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Cet Ivoirien de 34 ans qui vit et travaille à Nice depuis 2014 devait être expulsé après avoir été contrôlé en situation irrégulière dans le restaurant “Poppies”, ouvert illégalement le 27 janvier.
L’audience du tribunal administratif de Nice qui devait examiner ce mercredi matin la situation de Moussa Ndieng, ce cuisinier ivoirien âgé de 34 ans en situation irrégulière en France depuis 2011, ne s’est pas tenue, a indiqué son avocate Hanan Hmad. “Un accord a été trouvé”, sourit-elle. “Le préfet a abrogé sa décision!”, précise de son côté son associé, Maître Zia Oloumi. En clair : le préfet des Alpes-Maritimes a annulé l’OQTF – l’obligation de quitter le territoire français – qu’il avait prise par arrêté contre le trentenaire, sans papier. “Il n’y a plus lieu au contentieux, donc ça veut dire que l’on peut être optimiste sur la suite”, ajoute maître Oloumi.
Selon une information du Parisien. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi.
Les policiers remarquent que la femme présente un œdème au niveau de l’œil, qui continue de gonfler. Elle relate alors une dispute, sur fond de jalousie de la part de Doc Gynéco, qui il lui aurait mis quatre gifles. Le chanteur a reconnu les faits et son épouse a été conduite à l’hôpital. Elle ne souhaite pas porter plainte. Quant à l’enquête, elle a été confiée au commissariat du XVIIIe arrondissement.
Placé en garde à vue, il n’a, selon nos informations, opposé aucune résistance. Le chanteur n’était par ailleurs pas alcoolisé.
Le chanteur a été interpellé et placé en garde à vue ce mercredi soir pour des soupçons de violences conjugales. Son épouse, frappée au visage, a été conduite à l’hôpital.
Le rappeur et producteur Doc Gynéco, de son vrai nom Bruno Beausir, a été interpellé à son domicile, ce mercredi soir, et placé en garde à vue en fin d’après-midi pour violences conjugales, selon une information du Parisien.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi après-midi.
L’épouse du chanteur, qui aurait reçu des coups au visage lors d’une dispute dans l’après-midi, a été conduite à l’hôpital. L’enquête a été confiée au commissariat du XVIIIème arrondissement de Paris.
J’avais signalé ici les révélations du Canard enchaîné sur un dîner dans un restaurant ouvert clandestinement dans le quartier du siège parisien de BFMTV et réunissant une vingtaine de convives : journalistes de la télévision, “experts” médicaux pour la télévision ainsi qu’un officier des sapeurs-pompiers, lui aussi “expert” pour la télévision.
Ceux-là même qui cherchent à conserver la population dans la crainte du Covid-19 faisaient un bon gueuleton, bien au-delà du couvre-feu, sans bien évidemment respecter les fameux gestes barrières qu’ils nous recommandent de respecter scrupuleusement.
Depuis lors, le nom de l’un des vingt convives a été dévoilé : pas moins que Christophe Barbier, chroniqueur sur BFMTV et directeur de la rédaction du magazine L’Express. Voilà qui ne manque pas de sel.
On se souviendra en effet que cette petite graine de Pol Pot ne manque pas une occasion de pointer du doigt les “complotistes” et tous les mauvais Français qui rechignent à suivre bien sagement les recommandations de Big Pharma et les diverses restrictions sanitaires. Christophe Barbier répète en boucle que ceux qui refusent le vaccin anti-Covid devront être privés de la possibilité de se rendre au restaurant, au théâtre, etc.
Le Canard enchaîné en remet une couche cette semaine, avec un nouvel article. Cette fois, c’est Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFMTV, qui a été surpris en train de déjeuner dans un restaurant ouvert clandestinement.
Je répète ce que j’écrivais la semaine dernière : tout ceci est la démonstration que ces gens-là ne croient pas à ce qu’ils disent à la télévision ou écrivent dans la presse sur la gravité de l’épidémie de Covid et sur l’impérieuse nécessité d’obéir aux consignes gouvernementales.
En complices du système, ils cherchent simplement à nous manipuler et nous conditionner. Et en privilégiés du système, ils s’arrogent le droit de faire tout ce qui est interdit au Français moyen.
Maintenant qu’ils ont été pris la main dans le sac, ces gens-là devraient démissionner et se terrer honteusement.
Quant aux Français, preuve est faite qu’ils ne doivent plus accorder la moindre confiance à ce que disent les médias du système. Ni craindre une épidémie qui n’est pas plus dangereuse que la grippe.
C’est d’abord l’histoire d’une promesse. Invité du média Brut le 4 décembre dernier, Emmanuel Macron a déclaré qu’il souhaitait qu’une liste de “300 à 500” personnes issues des Outre-Mer, des anciennes colonies ou de l’immigration soit rendue publique afin d’aider notamment les maires à renouveler les noms des rues ou des bâtiments publics et qu’une plus juste représentation de l’histoire française soit visible dans l’espace publique.
Le Président de la République a confié cette mission à un comité scientifique d’une vingtaine de personnes dirigé par l’historien Pascal Blanchard. A ses côtés, on compte l’autrice Leïla Slimani, l’islamologue Rachid Benzine ou encore l’historien Pascal Ory. Ils ont remis leurs travaux au Président de la République en février. C’est cette liste définitive, validée par l’Elysée, que Le HuffPost vous révèle ce 10 mars, quelques jours avant sa présentation officielle par la ministre déléguée chargée de la Ville, Nadia Hai.
Belgique – Le site de la RTBF, télévision d’Etat en Belgique francophone, a fait état il y a quelques jours d’un document confidentiel daté du 2 mars dernier. Il s’agit de la retranscription d’une réunion entre des gradés de onze zones de police de la Province de Liège (Vesdre, Grâce-Hollogne/Awans, Ans/Saint-Nicolas, Liège, Beyne/Fléron/Soumagne, Secova, Herstal, Condroz, Fagnes, Basse-Meuse, Huy).
Cette réunion concernait la manière dont les policiers ressentent l’obligation de faire respecter les restrictions sanitaires imposées par les autorités politiques.
La RTBF affirme avoir contacté cinq chefs de ces corps de police. Aucun n’a souhaité s’exprimer en interview, mais tous ont confirmé que la police se sent mal à l’aise.
“Le personnel rechigne à faire appliquer les directives qui sont de plus en plus complexes et difficiles à faire respecter“, explique un directeur opérationnel selon la retranscription de cette réunion entre des gradés de onze zones de police de la Province de Liège.
Par ailleurs, un commissaire en chef confie aux journalistes de la RTBF que la population “adhère de moins en moins aux interdictions. Un certain ras-le-bol s’installe de plus en plus.”
Cela rejoint le contenu de la retranscription de cette réunion entre des gradés de onze zones de police de la Province de Liège.
“Nous pensons que la population, littéralement à bout, “n’attend qu’un incident” pour se regrouper en foyer de révolte.”
Telle petite zone de police “ne pourrait pas résister à un mouvement social de masse.“
Tel responsable policier remarque une “distance de plus en plus importante avec le politique“.