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  • Mayotte au bord de la guerre civile selon le député Estelle Youssouffa

    Publié par Guy de Laferrière le 22 novembre 2022

    Mayotte au bord de la guerre civile selon le député Estelle YoussouffaMayotte au bord de la guerre civile selon le député Estelle Youssouffa

    Le gouvernement a annoncé le renfort d’une unité du RAID après une série d’agressions très violentes commises ces derniers jours à Mayotte.

    “On est au bord de la guerre civile”, estime face à la journaliste de franceinfo, visiblement dépassée par le propos, le député de Mayotte Estelle Youssouffa. Après dix jours de violences sur l’île, elle décrit “l’horreur”, “la barbarie” et “la terreur” :

    “Des maisons ont été incendiées, des personnes ont été agressées et certaines amputées à la machette, alerte la députée. On découpe des gens qu’on dépose en morceaux sur les routes pour effrayer la population. Et ça marche ! La population veut prendre les armes pour se défendre.”

    Tout a commencé “après l’assassinat d’un jeune homme et son village d’origine s’est lancé dans une vendetta”.

    “On a l’impression d’être abandonné par les autorités parce que ça fait des années que Mayotte appelle à l’aide. Est-ce qu’on est des Français comme les autres ? Des familles entières quittent l’île, les investisseurs, les fonctionnaires. On est en train de tuer Mayotte dans l’indifférence générale.”

    Elle dénonce “la passivité du gouvernement, c’est de la non-assistance à population française en danger.” Elle estime même que l’

    “immigration clandestine est totalement liée à la violence”

    A Mayotte, “plus de 50% de la population est étrangère et en grande majorité en situation irrégulière”. Elle explique que ces barbares sont des mineurs (12 ans parfois) isolés commoriens en situation irrégulière. Ils sont libres 24h après leur arrestation.

    “Plus on reçoit la misère comorienne, plus on est dépassé. Tous nos services publics sont saturés. On a des milliers d’enfants, des mineurs étrangers isolés inexpulsables, d’adultes et qui sont en train de former des bandes qui sèment la terreur. Ils ont 12 ou 13 ans, se promènent avec des machettes, et tuent.”

    Dénonçant “l’impunité totale pour la pour les barbares en culotte courte qui sèment la terreur à Mayotte”, elle demande “un choc de souveraineté” et de “sécurité”.

    Ce qui n’empêche pas la CIMADE de poursuivre, au même moment, sa propagande immigrationniste :

  • Champigny-sur-Marne (94) : un jeune de 20 ans frappe une policière au visage et tente de la faire chuter de trois étages

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022

    Une policière de la BAC a été violemment frappée au visage en tentant d’interpeller un homme à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), ce samedi. Celui-ci a également tenté de la faire chuter de trois étages. Sept jours d’ITT ont été prescrits à cette fonctionnaire.

    Un homme âgé de 20 ans a tout tenté pour échapper aux policiers de la brigade anticriminalité (BAC) ce samedi après-midi à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Il a violemment frappé une policière et a tenté de la faire chuter dans le vide, avant d’être maîtrisé et interpellé.

    C’est au cours d’une patrouille que les forces de l’ordre ont repéré cet homme qui est déjà bien connu de leurs services. En passant avec leur voiture banalisée dans la rue de Jalapa vers 16 heures, un secteur connu pour abriter des trafics de stupéfiants, les fonctionnaires remarquent la présence d’un petit groupe de personnes. Ils décident de descendre de leur véhicule pour emprunter le mail de la Demi-Lune, qui est en partie piéton, pour s’approcher.

    L’un des jeunes hommes du groupe part en courant en voyant les policiers. Ces derniers partent à sa poursuite en lui ordonnant de s’arrêter. Il s’engouffre dans un hall d’immeuble et porte un violent coup de poing au visage d’un des agents, une policière.

