Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022
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Un médecin de l’armée américaine révèle que les médecins ont reçu l’ordre de ne pas signaler les effets indésirables liés aux « vaccins » anti-Covid
Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022
Auteur : Pierre-Alain DepauwUn lieutenant-colonel et médecin militaire de l’armée américaine a décrit comment on a dit à des médecins de l’armée de ne pas enregistrer de dossiers sur les effets indésirables du vaccin contre le COVID dans les bases de données officielles.
« Soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça. Cela n’existe pas », a déclaré le Dr Peter Chambers, lieutenant-colonel de l’armée américaine, béret vert des forces spéciales et médecin militaire.
Chambers a fait ces commentaires dans le cadre de la neuvième conférence en ligne de la Truth For Health Foundation, qui traitait le sujet des effets secondaires des injection de « vaccin » anti-COVID.
Alors qu’il débattait de la vaccination au sein des forces armées avec le Dr Elizabeth Lee Vliet, présidente et chef de la direction de la Fondation, le Dr Chambers a fait la lumière sur sa récente expérience en tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, une mission de sécurité frontalière de l’armée à la frontière avec le Mexique.
Le Dr Chambers, un vétéran de 39 ans et récipiendaire de la Purple Heart, a reçu l’injection de Moderna en janvier 2021, ignorant les effets secondaires potentiels. Il se considère désormais comme un défenseur des « blessés du vaccin » en raison des effets indésirables qu’il a subis par la suite.
Il a rapidement développé un « brouillard cérébral » d’un genre qu’il n’avait jamais connu.
À la suite d’une éventuelle IRM, après des épisodes de vertiges, d’étourdissements et de nausées qui l’ont amené à faire un accident avec un camion en revenant d’une patrouille de nuit, le Dr Chambers a reçu un diagnostic de démyélinisation, une maladie qui affecte le tissu nerveux.
Il a raconté comment il avait vu « plusieurs soldats » souffrir également des effets secondaires similaires des injections, ainsi que « six soldats qui ont été aux soins intensifs », et un soldat qui a été forcé de prendre une deuxième injection alors qu’il avait déjà souffert de micro-coagulation après sa première injection.
Le Dr Chambers a noté les détails de ses constats et les a enregistrés dans le système de notification des effets indésirables liés aux vaccins (VAERS) du CDC. Cependant, il a révélé au Dr Vliet que les chirurgiens des hôpitaux militaires ne signalaient aucun des effets indésirables qu’ils constataient. « On leur avait dit de ne pas entrer de cas dans le VAERS ».
« Les médecins m’ont dit personnellement dans le service actif qui fonctionnait à Fort Sam Houston, qu’ils ne devaient pas entrer les cas d’effets secondaires dans le système VAERS », a-t-il ajouté.
« Ainsi, lorsque vous essayez de parler à d’autres collègues, soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça ».
En tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, le Dr Chambers a dû remplir des formulaires de consentement éclairé, conformément aux règlements de l’armée, pour les soldats prenant les vaccins anti-COVID.
Le Dr Chambers a ensuite témoigné lors d’une audience devant un tribunal fédéral le 10 mars à Tampa dans l’affaire Navy SEAL 1 c. Austin . Le Dr Chambers a déclaré qu’il avait subi des pressions pour faire vacciner les soldats et a présenté comme pièce à conviction une instruction sur les exemptions religieuses qui disait : « Les soldats vont essayer. Les soldats échoueront. »
Source : medias-presse.info
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“Partout, en France, des gens font des arrêts cardiaques dans les couloirs”
Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022
Lu dans un journal complotiste nommé La Croix, du 14 avril :
Partout en France, des services d’urgences hospitaliers sont contraints de réduire leur activité en raison du manque de soignants. De nombreux plans blancs ont été relancés, sans pourtant devoir faire face à la nouvelle vague de Covid, dont les hospitalisations restent limitées. Au centre hospitalier régional d’Orléans notamment, “sur les 120 paramédicaux que compte le service, 96% sont en arrêt maladie”, s’inquiète Grégory Quinet, secrétaire départemental du syndicat Sud santé-sociaux. Les médecins, eux, s’apprêtent à entamer leur deuxième semaine de grève. À Strasbourg également, la situation est critique depuis le décès, le 17 mars, d’un jeune homme, après son admission aux urgences pour une hémorragie digestive. “Hélas, ce n’est pas une exception. Partout, en France, il y a des gens qui font des arrêts cardiaques dans les couloirs”, affirme Sébastien Harscoat, médecin aux urgences. À Laval (Mayenne), Draguignan (Var) ou Bayeux (Calvados), les urgences n’accueillent plus de patients la nuit. En Seine-Maritime, aux urgences de Rouen, du Havre et de Dieppe, le délai d’attente peut dépasser huit heures. Dans la presse régionale, les urgences de La Rochelle se disent dans “un état d’urgence absolue”, celles de Grenoble “au bord de l’explosion”, liste La Croix. “Combien de tribunes, de mobilisations, de grèves, d’appels au secours faudra-t-il pour que nos responsables politiques prennent la mesure de la situation et agissent enfin ?”, s’alarme le collectif inter-hôpitaux.
