Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 12

  • Nouvelle barbarie

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2021

    synthesenationale

    2953145352.jpg

    Laurence de Charette

    Rixes mortelles, batailles armées, passages à tabac sanglants, professeurs attaqués… La simple chronique de l’activité policière ne laisse aujourd’hui plus de place aux discours euphémisants qui nous tiennent lieu de cache-sexe depuis tant d’années. Quoi qu’en dise le garde des Sceaux, la violence des mineurs a franchi un seuil que les professionnels décrivent avec la triste précision des témoins de terrain. Après le meurtre d’Alisha, après le lynchage du jeune Yuriy, après les nuits d’émeutes urbaines à Blois, après, après... Ils- font un triple et terrible constat.

    D’abord, la violence gangrène des adolescents de plus en plus jeunes, elle s’enracine dès la sortie de l’enfance et souvent avant. Rien, ensuite, ne semble à même de l’endiguer : elle a, en réalité, changé de nature. Confrontés à des agresseurs dénués de culpabilité ou d’empathie envers les victimes, dépourvus de cette ultime limite intérieure qui seule peut retenir le bras de celui qui ne s’inscrit plus dans l’ordre de la loi, les éducateurs, à court de mots, ne parlent plus de «violence », mais d’« ultraviolence ». Cette nouvelle barbarie qui s’est engouffrée dans l’effondrement de toute notion d’autorité et la faillite de nos politiques d’intégration constitue, sans nul doute, l’un des phénomènes sociaux les plus inquiétants de notre temps.

    Enfin, elle fait l’objet d’une incompréhensible impunité ! Le Parlement vient d’adopter une énième réforme de la justice des mineurs, cette justice hérités d’autres temps, tellement attachée à l’excuse et si peu à la sanction, dont le laxisme est aujourd’hui largement instrumentalisé par les mineurs et les réseaux qui les utilisent. Il faudrait en espérer quelques progrès…

    Car il n’est plus possible d’ignorer – sous peine de les voir s’étendre rapidement - les ravages de cette délinquance protéiforme qui fertilise le terreau de la radicalisation et déstabilise l’école, désormais soumise, comme toute la société, à ses attaques mortifères. Inutile de nous bercer d’illusions : la bataille n’est pas gagnée, tant sont nombreux et profonds les aveuglements et les renoncements qui la précèdent.

    Illustration : dessin de Konk

    Source : Le Figaro 23/3/2021

  • Montpellier : une femme amenée à devoir proposer rétribution à un homme, afin de l’escorter à son travail, pour cause d’insécurité

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Insécurité à Montpellier : une salariée en boulangerie de nuit cherche “un escort” !

    […]

    Dix minutes à pied 

    « Je travaille en boulangerie et je dois partir de chez moi à pied à 2h40. J’habite boulevard de Strasbourg et il faut dix minutes pour rejoindre mon lieu de travail. Si certaines personnes sont intéressées, je propose 120 euros par mois pour qu’un homme m’accompagne en milieu de nuit du mardi au samedi , ou 6 euros par nuit », écrit cette employée en boulangerie, qui redoute de croiser un ou des agresseurs sur son trajet et qui souhaite aller travailler en toute sécurité. Des « escorts » ne devraient pas tarder à se manifester.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Metropolitain

  • Musique : en Hongrie, Viktor Orbán prêt à financer une pop et un rock “populistes”, pour en faire “un ciment d’identité”

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Quand la «pop» rime avec «populisme». Le gouvernement souverainiste de Viktor Orban, avec son objectif de défendre l’identité hongroise, envisage de soutenir la scène locale. Une idée qui peut séduire, mais qui sème finalement l’inquiétude chez les musiciens.

    (…) Le plan, dont les détails ont été révélés cette semaine, promet une enveloppe de 62 millions d’euros pour dénicher et former les talents, financer la création et les équipements (studios, lieux de concert…). «Il s’agit d’aboutir à des productions pop et rock hongroises de qualité, d’en faire un ciment d’identité», explique Szilard Demeter, l’homme derrière cette initiative qui officie depuis 2019 comme commissaire à la culture.

    Dans un entretien accordé l’an dernier à l’AFP alors que se dessinait le projet, il soulignait en quoi «la musique peut exprimer ce qui est différent dans la personnalité, la vision et l’expérience historique» des habitants de ce pays d’Europe centrale de près de 10 millions d’habitants. «C’est parfois incompris par les Européens de l’ouest, mais c’est ce qui est passionnant et exotique», confiait-il. Et de préciser ses ambitions pour la culture hongroise : «Dans la féroce guerre qui se joue, la question est de savoir si elle aura disparu dans cent ans», insiste ce guitariste amateur. «L’identité nationale s’est affaiblie et doit être restaurée», clame l’écrivain de 44 ans.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Théâtres et salles de spectacles occupés...

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Théâtres et salles de spectacles occupés... La racaille rose, verte, rouge et arc-en-ciel du "monde de la culture" joue à Odéon 1968, se mobilise pour ses intérêts claniques et plus encore, au nom de la "convergence des luttes", en faveur des supposés précaires et plus encore des "migrants". Un jour, il faudra leur couper les vivres.
    JFT
    Peut être une image de une personne ou plus et plein air
     
     
     
     
     
  • Locataire squatteur dans l’Aude : “Il vit chez moi pendant que je suis à la rue”, le cauchemar de Solange pour récupérer sa maison

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Locataire squatteur dans l'Aude : "Il vit chez moi pendant que je suis à la rue", le cauchemar de Solange pour récupérer sa maison

    Loyers impayés, refus de quitter les lieux… En Occitanie les affaires qui opposent locataires et propriétaires se multiplient. Des propriétaires qui, parfois, se retrouvent à la porte de chez eux.

    “Ce soir j’irai dormir chez une amie, il n’y a plus de chauffage dans mon camping-car, la nuit dernière j’étais frigorifiée.” Solange Freu a la voix fatiguée, lassée. Le camping-car dont elle parle est celui dans lequel elle vit depuis le 1er mars.

    Pourtant Solange est propriétaire d’une maison de quatre chambres à Coursan, dans l’Aude, devant laquelle elle a installé son camping-car. Mais depuis 2017 sa maison est habitée par ce que la loi appelle un “occupant sans droit ni titre”.

    www.midilibre.fr via fdesouche.