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  • Ere de la dictature sanitaire covidienne : les dépressions des salariés et des jeunes en hausse

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2021

    Pendant que les mandarins au gouvernement s’engagent artificiellement, par une dictature sanitaire insupportable, à « sauver des vies » d’un côté en retardant de quelques mois une mort indiscutable au crépuscule de la vie de tout un chacun tout en cachant la réalité de la catastrophique politique hospitalière de fermeture de lits, ces mêmes restrictions sont à l’origine d’une mort sociale, psychologique, physique aux conséquences futures incalculables.

    Cet ordre du jour covidien liberticide provoque des maux sérieux de dépression parmi les jeunes générations et les salariés, les grands sacrifiés de toute cette déraison covidienne en action.

    Le Figaro écrit dans son édition d’hier :

    « Les taux de dépressions, notamment sévères, parmi les salariés ont explosé, un an après le début de la crise sanitaire et le premier confinement, selon un ‘’baromètre de la santé psychologique des salariés français en période de crise’’, réalisé par OpinionWay et présenté mardi. »

    « Si la détresse psychologique des salariés français reste importante et touche 45% d’entre eux (-5 points par rapport à décembre 2020) dont 20% de détresse psychologique élevée (identique), continue Le Figaro, ‘’le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés explose. Il passe de 21% à 36% (+15 points par rapport à décembre 2020) tandis que le nombre de dépressions sévères a doublé en un an (21% en mars 2021 contre 10% en avril 2020’’, a précisé Christophe Nguyen, à la tête du cabinet franco québécois Empreinte Humaine, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux (burn-out, dépressions, suicides…), en présentant la sixième vague de ce baromètre depuis le début de la crise. »

    « La détresse psychologique (indicateur de santé mentale utilisé pour diagnostiquer les troubles mentaux, NDLR) c’est l’antichambre de troubles mentaux plus sévères dont la dépression, et on voit que les gens sombrent », a-t-il ajouté, indiquant que « 63% des salariés» déclarent «voir de plus en plus de collègues en détresse psychologique ».

    « Les populations ‘’les plus à risques’’ restent ‘’les moins de 29 an’’ » souligne l’article.

    Cet état dépressif des jeunes a été confirmé par Angèle Consoli, pédopsychiatre et membre du Conseil scientifique, au micro de France Inter. Elle a ainsi déclaré que les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80%” depuis le début de l’épidémie de coronavirus ». Elle a par ailleurs ajouté que cette tendance à la dépression est marquée chez les 12-17 ans. Angèle Consoli s’appuie sur « les retours du terrain, de l’ensemble des collègues, qui montrent une demande de soins (à la suite) d’idées suicidaires et de crises suicidaires » et de « symptômes dépressifs » des plus jeunes, liées au contexte sanitaire actuel.

    Mais les problèmes des règles sanitaires drastiques tels le port du masque et le confinement sont multiples. Angèle Consoli ne peut cacher, bien qu’elle soit membre de ce Conseil Scientifique qui pousse aux restrictions, que « dans le champ de la petite enfance, il y a une vigilance à avoir, on a vu augmenter le nombre de consultations pour des retards de langage, pour des troubles du sommeil et des conflits intra-familiaux » chez les 0-3 ans.

    C’est le « en même temps » macronien, et mondialiste d’ailleurs, la contradiction étant une caractéristique de notre époque post-moderne, dans toute sa laideur.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

     
  • Profanation de la chapelle de l’hôpital de La Rochelle

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2021

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    Communiqué du diocèse :

    La chapelle de l’hôpital Saint-Louis de La Rochelle a été lourdement profanée le 22 mars 2021. Mgr Georges Colomb, évêque de La Rochelle et Saintes, dénonce un « acte odieux » et assure l’aumônerie catholique de l’hôpital de son soutien plein et entier. Une messe de réparation sera célébrée le 30 mars.

    C’est l’aumônier catholique du site, Jean-Claude Lartigue, qui découvre l’état déplorable de la petite chapelle située au cœur de l’hôpital Saint-Louis de La Rochelle, le jour même de la profanation. « Vers 16h30, j’ai constaté que notre chapelle avait été dégradée et plus encore », explique Jean-Claude Lartigue dans un courrier adressé le 23 mars à l’évêque du diocèse de La Rochelle.

    La description qu’il fait de la scène ne laisse aucun doute sur les intentions des auteurs. Sans cacher son émotion, Jean-Claude Lartigue explique que les nappes de l’autel ont été « souillées d’un liquide jaunâtre » et que la porte du Tabernacle a été forcée. « Grâce à Dieu », précise-t-il dans son courrier, les profanateurs n’ont pas réussi à ouvrir la petite armoire abritant le ciboire qui contient les saintes espèces.

