Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 16

  • Grippe aviaire : 15 millions de volailles abattues, adieu poulets, canard, oeufs…

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2022

    Ignace - Grippe, coronavirus et vaccin
    Ignace – Grippe, coronavirus et vaccin

    Avec 15 millions de volailles abattues depuis le début de l’épizootie de grippe aviaire, trois fois plus qu’une année précédente déjà à très haut niveau, la France vit une situation de crise inédite dans la filière, totalement désorganisée.

    Après de gros abattages dans le sud-Ouest, c’est maintenant le bassin de production situé autour de la Vendée, deuxième région de production en France, qui est touché de plein fouet.

    Les restaurateurs connaissent déjà des pénuries de viande de canard, et celles-ci menacent maintenant de s’étendre aux oeufs et au poulet. Les conserveurs du sud-ouest sont inquiets, eux, pour la production de cassoulet, d’autant que d’autres consommables augmentent ou se raréfient (huiles, céréales…) et que le prix du transport a suivi la hausse de celui des carburants.

    Néanmoins, les oeufs en chocolat ne manqueront pas à Pâques, ni les oeufs tout court : « Maxime Chaumet du CNPO veut « rassurer les gens » : « On a 50 millions de poules en France et on est le premier producteur d’œufs d’Europe [15 milliards par an]. Oui, on a un marché sous tension mais il n’y a pas de risque de pénurie ! Par contre, on va avoir des tensions pendant plusieurs mois, ça va durer. Mais l’œuf ne deviendra jamais un produit de luxe. S’il y a des augmentations, elles seront à la marge et surtout elles seront avant tout dues à l’augmentation du coût de production avec la hausse des matières agricoles [l’aliment représente 65 % du coût de production] « .

    Cependant la période de tension pourrait durer plusieurs mois, d’autant qu’en Loire-Atlantique et en Vendée, nul ne peut encore dire aux élevages quand ils pourront recommencer à produire, même s’ils n’ont pas été contaminés à ce jour.

     

    Source : medias-presse.info

  • C’était un 17 avril : les Khmers rouges prenaient Phnom Penh sous les applaudissements de la gauche

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2022

    et allaient massacrer près de la moitié de sa population…

    C’est le 17 avril 1975 que la capitale du Cambodge tomba aux mains des maquisards du Front uni national du Kampuchéa (FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

    Après avoir célébré la chute de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Algérie aux terroristes du FLN, les intellectuels et journalistes français vont une fois de plus se distinguer dans l’innommable, comme l’illustrent les unes exposées ci-dessous. L’envoyé spécial du Monde évoquait, lui, l’« enthousiasme populaire » lors de l’entrée des Khmers rouges à Phnom Penh.

    Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar – organisation socialo-marxiste – dominée par les Khmers rouges.

    Reconnus et soutenus par l’Internationale socialiste, les « maîtres » du « Kampuchéa démocratique » vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire. Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).

    Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42 % de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.

    C’est ainsi que cet ancien protectorat français (depuis 1863) va sombrer dans l’horreur…

    La France du Second Empire y avait établit sa protection sur le Royaume, jusque-là vassal du Siam (Thaïlande). Le Cambodge fut intégré en 1887 à l’Indochine française lors de la création de cette dernière. En novembre 1949, le système de protectorat laissa la place à un statut d’État associé de l’Union française, toujours au sein de la Fédération indochinoise. En 1953, pendant la guerre d’Indochine, le roi Norodom Sihanouk proclama l’indépendance du pays, que les accords de Genève réaffirmèrent l’année suivante tout en conservant son amitié à la France.

     

    source : contre-info.com

  • Joyeuses Pâques!

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2022

    278390210_10227828684089668_1528641916342920860_n.jpg

    Christ est ressuscité, le tombeau est vide. Alléluia!
    Jésus Christ, le Fils, Nouvel Adam, a pleinement obéi au Père en donnant sa vie pour la rédemption des hommes. Le Père a ressuscité le Fils. Le tombeau est vide, alléluia !
    Gloire à Dieu au plus des Cieux!
    Amen
    Joyeuses Pâques!
  • Gennevilliers (92) : les habitants découvrent le futur centre social et culturel qui porte le nom de Saâd Abssi, ancien cadre du FLN

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2022

    Une fois par mois, une visite du chantier et des animations sont organisées pour permettre aux habitants de découvrir le futur centre social et culturel Saâd-Abssi en construction à Genevelliers (Hauts-de-Seine). Prévu pour le printemps 2023, cet espace s’intègre au projet de rénovation urbaine du quartier des Agnettes.

    Un casque vissé sur la tête, ils déambulent sur le chantier de l’espace social et culturel Saâd-Abssi. Ce vendredi après-midi, ces habitants de Gennevilliers sont venus visiter l’équipement en construction, qui doit être achevé en 2023.

    « C’est le troisième centre culturel et social de la ville, explique Bruno Hervouet son futur directeur. L’objectif est de recréer du lien social dans le quartier. » […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Dieppe (76) : devant l’église Saint-Jacques, une bonbonne de gaz et un jerrican d’essence retrouvés à côté d’un véhicule où le mot “BOOM” était inscrit sur la poussière de la carrosserie, un homme interpellé

    Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2022

    Une voiture des plus suspectes a été repérée devant l’église Saint-Jacques de Dieppe (Seine-Maritime), ce vendredi 15 avril 2022, veille de week-end pascal. À côté du véhicule, sur lequel était écrit le mot « BOOM », un jerrican d’essence et une bonbonne de gaz ont été retrouvés. Un homme, responsable de la mise en scène, a été placé en garde à vue.

    Devant une église de Dieppe, une bonbonne de gaz retrouvée à côté d’une voiture, un homme interpellé

    Une scène qui a de quoi interroger avant un week-end pascal. Vers 15 h, ce vendredi 15 avril 2022, une voiture stationné devant l’église Saint-Jacques de Dieppe a attiré l’attention, rapporte le site Actu.fr .

    Sur son toit, se trouvait un jerrican d’essence et une bombonne de gaz était également posée juste à côté du véhicule. On pouvait aussi lire le mot « BOOM » inscrit en toutes lettres sur la poussière de la carrosserie.

    Une vingtaine de policiers ont été mobilisés sur place, mais le risque d’explosion a rapidement été écarté, le jerrican et la bonbonne étant vides. Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du véhicule et la police était activement à la recherche de son propriétaire.

    (…) Ouest-France via fdesouche