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  • Le premier implant pour payer avec sa main est disponible en France

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2021

    L’idée s’apparente à de la science-fiction, mais elle est déjà devenue réalité. La firme britannique Walletmor vient en effet de lancer la semaine dernière le tout premier implant sous-cutané, capable de remplacer une carte bancaire pour les paiements sans contact.

    De la taille d’un grain de riz, cet implant présenterait plusieurs avantages, promet l’entreprise : non seulement l’utilisateur serait assuré de toujours garder son moyen de paiement sur lui, mais en plus ce dernier serait physiquement impossible à dérober. De plus, l’implant repose sur la même technologie NFC que les cartes bancaires traditionnelles supportant déjà le sans contact, ce qui le rend compatible avec la majorité des terminaux. Biocompatible, le dispositif annonce enfin une durée de vie de huit ans, après quoi il devra être remplacé ou retiré.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • L’inquiétante prolifération des drones turcs

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2021

    L’inquiétante prolifération des drones turcs

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Erdoğan savoure son triomphe sans mesure : ses drones se vendent comme des petits pains. Il en existe plusieurs modèles, mais le fleuron est le Bayraktar TB2 fabriqué par l’entreprise privée Baykar. Pour la petite histoire c’est Selçuk Bayraktar qui en est le dirigeant. Ce brillant ingénieur, qui a fait ses études aux États-Unis, est également le gendre d’Erdoğan ; les affaires, c’est mieux en famille.

    Le Barayktar a déjà fait ses preuves. En Syrie, où il a infligé de lourdes destructions à l’armée syrienne, retardant ainsi la reconquête de la poche islamiste d’Idlib que les Turcs cogèrent avec plusieurs milices islamistes. En Libye également, où il fut massivement utilisé contre les forces du maréchal Haftar dont l’objectif était de prendre Tripoli. Elles furent stoppées net par la redoutable efficacité de ces drones et subirent des pertes importantes. Les mercenaires russes du groupe Wagner furent tout aussi démunis et durent également battre en retraite. Ce succès permit à la Turquie de renforcer son implantation en Libye.

    Mais c’est sur le théâtre d’opérations du Haut-Karabagh que leur efficacité fut la plus médiatisée. Lorsque l’armée azerbaïdjanaise lança son agression contre le territoire arménien du Haut-Karabagh, fin septembre 2020, les Arméniens n’avaient pas encore réalisé qu’ils avaient une guerre de retard. Forts de leur succès éclatant de la guerre de 1992-1993 qui les avaient vu écraser leurs adversaires (le conflit avait fait près de 30.000 morts), ils étaient persuadés de repousser facilement l’assaut azéri.

    Mais très vite, ils subirent les ravages de ces drones vendus par la Turquie au cours des mois précédents. Bakou a beaucoup de pétrole et donc beaucoup d’argent. Les chars et les premières lignes de l’infanterie arménienne furent disloqués par ce déluge de feu. Le courage légendaire du combattant arménien n’y pouvait rien. D’ailleurs, lorsque les combats eurent lieu à armes égales, les assaillants furent souvent repoussés, en particulier les mercenaires islamistes syriens amenés par avion depuis la Turquie.

    La Russie mit fin à cette partie inégale mais l’inquiétude demeure : les drones turcs ont changé le cours de la guerre et font peser une menace nouvelle sur l’avenir même de l’Arménie.

    Depuis, d’autres pays ont fait leur marché. L’Ukraine a annoncé en avoir acquis 12. On dit que le premier aurait été utilisé en octobre, détruisant une batterie des séparatistes du Donbass. Mais l’armée n’a pas confirmé.

    Erdoğan, qui a récemment effectué une tournée en Afrique, en a profité pour essaimer au passage : le Maroc s’est porté acquéreur, au grand dam de l’Algérie avec qui il est en conflit frontalier, le Niger également, et l’on parle maintenant de l’Éthiopie. Il n’y pas eu de confirmation la concernant, mais la presse turque l’a annoncé victorieusement. Cette perspective inquiète au plus haut point le Soudan et l’Égypte, qui ont des relations tendues avec l’Éthiopie.