    Par ailleurs, une statue en plâtre du Christ, normalement installée dans la chapelle du Sacré-Cœur, a été littéralement pulvérisée. A cet endroit précis, l’aumônier laïc observe encore deux tentatives d’incendie : il retrouve d’ailleurs un mégot de cigarette sur l’une des marches de l’autel, sur une petite table ronde, près du petit autel, il ramasse encore deux allumettes éteintes.

    Une messe de réparation le 30 mars

    L’aumônier prévient aussitôt l’équipe de sécurité. Après avoir pris conscience de l’importance des dégâts, la police est alertée et l’état des dégradations est constaté. L’identité judiciaire est venue faire au moins vingt relevés d’empreintes et l’enquête suit son cours. Le directeur de l’hôpital s’est rendu personnellement sur les lieux pour assurer que le centre hospitalier apporte tout son soutien à l’aumônerie catholique.

    « Après avis de l’identité judiciaire, nous pouvons désormais venir dans notre chapelle, la prière du mardi de la Montfortanie de ce jour à 15h30 comme la célébration à 16h30 sont maintenues », indique l’aumônier laïc qui souligne son intention de demander l’installation de caméra de surveillance reliées au PC de sécurité de l’hôpital.

    Après cette profanation, Mgr Colomb a vivement réagi condamnant un « acte odieux » et assurant l’aumônier de l’hôpital de son « plein soutien ». Le père Bertrand Monnard, vicaire général du diocèse de La Rochelle, a par ailleurs demandé qu’une messe de réparation soit célébrée le 30 mars.

     

    Source : lesalonbeige

  • Stella, petite fille transgenre de 8 ans, a changé de prénom (MàJ : Elle s’entraine a répondre aux questions)

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2021

    24/03/21

    25/02/21

    Stella a changé de prénom très récemment à Amplepuis, au nord-ouest de Lyon. Elle est une petite fille transgenre de 8 ans. Depuis toute petite, elle ne se reconnaît pas dans le corps dans lequel elle a été assignée à la naissance : celui d’un garçon. Les pédopsychiatres appellent cela la « dysphorie de genre ». Alors, en novembre 2020, ses parents et elle ont obtenu son changement de prénom auprès de l’officier de l’état civil. Depuis, Stella a enfin le sentiment de pouvoir s’épanouir et grandir comme une petite fille.

    Le Progrès via fdesouche

  • Dans la nouvelle traduction néerlandaise de Dante, le nom de Mahomet a disparu “pour ne pas blesser inutilement”

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2021

    Dans la nouvelle traduction néerlandaise de Dante, le nom de Mahomet a disparu

    L’Enfer de Dante vient de paraître en néerlandais dans une nouvelle traduction. Le style a été adapté pour être plus accessible, notamment aux jeunes, et quelques coupes ont été faites. Ainsi le passage où figure le prophète Mahomet a été légèrement modifié “pour ne pas blesser inutilement”. Ce choix suscite la polémique, d’autant qu’il ne fait pas suite à une demande du public musulman.

    www.courrierinternational.com via fdesouche

  • Autriche : Le décès d’une infirmière est confirmé en lien avec la vaccination AstraZeneca

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2021

    Le site Merkur.de rapporte ce 23 mars 2020 au soir que « Le vaccin du fabricant Astrazeneca est critiqué depuis des semaines, une infirmière autrichienne est décédée après l’avoir reçu. Le lien de causalité a été reconnu mais il serait très rare. »

    A Vienne et dans le reste du monde, le coronavirus  sème l'incertitude depuis environ un an. Les vaccins approuvés fin 2020 pourraient désormais ouvrir la voie à la sortie de la pandémie. Alors que la stratégie de vaccination en Allemagne est plutôt lente, le vaccin du fabricant Astrazeneca a semé l'incertitude au sein de la population ces dernières semaines. Après que plusieurs personnes aient souffert d'effets secondaires graves après la vaccination Astrazeneca, et même des décès soient apparus, il y a maintenant une certitude :   le déclencheur de la mort d'une infirmière en Autriche est en fait le vaccin Astrazeneca.

    Corona en Autriche: après la mort d'une infirmière - le lien avec la vaccination est maintenant confirmé

    C'est une nouvelle inquiétante qui a fait le tour de l'Autriche au début du mois de mars. Comme l'ORF l'a rapporté, citant l'Office fédéral autrichien pour la sécurité dans les soins de santé, deux cas critiques se sont produits dans la clinique d'État de Zwettl après la vaccination corona avec le vaccin du  fabricant Astrazeneca. Les deux femmes étaient deux infirmières et toutes deux ont reçu leurs vaccinations à partir du même lot de vaccin. Alors qu'une infirmière de 49 ans est décédée dix jours après la vaccination, son collègue de 35 ans de l'hôpital d'État de Zwettl souffrait d'une embolie pulmonaire.

    (...)

    Francesoir.fr via lesobservateurs