Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2022
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Le mardi 25 avril 1961, à #Alger, le « Conseil Supérieur de l’#Algérie », composé des généraux #Challe, #Jouhaud, #Salan et #Zeller fait diffuser par Radio-France un communiqué annonçant sa décision, sur proposition du général Salan, de démobiliser tous les soldats du contingent en poste en Algérie ayant effectué au moins 18 mois de service militaire et, également, de ramener la durée du service à 18 mois. Parallèlement, il décide de mobiliser 8 classes d’Algériens et de reconstituer les #UT Unités Territoriales dissoutes après la « Semaine des #barricades » de janvier 1960.
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L’Espagne va retirer la nationalité espagnole à 78 bébés marocains, dont les mères, prises en charge par des passeurs, étaient entrées clandestinement à Melilla (enclave espagnole) pour accoucher
Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2022
L’Espagne a engagé des procédures administratives de retrait de la nationalité pour 78 bébés marocains nés à Melilla et inscrits au registre d’état civil comme espagnols.
Les mères marocaines de ces bébés sont entrées à Melilla pour accoucher à l’hôpital régional, où un réseau criminel très actif leur a proposé d’enregistrer les nouveau-nés dans l’état civil espagnol en échange d’une forte somme d’argent. L’organisation mettait ces jeunes mamans « en contact avec des hommes de nationalité espagnole, d’origine marocaine pour la plupart, qui reconnaissaient les enfants comme les leur, moyennant un paiement entre 1 500 et 3 000 euros », a indiqué la police nationale dans un communiqué.
Ainsi, les nouveau-nés acquéraient automatiquement la nationalité espagnole, ce qui permettait à leurs mères d’être en règle et « d’engager les procédures pour obtenir un permis de séjour en tant que parent d’un mineur espagnol », fait savoir El Pais, précisant que la délégation gouvernementale a déjà engagé les procédures pour retirer le permis de résidence aux mères et a demandé au parquet de retirer la nationalité espagnole aux bébés.
En tout, 117 personnes, dont des mères marocaines, des pères fictifs et des intermédiaires, sont impliquées dans cette affaire, selon la police qui affirme qu’elle en a déjà arrêté 79 (51 à Melilla, 28 dans la péninsule) et est à la recherche de 38 autres. Elles seront poursuivies pour atteinte aux droits des étrangers, faux papiers et appartenance à une organisation criminelle.
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La France terrain de jeux des républicains
Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2022
La France terrain de jeux des républicains :La République a ce côté obscur qui humilie le peuple de France, avec sa science politique qui a intégrer dans son logiciel les partis politiques de tous bords et qui dans l'incrimination obsessionnelle d'un système bien rodé en tire tout le mal produit par les élites républicaines. La République pourrait avoir comme surnom "la catastrophe". Apparemment nous allons pas encore échapper à l'anathème d'une République qui s'épuise, mais entretenue par le peuple de France (via l'élection présidentielle de 2022) qui refuse le changement politique, de revenir aux fondamentaux. La République cette fossoyeuse d'une France millénaire, responsable d'un état des lieux, la France est un champ de ruine, politique, culturel, social, et religieux. Fondons donc nos espoirs au véritable héritier de ceux qui ont gouverné la France depuis sa naissance en 496 jusqu'à la Révolution de 1789. Et soutenons sans réserve le Duc d'Anjou (Louis XX).CLG. -
A Turin, des chrétiens coptes frappés pour avoir fumé et porté une croix pendant le ramadan : “Ils veulent nous appliquer la charia parce qu’ils nous considèrent comme inférieurs et veulent nous dominer”
C’est arrivé à Turin sur le Corso Vigevano. Les deux, frères, ont 62 et 71 ans.
Ils ont été agressés parce qu’ils ne respectaient pas les règles du Ramadan qui imposent de ne pas fumer pendant la période de jeûne. “Mais mon père et mon oncle sont chrétiens coptes, ils ne sont pas musulmans”, explique la fille et la nièce des victimes d’un attentat qui a eu lieu lundi après-midi sur le Corso Vigevano presque sur la Piazza Crispi. “Ce n’est pas la première fois que même en Italie, nous sommes attaqués pour le fait que nous sommes chrétiens”, déclare la jeune fille de 23 ans, née et élevée en Italie.
Sa famille vit à Turin depuis plus de 40 ans, son père a 62 ans et a toujours été un militant pour la promotion des droits de la minorité copte victime de discrimination en Égypte. “Cela me met en colère de penser que cette discrimination existe aussi ici“, dit-il.