    Cette prolifération est inquiétante et, comme d’habitude, les alliés de l’OTAN ferment les yeux, laissant Erdoğan agir à sa guise et souffler sur les braises partout où il peut. La marche de l’islamo-nationalisme orchestrée par Erdoğan s’appuie donc maintenant sur une technologie militaire haut de gamme. Et personne ne veut prendre le risque de la freiner.

     

    Source : lesalonbeige

  • En Belgique, un couple indemnisé « pour la naissance » de jumeaux non conformes à ce qu’ils voulaient

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2021

    Bientôt des bébés sur mesure nés d'une FIV ?

    « En Belgique, un couple a été indemnisé pour la naissance de jumeaux inaptes à donner leur moelle osseuse à l’aîné, raison pour laquelle ils avaient été conçus. »

    Effrayant pas en avant dans la chosification de l’humain. Les bébés deviennent vraiment des produits de consommation. Evidemment, l’avortement légalisé avait ouvert la voie : pour étouffer les cris de la conscience des mères ont essaie de se persuader qu’il ne s’agit que d’un amas de cellules.

    Blanche Streb, docteur en pharmacie et ancien chercheur, auteur de Bébés sur mesure, et responsable chez Alliance Vita, s’attarde sur cette affaire dans une tribune dont voici un extrait :

    « La technique du bébé médicament, appelé aussi parfois «bébé double espoir» requiert la fabrication d’un très grand nombre d’embryons in vitro, suivie d’un double tri. Les couples, même s’ils ne sont pas infertiles, traversent donc le difficile parcours de procréation artificielle. Le premier tri vise à sélectionner les embryons non porteurs de la maladie en question. La seconde sélection élimine, parmi les embryons sains, ceux qui ne sont pas compatibles, d’un point de vue immunologique, avec l’enfant malade déjà né. Mais il faut savoir que la probabilité de disposer d’un embryon à la fois sain et compatible est très faible (de l’ordre de 10%). Couplées au taux d’échec important classique en PMA, les chances de succès de grossesse sont donc minimes. Aussi, en pratique, cela conduit surtout à donner de «faux espoirs» aux parents.

    Outre les faux espoirs, en cas de naissance d’un enfant, il est difficile d’imaginer le poids psychologique que celui-ci va porter : être le sauveur de son frère ou de sa sœur. Quel impact sur la construction de sa personnalité ? Savoir qu’on doit son existence à l’aboutissement d’un tri, dont la finalité est de sauver autrui, n’est pas neutre. S’ajoute la possibilité que les prélèvements de moelle se réitèrent au cours de sa vie. Et en cas d’échec thérapeutique de la greffe, comment le vivra-t-il, et sa famille avec lui ?  […] »

    Sans parler de l’attitude criminelle qu’il y a à sacrifier des embryons.

    Bref, la technique au service d’une humanité qui a perdu toute morale, tout sens de la vie, mène à des atrocités à grande échelle.

     

    Source : contre-info

  • Le pass sanitaire obligatoire dans les bibliothèques, pas dans les cohues du Black Friday…

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2021

    Chaque civilisation a ses priorités :

     

     

     

  • Les vaccinés seront quand même considérés comme cas-contact et devront s’isoler, en raison du variant Omicron

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2021

    Toute personne « contact » d’une autre, testée positive au nouveau variant du coronavirus, Omicron, en France, devra être isolée même si elle est vaccinée, a indiqué ce samedi le ministère de la Santé.

    « Toute personne contact à risque d’un cas possible ou d’un cas confirmé du variant B1.1.529, indépendamment de son statut vaccinal, doit être considérée comme ‘contact à risque élevé’ et doit ainsi être placée en quarantaine », selon le texte envoyé aux établissements et professionnels de santé et dont l’Agence France-Presse (AFP) a obtenu copie.

    Actuellement en France, où aucun cas confirmé de ce variant n’a encore été annoncé, si une personne est cas contact d’une personne infectée au coronavirus, elle ne doit s’isoler sept jours que si elle n’est pas vaccinée ou que son schéma vaccinal est incomplet et/ou qu’elle est immunodéprimée, selon l’Assurance Maladie.

    Source