Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2021
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Bergoglio en Irak : "Si Dieu est le dieu de la vie — et il l'est — il ne nous est pas permis de faire la guerre à nos frères. Si Dieu est le dieu de l'amour, il ne nous est pas permis de haïr nos frères".Moi je ne reconnais pas comme mes frères ceux qui veulent la seconde mort du Christ et l'anéantissement de ma civilisation.2021 versus 1095. La prière de Mossoul contre l'appel de Clermont. François contre Urbain II.Les ténèbres contre l'esprit du Christ-Roi.JFT
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Au Québec, on peut retourner au cinéma mais pas à la Messe
Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2021
par Léo Kersauzie — 6 mars 2021Les autorités du Québec pourraient-elles expliquer pourquoi, sous prétexte de la situation sanitaire, elles permettent aux cinémas d’accueillir jusqu’à 250 personnes mais ne permettent pas aux églises d’accueillir plus de 10 personnes pendant un office religieux ?
Même le cardinal Gérald Lacroix, archevêque de Québec, pourtant très soumis aux directives sanitaires, a publié un communiqué sur le site Web de l’archidiocèse dans lequel il dit que les croyants «ne peuvent pas comprendre pourquoi l’accès à leurs lieux de culte reste limité à 10 personnes dans la zone rouge alors que les cinémas peuvent accueillir jusqu’à 250 personnes.”
Dans son communiqué empreint de langue de bois, le cardinal, poussé dans le dos par les fidèles catholiques, finit par qualifier les actuelles mesures de « déraisonnables et injustes » et cite l’exemple de familles en deuil qui ne peuvent «accompagner un être cher à l’église et lui offrir des obsèques chrétiennes alors que, parfois dans le même quartier, il est possible d’en rassembler 250 dans un cinéma».
Le premier ministre François Legault avait annoncé le 16 février que les cinémas, les piscines intérieures et les gymnases intérieurs rouvriraient le 26 février dans toute la province, y compris ceux situés dans les zones qui sont toujours dans la zone de verrouillage stricte «rouge».
Mais les lieux de culte ne peuvent accueillir que 10 personnes pour les différentes célébrations et 25 personnes pour les funérailles.
Le cardinal Lacroix a écrit que les catholiques «ne peuvent pas garder le silence sur les décisions prises par les autorités, qui nous laissent une impression de discrimination contre les communautés religieuses». Il a invité les catholiques à contacter leurs députés pour exprimer leur «point de vue».
De son côté, l’archevêque de Montréal Christian Lépine a écrit un communiqué publié sur le site web du diocèse dans lequel on peut notamment lire :«Si les magasins et les centres commerciaux sont ouverts au public conformément aux mesures appropriées, il n’y a aucune raison pour que les lieux de culte ne fonctionnent pas dans les mêmes conditions»
Des propos qui restent bien timorés au regard de la situation.
Source : medias-presse.info
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Clermont-Ferrand : condamné pour le viol d’une étudiante, Ismail Ezzouak n’ira pas en prison
Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021
Du sursis pour un ancien interne en médecine condamné pour viol en appel par la cour d’assises de l’Allier à Moulins
[…]La cour d’assises du Puy-de-Dôme, le 15 mars 2019, avait condamné Ismail Ezzouak à quatre ans de prison, dont deux avec sursis. L’accusé, âgé de 32 ans, devenu psychiatre, avait fait appel. Il a été rejugé ce vendredi 5 mars 2021 devant la cour d’assises de l’Allier, à Moulins, qui l’a condamné à une peine de quatre ans d’emprisonnement intégralement assortie de sursis.
[…]L’article dans son intégralité sur La Montagne
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La ministre des Armées sanctionne lourdement un capitaine de gendarmerie qui dénonce l’explosion de la délinquance
Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021
Le militaire a écopé d’un blâme, l’une des plus lourdes sanctions qui puisse être infligée à un officier français, pour être sorti de son devoir de réserve en publiant un livre.
Puni pour avoir dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Récemment, le capitaine de gendarmerie Hervé Moreau a publié un livre pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice. Baptisé Vérités d’un capitaine de gendarmerie, ce brûlot édité à compte d’auteur s’est déjà vendu à 5 000 exemplaires, sans aucun diffuseur, rapporte Le Figaro, qui dresse le portrait de l’officier. Pour être sorti de son devoir de réserve, Hervé Moreau savait qu’il allait écoper d’une sanction. Mais il ne s’attendait pas à une telle sévérité, comme il le confie au quotidien.
En effet, la ministre des Armées Florence Parly lui a infligé un blâme, l’une des plus lourdes sanctions qui puisse être infligée à un officier français. Pour faire un exemple ? « Je suis tout simplement abasourdi. Je m’étais préparé à des arrêts de rigueur, mais pas à ce désaveu terrible de la part d’une institution que je sers fidèlement depuis près de 30 ans, dans l’armée de terre, puis dans la gendarmerie nationale », confie ce saint-cyrien au Figaro. « Désormais, je suis prêt à prendre tous les risques pour donner la parole aux gendarmes qui vivent des situations de plus en plus intenables et aux victimes que l’incurie de notre système judiciaire muselle et bafoue », ajoute-t-il.
