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Nathalie Saint-Criq est la fille du président du conseil de surveillance de La Nouvelle République du Centre-Ouest et la sœur du président du directoire du groupe Nouvelle République du Centre-Ouest (quatre journaux et TV Tours), etc.
Le nouveau ministre de la santé était ministre délégué chargé de l’autonomie dans le précédent gouvernement. En février dernier, à propos des avortements réalisés par les sages-femmes, cette femme déclarait :
L’expérimentation permettant l’exercice des IVG instrumentales par les sages-femmes en établissements de santé, engagée depuis fin 2021, représente un pas important en faveur de l’amélioration de l’accès à l’IVG, laquelle constitue une préoccupation majeure du Gouvernement. Elle permettra de faciliter l’organisation des équipes hospitalières pour répondre à la demande et d’apporter aux femmes un nouvel interlocuteur possible dans leur parcours.
En septembre 2017, elle cosignait une proposition de loi en faveur de l’euthanasie.
Brigitte Bourguignon avait soutenu Marie Humbert, décédée en août 2018, dans son association « Faut qu’on s’active », qui demandait une loi instituant « une exception d’euthanasie ». Elle en a été la secrétaire générale durant quelques années.
Présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale, elle avait signé, en février 2018 dans Le Monde, la tribune des 156 députés issus de la majorité appelant « à mieux encadrer les droits et la liberté de mourir des personnes en fin de vie ».
L’ADMD (association maçonnique de promotion de l’« euthanasie ») s’est réjoui de cette nomination sans ambiguïté :
« Le 11 mai dernier, on pouvait lire, dans Le Figaro Économie, que le cours de Disney « a plongé de 32 % depuis le début de l’année », et « encore reculé de plus de 3 % mercredi soir […] après la clôture du New York Stock Exchange ». Conclusion de l’épisode : « Disney reste une des valeurs qui a le plus chuté en quatre mois, parmi les 30 actions représentées dans l’indice Dow Jones. » Cela, même si la fréquentation des parcs du même nom a repris avec le boom du tourisme post-Covid.
On apprend, aujourd’hui, que la cote de popularité de la grande maison est elle aussi sur la pente savonneuse. C’est ce qui ressort d’un sondage réalisé par Hart Research Associates/Public Opinion Strategies à la demande de NBC News auprès de 1.000 adultes interrogés du 5 au 10 mai. Soit une chute de 77 % à 33 % d’opinions favorables en un an.
Il faut dire que « plus “genrément” correct que Disney, tu meurs ! » La maison de Mickey se veut, en effet, en pointe dans la lutte contre les discriminations de tout poil. Aussi a-t-elle entrepris, dans cette optique, de revisiter tous les classiques ou presque qui ont enchanté notre enfance. Et s’ils ne le sont pas, ils sont interdits au visionnage des enfants sur Disney+ sans un consentement parental explicite.
Parmi les célébrités visées par les nouveaux gardiens de la vertu, citons :
Les Aristochats : désormais affublés d’un message de prévention et réservés aux profils adultes. La cause : un stéréotype envers les Asiatiques avec le chat siamois qui a les yeux bridés. Idem pour La Belle et le Clochard. Même sanction pour Peter Pan en raison de la façon dont les Peaux-Rouges sont représentés dans le film. Dans Dumbo, ce ne sont pas les grandes oreilles de l’éléphant qui posent problème mais une scène, devenue inregardable, où les corbeaux font caricaturalement référence à des Afro-Américains chantant le blues.
En mai 2021, une nouvelle polémique a touché Blanche neige et les sept nains, valeur sûre des parcs à thèmes qui s’est refait une jeunesse pour la réouverture post-Covid. Des travaux et de petites nouveautés ont été ajoutés sur certaines attractions, nous dit-on, notamment la scène mythique du baiser du prince venu dire adieu à Blanche-Neige, endormie par le poison de sa méchante belle-mère. Deux journalistes du San Francisco Chronicle s’en sont vivement indignées : comment Blanche-Neige peut-elle être consentante puisqu’elle dort ?
My body, my choice… Elles réclament une autre fin : « Ne sommes-nous pas d’accord pour dire que le consentement, dans les premiers films de Disney, est un problème majeur ? argumentent-elles. Ou qu’il faut apprendre aux enfants qu’embrasser, quand il n’a pas été établi que les deux parties ont la volonté de s’engager, ne se fait pas ? Il est difficile de comprendre pourquoi Disneyland, en 2021, fait le choix d’ajouter une scène aux idées si rétrogrades sur ce qu’un homme est autorisé à faire à une femme. » Etc.