    (…) Les policiers de la BAC sont repoussés par les occupants de l’appartement. Le suspect en profite pour sortir des toilettes et se dirige précipitamment vers le balcon. Il escalade un mur pour accéder au toit. La policière et ses collègues le suivent pour l’arrêter. Alors qu’elle tente de grimper à son tour, le jeune homme lui arrache les mains du mur. “Son collègue l’a rattrapée pour éviter qu’elle ne tombe du haut de trois étages”, décrit la même source. Bloqué sur le toit où il n’a aucune issue, le suspect finit par redescendre mais se rebelle de nouveau pour empêcher son interpellation. Cet homme a été placé en garde à vue.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • Lyon : il mord un homme de 92 ans pour lui arracher sa chaîne en or, un migrant “mineur” interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022

    Ce samedi après-midi, un homme de 92 ans marchait dans le 6e arrondissement lorsqu’un adolescent lui a arraché sa chaîne en or et l’a mordu, avant de prendre la fuite.

    Le nonagénaire a appelé la police, en lui fournissant un signalement de son voleur. Ce dernier a été transmis aux patrouilles, notamment celles du quartier de la Guillotière. Finalement, l’adolescent a été retrouvé à proximité, cours de la Liberté. Il a d’abord nié les faits, mais comme il était porteur du collier volé, il a reconnu être l’individu recherché.

    Âgé de 15 ans et en situation irrégulière sur le territoire français, il a été placé en garde à vue et le collier a pu être rendu à son propriétaire.

    Le Progrès via fdesouche

  • Colmar (68) : expulsé de son lycée après des coups de feu, un lycéen menace la direction de l’établissement

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022

    A Colmar (Haut-Rhin), le lycée Schongauer a connu un mois mouvementé. L’un des élèves de l’établissement a récemment proféré des menaces envers une enseignante et le proviseur adjoint du lycée. Ces derniers avaient participé au conseil de discipline du jeune homme visant à établir une sanction interne contre lui, accusé d’avoir tiré des coups de feu, dans les airs, le 20 octobre dernier, à proximité du lycée. Le jeune homme a l’interdiction de paraître devant l’établissement scolaire et l’obligation de respecter un placement en centre éducatif fermé.

    Lors du conseil, une exclusion définitive avait été prononcée à son encontre, lui qui était déjà suspendu depuis fin octobre. C’est en réaction à cette décision que le jeune homme a proféré des menaces envers les membres de l’équipe pédagogique.

    Des menaces, envoyées notamment par voie électronique, et justifiées par le jeune homme comme une réaction à la suite d’une décision qu’il considère comme injuste, l’événement en cause dans cette affaire s’étant produit en dehors de l’établissement.

    L’arme à feu utilisée le jour des coups de feu avait, selon le parquet, déjà servi dans une autre affaire pour des faits d’extorsion avec arme. Arme qui s’est donc ensuite retrouvée dans les mains de cet adolescent de 17 ans, qui a tiré dans les airs à proximité de son lycée “pour s’amuser”. Le jeune homme avait alors été placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à proximité de son lycée.

    Après avoir avoué les faits pour lesquels il est mis en cause, le lycéen a à nouveau été présenté devant un juge des enfants et placé sous contrôle judiciaire le 15 novembre dernier. Il a l’interdiction de paraître devant l’établissement scolaire et l’obligation de respecter un placement en centre éducatif fermé, comme demandé par le parquet lors des réquisitions. La justice travaille aujourd’hui pour trouver un lieu de placement à cet adolescent afin de l’éloigner de Colmar, et de ses fréquentations.

    msn via fdesouche

  • Vitry-sur-Seine (94) : le commissariat visé par des tirs de mortiers d’artifice deux nuits de suite

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022

    Le commissariat de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) a été la cible de tirs de mortiers d’artifice dans la nuit de samedi à dimanche, mais également la nuit précédente a-t-on appris.

    Vers 21 heures ce vendredi, la façade du commissariat de la commune a été la cible de “deux ou trois tirs” de mortiers d’artifice. Même chose la nuit dernière. Cette fois, plusieurs individus se sont postés juste devant le bâtiment et ont tiré “une dizaine de mortiers” d’après une source policière. Les auteurs ont pris la fuite et il n’y aurait eu aucune interpellation.

    (…) Actu 17 via fdesouche