricht est enterré. Une correction boursière est possible dans les semaines qui viennent, suivie d’un krach obligataire, avec ensuite un krach possible des actions à partir du mois d’août, si l’on en croit les prévisions du Forum monétaire de Genève.

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise