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famille

  • Firminy (42) : “Nous vivons un enfer” ; 2 ans après leur agression, José, Stéphanie et leurs 3 enfants, sont la cible de menaces quotidiennes. Ils se plaignent de la présence de jeunes dealers sous leurs fenêtres

    Publié par Guy de Laferrière le 19 décembre 2022

    Depuis l’agression dont elle a été victime place de la Plantée il y a près de deux ans, une famille, qui vit dans le quartier du centre-ville, est la proie de menaces et d’intimidations.

    Les habitants de la Place de la Plantée se plaignent de la présence de jeunes qu’ils soupçonnent d’être des dealers sous leurs fenêtres. 

    José*, Stéphanie et leurs trois enfants âgés entre 5 et 19 ans vivent depuis deux ans et demi, place de la Plantée. À première vue, le quartier, situé en plein centre-ville de Firminy, paraît calme. Pourtant, « nous vivons un enfer », déclare le père de famille, d’une voix dont on perçoit un mélange de peur et de colère.

    Trois plaintes déposées depuis septembre

    La peur est née après une agression dont il a été victime, ainsi que sa femme et son fils aîné fin janvier 2021 (lire par ailleurs) et les menaces dont ils font l’objet depuis ces faits de la part de jeunes gens « qui ne sont pas du coin et qui squattent sur l’aire de jeux en bas de l’immeuble ». Le quadragénaire les soupçonne de s’adonner au trafic de stupéfiants.

    (…) Le Progrès via fdesouche

  • Lyon : Amel est acceptée dans une fac française après avoir obtenu son bac en Algérie. Toute sa famille débarque en France et demande à être logée.

    Publié par Guy de Laferrière le 17 décembre 2022

    Avec ses trois enfants, cette mère a vécu de longues semaines dans la rue, à Lyon, avant d’être logée dans un gymnase scolaire grâce à l’association Jamais sans toit. Alors que les températures sont au plus bas, elle espère ne plus dormir dehors.

    Dans quelques jours, c’est Noël. Pour Hakima et ses trois enfants (les prénoms ont été changés), pas de sapin, de cadeau, encore moins de festin. Peut-être même pas de toit. « Je ne sais pas où je serai le 24 décembre. Je ne pense même pas à fêter quoi que ce soit », lâche cette femme de 48 ans, sans domicile fixe depuis cet été. […]

    « Je suis revenue ici pour que ma fille aînée, qui venait d’obtenir son bac en Algérie, puisse suivre des études », témoigne la quadragénaire. L’université de Lyon accepte le dossier d’Amel. Banco : la famille débarque sur le tarmac de l’aéroport Saint-Exupéry, sans point de chute.

    Le Parisien via fdesouche

  • Cinq ans après Metoo, assis dans son loft parisien, une famille fait le bilan : « Je suis un homme blanc, de plus de 50 ans, chef d’entreprise de surcroît. Dès que je rentre à la maison, je me sens coupable ! »

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Assis dans le salon de leur loft parisien, Cécile et Laurent (les personnes citées par leur seul prénom ont souhaité rester anonymes) discutent avec leurs filles, Adèle, 14 ans, et Jeanne, 18 ans ; le fils aîné, Simon, 21 ans, n’est pas avec eux, ce soir-là. Le Monde s’est immiscé dans leurs conversations pour savoir ce qu’avait changé le mouvement #metoo dans leurs relations familiales et en matière d’éducation. (…) Chacun tente de s’adapter aux sensibilités des autres, mais des frictions peuvent partir d’un rien. Les « mais tu ne peux pas sortir ­habillée comme ça ! » ont été accueillis par une fin de non-recevoir. « Tu m’obliges à intérioriser que je suis une proie et que c’est à moi de faire attention », a déjà entendu Cécile, alors qu’elle, adolescente, arborait fièrement un tee-shirt « attention fragile ». Pour sa fille, « insuffler la peur est déjà un instrument de domination masculine ». La quinquagénaire a reconsidéré son passé, mais aussi toute l’éducation qu’elle a pu donner à ses enfants. « Oui, j’ai pu valoriser la force de mon fils et la beauté de mes filles lorsqu’ils étaient plus petits »,analyse-t-elle, avec regret.