Le père, 62 ans, et l’oncle, 70 ans, se tenaient sur la place. “Ils attendaient ma mère – raconte la jeune femme – Mon oncle fumait une cigarette et ce groupe de passants, des étrangers mais je ne sais quelle nationalité, s’est mis à insulter et à jurer. Mon père s’est alors retourné et leur a demandé s’ils Ils s’adressaient à lui et à mon oncle. Ils ont dit oui, disant que ce n’était pas bon pour les musulmans de fumer. “
Lorsque les deux ont expliqué que leur foi était différente, ils ont été attaqués à coups de pied et de poing. Tous deux ont été soignés à Giovanni Bosco pour plusieurs contusions. Ils ne connaissent pas leurs agresseurs. “Mais peut-être que ce groupe de personnes avait déjà remarqué les membres de ma famille, mon oncle vit dans la région, mon père est connu dans la communauté pour son travail d’activiste. Ils portent tous les deux des croix chrétiennes assez évidentes.”
Le groupe ne s’est échappé que lorsque l’un des agressés a dit à l’autre d’appeler la police. “Nous avons déjà eu des problèmes dans le passé – dit la fille – Cela m’est arrivé dans le centre ville, j’étais avec mes amis, nous avons été approchés par un homme avec un petit enfant qui a commencé à nous insulter en nous traitant d’impurs et en disant que nous étaient habillés comme des prostituées parce que nous portions des vêtements occidentaux. Cela arrivait toujours pendant le Ramadan. Le mari d’une amie de ma mère a été agressé parce qu’il mangeait pendant le mois de jeûne qu’il ne respecte manifestement pas étant d’une autre religion”. Dans les prochains jours, les victimes de l’attentat vont porter plainte. […]
Les coptes qui ont été frappés à coups de pied et de poing lundi pour avoir fumé et porté des croix pendant le ramadan ne sont pas les seuls à avoir été réprimandés pour ne pas avoir respecté la loi islamique à Barriera di Milano, un quartier multiethnique de Turin.
“La semaine dernière, à Porta Palazzo, un de mes bons amis a été injurié parce qu’il buvait de l’eau dans la rue. – Ils ont crié “Ramadan, haram” pour lui rappeler qu’il est interdit de boire de l’eau pendant la journée durant le mois de jeûne.” Il y a quelques jours, son frère Nabil a lui aussi été critiqué pour la même raison.
“Un jeune homme, peut-être tunisien, à l’extérieur du même bar, lui a dit que la loi islamique interdit de fumer pendant le Ramadan et que cette fois, pour éviter les problèmes, il devait baisser la tête et s’y conformer. Je peux vous assurer, poursuit Sherif, que si je sortais demain pour manger un sandwich dans cette même zone, je n’en sortirais pas vivant.” La raison, explique l’homme d’affaires d’origine égyptienne au téléphone, est simple : “Ils veulent appliquer la charia parce qu’ils nous considèrent comme inférieurs et veulent nous dominer.” Ces derniers jours, Sherif a tout rapporté à la police. Les enquêtes visent à identifier les auteurs de l’attaque, grâce également aux caméras de sécurité installées dans la zone.
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Lorsque l’ONU dénonçait les atteintes aux droits de l’homme en Ukraine en décembre 2021
Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2022
Auteur : Francesca de VillasmundoAnimée par un manichéisme absurde, la bien-pensante ONU a oublié, dans son rejet quasi épidermique de la Russie, ses déclarations d’hier moins favorables à l’Ukraine et à son président Zelensky.
Petite piqure de rappel concernant ce que l’organisation internationale appelait elle-même « les atteintes aux droits humains dans l’ensemble de l’Ukraine ». A l’époque le tout aussi bien-pensant et manichéen quotidien français Le Figaro s’en était fait l’écho dans un article daté du 15 décembre 2021 :
« L’Organisation des Nations unies (ONU), relatait-il, a dénoncé mercredi 15 décembre les atteintes aux droits humains dans l’ensemble de l’Ukraine. »
Par la voix de la Haute-Commissaire adjointe aux droits de l’homme, Nada Al-Nashif, devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, lors de la présentation d’un rapport sur l’Ukraine portant sur la période du 1er novembre 2019 au 31 octobre 2021, l’ONU s’inquiétait notamment, dans la partie contrôlée par le gouvernement ukrainien, « des restrictions imposées à la liberté d’expression d’opinions critique ou impopulaires et à la participation à des rassemblements pacifiques sur des sujets sensibles, tout comme de la sécurité des défenseurs des droits humains ».
Selon le Haut-Commissariat, peut-on toujours lire sur Le Figaro, des incidents visent « des journalistes, des professionnels des médias et des critiques du gouvernement ou encore des attaques, menaces et intimidations contre des militants des droits humains, des droits de la femme, de l’égalité des genres et LGBT+. Ils ont été les principales cibles de groupes faisant la promotion de la violence, « en général en toute impunité » indique l’ONU.
La Russie accusée par le bloc occidental de restreindre la liberté d’expression des médias n’est donc pas la seule sur le podium. Outre l’Union Européenne qui empêche les voix dissidentes de Russia Today ou de Sputnik de s’exprimer, on peut raisonnablement se demander, si en décembre dernier, la liberté d’expression et des médias était si malmenée en Ukraine, ce qu’il en est dans le contexte de guerre actuelle et douter d’une amélioration ainsi que des nouvelles venant du gouvernement ukrainien sur la réalité des opérations militaires.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info