Mais d’où vient cette explosion d’arrêts cardiaques ?
Dans un autre journal complotiste, Le Midi Libre du 13 avril, on lit que
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a établi un rapport en mars 2022 indiquant que le rôle du vaccin n’était pas à exclure dans l’apparition du syndrome de Parsonage-Turner chez certaines personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer.
Paralysie, décharges électriques… des symptômes peu agréables voire handicapants recensés chez certains patients ayant reçu le vaccin Pfizer, autrement appelé “Comirnaty”. Les experts de l’ANSM ont en effet effectué une nouvelle analyse en mars 2022 des cas déclarés depuis le début de la vaccination suite à l’évaluation réalisée dans le rapport publié le 24 septembre 2021. Au total, 43 cas de syndrome de Parsonage-Turner ont été déclarés, dont 27 sur la période. En septembre 2021, l’ANSM évoquait six cas.
Une malade témoigne :
“Depuis le mois de septembre dernier, je souffre de douleurs atroces dans l’épaule droite. Dans un premier temps, je n’ai pas fait le lien et j’ai pensé que j’avais fait un faux mouvement. Mon rhumatologue m’a ensuite indiqué que je souffrais sans doute du syndrome de Parsonage-Turner et m’a recommandé de porter une attelle. Depuis, je me couche sur un seul côté et j’ai du mal à m’habiller. Je ne sais plus quoi faire”.
Laurine a reçu sa seconde dose de Pfizer en mai 2021. Elle explique ressentir des “douleurs lancinantes la nuit” et déplore que ses séances de kinésithérapie ne soient pas efficaces.
“Je n’ai jamais été opposée au vaccin. Pourtant là, il y a de quoi se poser des questions…”
Nathalie, Montpelliéraine de 45 ans, a reçu ses trois doses de vaccin. En très bonne santé et sportive, elle s’étonne d’être “très faible” depuis. L’inflammation à son épaule lui “bousille la vie” depuis bientôt un an. Pour elle comme pour d’autres, “la coïncidence est grosse“. Elle ne peut croire que le vaccin n’a pas joué un rôle dans sa mésaventure.
En attendant les 4e et 5e doses…
Source : lesalonbeige
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Le coût de l’immigration est passé de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards
Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022
Le coût de l’immigration est passé de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards d’euros aujourd’hui, selon une étude publiée par l’association Contribuables Associés, en collaboration avec le chercheur Jean-Paul Gourévitch :
- L’étude porte sur 13,8 millions d’immigrés et de descendants directs, soit 20% de la population résidant en France.
- Le coût de l’immigration pour l’État passe de 17,4 milliards d’euros en 2012 à 40,3 milliards d’euros aujourd’hui.
- Par rapport à 2012, les recettes ont augmenté de 23% mais les dépenses ont crû de 64%.
- Le surcoût de l’immigration irrégulière est de 3,77 milliards d’euros.
- La rentabilité de l’aide publique au développement destinée à freiner les flux migratoires est quasi nulle.
Au 1er janvier 2022, la France, qui compte en réalité 69 millions d’habitants, abrite 9 millions d’immigrés. Les descendants directs d’immigrés issus de deux parents étrangers sont au nombre de 3,6 millions. Ceux issus d’un couple mixte de 4,4 millions ne seront donc pris en compte que pour la moitié. Ceux de la seconde génération ne sont pas comptabilisés. Au total l’étude porte donc sur 13,8 millions d’immigrés et de descendants directs, soit 20% de la population résidant en France et sur le surcoût dû à l’immigration irrégulière. Parmi eux, 28% ont moins de 18 ans. Les taux de chômage et d’inactivité sont 2 à 3 fois supérieurs chez les immigrés de pays tiers que chez ceux nés en France ou dans un autre pays de l’Union européenne
Il y a trois ans, Emmanuel Macron promettait à Valeurs actuelles d’exécuter la totalité des obligations de quitter le territoire français (OQTF) prononcées à l’endroit des clandestins présents sur le sol français. Aujourd’hui, la France exécute 14 % des OQTF. Or, le Maghreb représente 30 % de l’immigration illégale. Sur 7 731 OQTF délivrées à des Algériens sur les six premiers mois de l’année 2021, 23 ont été exécutées, soit 0,3 %. S’agissant du Maroc et de la Tunisie, les résultats sont respectivement 2,4 et 4 %. Le bilan d’Emmanuel Macron en matière d’immigration, c’est le pacte de Marrakech.