    (…)

    Cette libération de la parole n’est pas sans créer des tensions, au sein des couples d’abord – les femmes qui ont témoigné estimant avoir évolué plus vite que leurs conjoints –, et au sein des familles lorsque les enfants deviennent grands. Les pères, notamment, sont régulièrement mis sur la sellette. Laurent D., père de cinq enfants, dont deux filles de 21 ans, le reconnaît avec un brin d’humour, malgré le « sujet sacrément sensible » : « Je suis un homme blanc, de plus de 50 ans, chef d’entreprise de surcroît. Dès que je rentre à la maison, je me sens coupable ! » Il juge « avoir perdu du crédit sur un tas de sujets »,car ses filles trouvent qu’il « ne sait pas de quoi il parle, car il ne peut pas l’avoir vécu ».

    (…)

    Au-delà des questions autour de l’intimité et du respect de son propre corps, c’est sur le terrain des stéréotypes que les parents de plus jeunes enfants entendent modifier leurs pratiques. Maman de deux garçons de 4 et 9 ans, Chloé est fière des cheveux longs de ses garçons et de leurs goûts, qui vont au-delà des clichés filles-garçons. Elle estime « avoir évolué » entre ses deux enfants. « Autant, pour le grand, quand il est entré en maternelle et qu’il voulait acheter une gourde de princesse pour l’école, nous l’avons convaincu qu’il valait mieux une gourde Avenger, autant le petit, on l’a laissé choisir un casque de vélo rose bonbon pour aller à l’école. On lui attache les cheveux avec un élastique, on lui fait des couettes. J’aurais jamais osé faire ça avec mon grand », raconte-t-elle.

    (…)

    Au sein même des familles, la prise de conscience des parents peut avoir un effet contre-productif.« Mais, maman, tu n’aimes pas les hommes, en fait ! », a déjà entendu Anne, « défenseuse des droits des femmes ­depuis toujours », de la part de son fils de 16 ans. Depuis, elle essaie de trouver le « bon équilibre » pour continuer à l’éduquer sur l’égalité femmes-hommes « sans finir par le braquer ». « Il faut parvenir à ne pas être trop en colère », analyse cette enseignante, mère également de deux filles plus jeunes. La colère domine souvent parmi les mères et les filles interrogées. Un sentiment qui n’est pas toujours simple à canaliser dans les relations familiales. Du haut de ses 18 ans, Jeanne s’agace ainsi lorsque ses parents la jugent « trop excessive ». Même si elle comprend et partage en partie ses irritations, Cécile, sa mère, aimerait parfois, dans un réflexe de protection, que sa fille regarde le monde « avec plus de douceur » pour ne pas qu’elle souffre trop.

    Le Monde via fdesouche

  • Carcassonne : “sans raison”, Billele, 26 ans, menace une famille avec une machette devant leur domicile, alors qu’il ne les connaissait même pas

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2022

    Billele, originaire du Vaucluse et âgé de 26 ans, comparaissait ce jeudi 4 août devant le tribunal correctionnel de Carcassonne pour avoir menacé une famille, devant chez eux. La famille et le prévenu ne se connaissaient pas.

    Le lundi 1er août à 2 h 30 du matin, les gendarmes interviennent à La Redorte au domicile d’un couple et de leurs deux enfants en bas âge de 7 et 10 ans. La mère explique qu’elle a entendu des bruits provenant de la cave, allumée par les phares d’une voiture, dont les faisceaux bougeaient dans tous les sens. Billele serait arrivé par le côté gauche de l’avenue du Port, dans un premier temps doucement. La victime, entendant des bruits, était allée voir dehors. Quand il l’a vue, il a manqué de lui foncer dessus.

    “Garé” devant le domicile, il baisse la fenêtre et allume le plafonnier de la voiture de sa compagne, qu’il conduit sans permis. Le conjoint lui demande d’aller doucement, de faire attention aux enfants. Sa femme le voit brandir une arme : la fameuse machette, mesurant 45 cm. Il tape sur son volant et demande au mari : “Tu m’en veux ?” Billele finit par partir, pour revenir et crier à l’homme, enfermé avec sa famille dans le garage : “Sors si t’es un homme, je reviens avec du monde ce soir ou demain !” Il klaxonne ensuite de manière insistante, et part. Le mari affirme ne plus fermer l’œil depuis deux nuits, sa femme que “les enfants ne dorment plus que quand il fait jour”.

    (…) L’Indépendant via fdesouche

  • C’est quand même beau la famille

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    C’est quand même beau la famille

    Nathalie Saint-Criq est la fille du président du conseil de surveillance de La Nouvelle République du Centre-Ouest et la sœur du président du directoire du groupe Nouvelle République du Centre-Ouest (quatre journaux et TV Tours), etc.

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    Mais qui a dit que ce gouvernement ne prenait pas soin des familles ?

     

    Source : lesalonbeige