Il faut que les petites filles aillent au bout de leurs rêves, a dit Mme Borne, mais pas question de rêver au prince charmant. On peut chanter « Nous entrerons dans la carrière » mais pas « Un jour, mon prince viendra ». C’est caca !
Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler aussi très caca pour les actionnaires de Disney… Sans compter les démêlés de la firme avec Ron DeSantis, le sénateur républicain de Floride et sa loi baptisée « Don’t Say Gay » par ses détracteurs démocrates. Destinée à encadrer l’enseignement scolaire, elle entend lutter contre « l’influence de la théorie du genre et de la théorie critique de la race ». Du côté de Disney, on prétend ne faire que répondre aux exigences des salariés (80.000 en Floride) par une politique propre à « satisfaire toutes les sensibilités, intérêts et préférences ».
Est-ce que ça satisfait le public ? On dirait bien que non. »
On apprend que Jacques Bouthier (75 ans), PDG d’Assu 2000 et l’une des plus grandes fortunes de France, a été placé en détention provisoire pour des faits particulièrement sordides.
« Ce chef d’entreprise dans le domaine des assurances est placé depuis le samedi 21 mai en détention provisoire, mis en examen – entre autres – pour traite d’êtres humains mineurs, viols sur mineurs, et participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre un enlèvement ou une séquestration en bande organisée.
Après une minutieuse enquête qui a mobilisé une bonne partie des effectifs de la Brigade de Protection des Mineurs (BPM) de la PJ Parisienne, c’est tout un système qui a été découvert par les policiers.
Selon les informations de RTL, une jeune femme de 22 ans s’est présentée aux policiers parisiens en mars dernier. Elle leur a expliqué que depuis 5 ans, elle était « captive » d’un homme richissime, qui la logeait dans un de ses appartements et la violait à plusieurs reprises. Pire encore, alors que selon ses dires, elle devenait « trop âgée pour lui », la jeune femme aurait été forcée de trouver une « remplaçante » pour prendre sa suite. C’est ainsi qu’une jeune fille de 14 ans aurait ensuite été logée dans cet appartement.
La plaignante est parvenue à filmer le PDG et la jeune fille de 14 ans ensemble dans un lit. Cette vidéo a été confiée aux enquêteurs.
L’histoire ne s’arrête pas là. Alors que le PDG est au courant de l’existence de cette vidéo, il va tenter de faire taire la plaignante. La justice le soupçonne d’avoir voulu mettre sur pied une équipe pour enlever la jeune femme, saisir la vidéo, et la forcer à quitter la France. Pour cela, le septuagénaire aurait sollicité sa femme, deux employés de sa compagnie, une jeune femme proche de la plaignante, ainsi qu’un ancien gendarme membre du GIGN.
Tous les cinq ont été interpellés la semaine dernière, et mis en examen samedi pour « non-dénonciation d’agression sexuelle sur mineur, et participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre un enlèvement ou une séquestration en bande organisée ». Ils ont été placés, eux aussi, en détention provisoire, a confirmé le Parquet de Paris auprès de RTL. Leurs rôles et leurs objectifs respectifs restent encore à déterminer à ce stade.
Selon nos informations, les enquêteurs ont aussi retracé le passé de cet homme. Ils ont découvert l’existence d’au moins 7 jeunes femmes, mineures ou jeunes majeures, qui se sont succédé dans cet appartement. L’enquête a permis de déterminer qu’il s’agissait de jeunes filles aux profils similaires : désœuvrées ou fugueuses, en rupture avec leur famille ou la société.
Toujours le même mécanisme en place, une fois atteint la vingtaine d’années, le PDG disait se désintéresser d’elles et leur demandait d’aller trouver une jeune fille plus jeune pour prendre leur place dans l’appartement. […] » (source RTL)
La nouvelle ministre des Outre-Mer, Yaël Braun-Pivet, va se rendre à Saint-Denis lundi 23 mai 2022 pour participer à un hommage aux victimes de l’esclavage.
Cet hommage est organisé par la Ville de Saint-Denis sur le parvis de la Basilique, en lien avec la Préfecture de Seine-Saint-Denis, le Département, la Fondation pour la mémoire de l’esclavage et les associations Sonje et Cm98. Il a lieu pour la Journée nationale en hommage aux victimes de l’esclavage colonial.
En plus d’une exposition à partir de 10 heures rue de la Légion d’Honneur et d’un concert à 20 heures sur le parvis de la Basilique (NDR : du groupe “Les déchaînés”), une « cérémonie départementale d’hommage » aura lieu à 14 heures. La ministre Yaël Braun-Pivet y assistera, indique la Préfecture. Un « village de la mémoire » se tiendra sur le parvis en parallèle, précise la municipalité.