Source : lesalonbeige
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Le Royaume-Uni signe un accord avec le Rwanda pour lui sous-traiter l’accueil de ses migrants clandestins (MàJ – Accord signé : « Notre compassion est peut-être infinie, mais notre capacité d’aide ne l’est pas »)
Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2022
14/04/2022
Le Royaume-Uni a annoncé, jeudi 14 avril, un projet controversé d’envoyer au Rwanda les demandeurs d’asiles arrivés illégalement sur son territoire et confié la surveillance de la Manche à la Royal Navy, espérant dissuader les traversées de clandestins qui ne cessent d’augmenter.
Alors que le Premier ministre Boris Johnson avait promis de contrôler l’immigration, un des sujets clés de la campagne du Brexit, le nombre de traversées illégales, très dangereuses, a triplé en 2021 et continue d’augmenter. Londres reproche régulièrement à Paris de ne pas en faire assez pour les empêcher.
“À partir d’aujourd’hui (…), toute personne entrant illégalement au Royaume-Uni ainsi que ceux qui sont arrivés illégalement depuis le 1er janvier pourront désormais être relocalisés au Rwanda”, a annoncé le dirigeant conservateur lors d’un discours dans un aéroport du Kent (sud-est de l’Angleterre).
Le Rwanda pourra accueillir “des dizaines de milliers de personnes dans les années à venir”, a-t-il ajouté, affirmant que ce pays d’Afrique de l’Est est “l’un des pays les plus sûrs au monde, mondialement reconnu pour son bilan d’accueil et d’intégration des migrants”.
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“Notre compassion est peut-être infinie mais notre capacité à aider des gens ne l’est pas”, a déclaré Boris Johnson. Le chef du gouvernement britannique a ajouté que “ceux qui essayent de couper la file d’attente ou abuser de notre système n’auront pas de voie automatique pour s’installer dans notre pays mais seront renvoyés de manière rapide, humaine, dans un pays tiers sûr ou leur pays d’origine”.
(…)
En envoyant des demandeurs d’asile à plus de 6 000 kilomètres du Royaume-Uni, le gouvernement veut décourager les candidats au départ vers le Royaume-Uni, toujours plus nombreux : 28 500 personnes ont effectué ces périlleuses traversées en 2021, contre 8 466 en 2020… et seulement 299 en 2018, selon des chiffres du ministère de l’Intérieur.
06/04/2022
Dans le cadre des nouveaux plans, qui doivent encore être annoncés, le gouvernement paierait le transport aérien des demandeurs d’asile en Grande-Bretagne vers le Rwanda pour traitement et installation. Mais le Premier ministre est confronté à une certaine opposition, y compris sur ses propres bancs, et a été contraint de ne pas rendre ces plans publics. Une source du No10 a déclaré que M. Johnson avait “vacillé” après que des collègues aient exprimé des inquiétudes sur le fait que les plans n’étaient pas prêts.
Elle a déclaré au Times : “Il voulait aller de l’avant, mais le projet n’est pas prêt. C’est proche mais il y a encore beaucoup de choses dans la balance”.
Il n’y a pas eu de confirmation que les migrants seraient envoyés au Rwanda spécifiquement, la destination étrangère de choix semblant entourée de secret.
La ministre de l’Intérieur Susan Williams a été interrogée par les Lords hier, lundi 4 avril, pour savoir si le Rwanda avait été décidé comme pays désigné pour le traitement offshore.
La baronne Williams a refusé de donner des détails spécifiques sur les discussions, notant : “Tout ce que je peux dire à ce stade, c’est que le gouvernement est en discussion avec une série de partenaires. Je suis sûre que le Parlement sera pleinement informé lorsque ces discussions seront conclues.”
Le journaliste Ian Birrell a qualifié l’idée de “grotesque”.
Il a écrit dans un message sur Twitter : “Boris Johnson veut ‘externaliser’ les demandeurs d’asile au Rwanda, une dictature qui a créé un grand nombre de réfugiés en agressant les pays voisins.
“L’hypocrisie compte tenu de la position du gouvernement sur Poutine est tout simplement dégoûtante”.
Il a déclaré aux députés que ceux qui seraient affectés “ne sont peut-être pas de bonnes personnes, mais alors mettez-les devant nos tribunaux et punissez-les. C’est ainsi que la justice britannique devrait fonctionner [et] c’est ainsi que la démocratie britannique devrait fonctionner”.
À la fin de l’année dernière, un porte-parole du ministère de l’Intérieur a défendu le projet d’envoyer les migrants dans un autre pays, suggérant que cela permettrait de sauver des vies.
Le porte-parole, cité par le Guardian, a déclaré : “Le public britannique en a assez de voir des gens mourir dans la Manche pendant que des bandes criminelles sans pitié profitent de leur misère. Notre nouveau plan pour l’immigration fournit la seule solution à long terme pour réparer le système cassé, et il est juste que nous gardions toutes les options sur la table.”