PORTRAIT – L’ancien commandant en second de la compagnie de gendarmerie départementale de Beaune, en Bourgogne, a décidé de rompre le devoir de réserve pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice.
«La violence qui gangrène aujourd’hui notre société, comme en témoignent les récentes affaires d’affrontements entre bandes rivales dans les quartiers dits sensibles, mais aussi dans les zones rurales ou périurbaines, n’arrive pas à être prise en compte de manière judiciaire», lance le capitaine Moreau.
«Malgré le formidable travail mené sur le terrain par les gendarmes et les forces de l’ordre en général, combien de fois ai-je vu des auteurs d’agressions, interpellés en flagrant délit ou après une enquête minutieuse, ressortir sans aucune condamnation avec dans les yeux une expression de défi? Pendant combien de temps nos compatriotes vont-ils encore tolérer cela?»
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En Indonésie, la loi permet d’infliger une amende et de priver d’aides sociales ceux qui refusent la vaccination obligatoire anti-Covid
Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021
Auteur : Pierre-Alain DepauwLe président de l’Indonésie a décrété que de lourdes sanctions financières pourraient être imposées aux citoyens qui ne se conforment pas aux campagnes de vaccination obligatoire anti- COVID, y compris des amendes et la suppression des prestations d’aide sociale.
Jakarta, la capitale animée du pays, abrite quelque 10 millions de personnes et est la première région du pays, et du monde, à mettre en œuvre les nouvelles règles, imposant des amendes allant jusqu’à 5 millions de roupies indonésiennes (environ 350 dollars) pour non-conformité à la vaccination obligatoire. Les 33 provinces restantes, qui ont la prérogative d’appliquer les nouvelles règles du président, n’ont pas encore choisi d’imposer ces sanctions.
Le vice-gouverneur de Jakarta, Ahmad Riza Patria, a défendu les nouvelles mesures, avertissant les dissidents potentiels : «Si vous la rejetez, il y a deux choses, l’aide sociale ne sera pas accordée, et vous aurez une amende.»
Le ministère de la Santé indonésien a rapporté que 65% des Indonésiens sont prêts à se faire vacciner contre le COVID-19, avec seulement 8% admettant qu’ils refuseraient catégoriquement le vaccin.
Le Dr Febi Dwirahmadi, professeur associé indonésien à l’Université Griffith d’Australie, a qualifié ces mesures de «coercitives».
«La confiance sociale est absente. Les gens se demandent toujours si cela est sans danger pour les personnes âgées ou les femmes enceintes », a-t-elle déclaré.
Usman Hamid, directeur d’Amnesty International Indonésie, a critiqué le gouvernement indonésien pour avoir imposé un «mandat général en matière de vaccination, en particulier un mandat comportant des sanctions pénales», le qualifiant de «violation flagrante des droits humains».
Un certain nombre de gouvernements à travers le monde – tout en n’imposant pas la vaccination – commencent à mettre en œuvre des mesures strictes qui reviennent à forcer la vaccination.
Israël est en tête à cet égard, venant juste de commencer à rouvrir une partie de son économie aux citoyens qui ont été vaccinés contre le COVID-19 après un verrouillage de deux mois. Ceux qui n’ont pas encore reçu le vaccin COVID, ou qui ont refusé de prendre le vaccin, resteront dans l’impossibilité d’accéder à un certain nombre de lieux et d’entreprises.
En outre, les autorités israéliennes ont adopté une loi permettant que les informations personnelles de ceux qui ont refusé les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 puissent être collectées et partagées à divers organismes gouvernementaux par le ministère de la Santé. La législation s’étend à ceux qui ont reçu leur première dose du vaccin anti-COVID, mais qui ne sont pas revenus pour la seconde.
Alors que le gouvernement israélien envisage une législation qui permettrait aux entreprises privées d’imposer que leur personnel soit vacciné, Mobileye, un développeur de voitures autonomes israélien et filiale d’Intel, a déjà annoncé qu’il interdirait aux employés qui rejettent une vaccination contre le coronavirus de pouvoir travailler dans les locaux de l’entreprise.
De même, en Suède, des mesures coercitives sont mises en œuvre qui rendent la vie de plus en plus difficile à ceux qui refusent les vaccins anti-COVID-19, que ce soit pour des raisons morales, médicales ou religieuses.
Le ministre suédois du développement numérique, Anders Ygeman, a annoncé que «lorsque la Suède et les pays qui nous entourent commenceront à s’ouvrir, il sera probablement nécessaire d’avoir un certificat de vaccination pour voyager et participer à d’autres activités», y compris l’accès aux divertissements, aux loisirs et aux entreprises.
Le président américain Joe Biden a lui signé en janvier un décret ordonnant au gouvernement d’évaluer la «faisabilité» des passeports vaccinaux.
Mais l’effort international pour contraindre les populations à recevoir les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 produit des résultats mortels. Les données du ministère israélien de la Santé ont confirmé que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer a tué «environ 40 fois plus de personnes (âgées) (en Israël) que la maladie elle-même n’en aurait tué» au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines.
Source : medias-presse.info