Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 19

  • Ukraine : la moitié des infrastructures énergétiques détruites, Zelensky écarte l’idée d’une trêve

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022

     
    « Près de la moitié de notre système énergétique a été mis hors d’état de fonctionner », a déclaré vendredi le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal, réclamant « un soutien supplémentaire » de l’UE. De nombreux Ukrainiens doivent affronter le début de l’hiver avec peu ou pas d’électricité et sans eau chaude, alors que la première neige de l’hiver est tombée jeudi sur le pays, après plus d’un mois et demi de bombardements sur le réseau énergétique du pays.

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré que 17 provinces et la capitale Kiev étaient touchées par des coupures de courant, mais que les ingénieurs travaillaient à réparer le réseau électrique et que les pannes devenaient moins fréquentes.

    Le ministère russe de la Défense a affirmé vendredi qu’il ne visait que les installations liées à l’armée, et qu’une série de frappes de longue portée et de précision effectuées la veille avaient « touché exactement les objets ciblés ». Le Kremlin a imputé cette semaine les coupures de courant et leur impact sur les civils au refus de Kiev de négocier avec Moscou plutôt qu’aux attaques de missiles russes.

    Zelensky a rétorqué qu’il ne pensait pas que la Russie était réellement intéressée par des pourparlers de paix, suggérant vendredi soir que le Kremlin « recherch (ait) désormais une courte trêve, un répit pour reprendre des forces ». « On pourrait y voir la fin de la guerre, mais un tel répit ne fera qu’empirer la situation », a ajouté le président ukrainien.

    Accusations mutuelles de « crimes de guerre »

    La Russie a accusé vendredi l’Ukraine de « crime de guerre », estimant que les troupes de Kiev avaient exécuté « brutalement » plus de dix de ses militaires qui venaient de se rendre. Cette accusation intervient après la publication sur les réseaux sociaux russes de deux vidéos d’une trentaine de secondes chacune, présentées par ces sources russes comme prouvant l’exécution des militaires capturés. Kiev n’a toujours pas réagi à ces accusations, sur lesquelles l’ONU a indiqué se pencher.

    L’Ukraine a affirmé à plusieurs reprises que l’armée russe avait commis des « crimes de guerre » et des « atrocités », notamment lors de l’occupation d’une partie de la région de Kiev en mars mais aussi dans les régions de Kharkov (nord-est) et de Kherson (sud) récemment repris.

    […]

    Fortification en Crimée

    […]

    L’Ukraine a répété plusieurs fois ces derniers mois vouloir reprendre la péninsule, par la force s’il le faut. À ce sujet, la Maison Blanche a réitéré vendredi qu’il incombait au seul président ukrainien de décider l’ouverture de négociations avec la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines sur Kiev.

    Des médias américains ont récemment rapporté que certains hauts responsables commençaient à encourager l’Ukraine à envisager des pourparlers, ce que le président Zelensky a refusé jusqu’ici sans retrait préalable des forces russes de tout le territoire ukrainien.

    Lire l’article entier sur sudouest.fr

  • Civitas organisait samedi à Rungis sa 4e Fête du Pays réel

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022

    Z3LVINWDHNSBOQ4TMQKAP2NOAM.jpeg

     

    Belle réussite pour Civitas, samedi 19 novembre à Rungis. 

    4862664702119360406 (1).jpg

    Parmi les stands, celui de Synthèse nationale sur lequel de nombreux amis de notre revue sont passés nous voir ou pour acheter nos livres, comme ici Thomas Joly, président du Parti de la France, en compagnie de Roland Hélie.

  • Insultes, menaces, agressions, tirs de mortiers… : à La Salvetat-Saint-Gilles (31), près de Toulouse, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2022

    À La Salvetat-Saint-Gilles, dans l’Ouest toulousain, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs en perte de repères.

    Insultes, menaces, voitures vandalisées, agressions physiques…, la liste noire des nuisances et des délits s’alourdit aux yeux de ces riverains excédés. Depuis un an et demi, les résidents du boulevard Albert Camus, à La Salvetat-Saint-Gilles, petite localité de l’ouest toulousain, n’en finissent plus d’égrainer les événements qui pourrissent leur quotidien. Il y a Julien, la trentaine, (les prénoms ont été changés) qui préfère passer par le garage de son immeuble, avant de sortir, « pour éviter la confrontation directe avec les jeunes et les insultes homophobes », Yvonne qui n’ose plus fumer sa cigarette sur son balcon, « depuis qu’ils balancent des fusées d’artifice sur les terrasses, j’ai peur d’en recevoir une… » et Arthur qui a carrément déménagé, victime d’une violente agression. Sorties de terre en 2008, ces résidences coquettes de deux étages, non loin du collège, s’ouvrent sur de vastes terrains vagues.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Les liaisons dangereuses de Bilongo : le député insoumis est lié à des individus accusés de blanchiment d’argent et d’aide au terrorisme

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2022

    Les liaisons dangereuses de Bilongo

    Érigé en martyr de l’antiracisme par l’extrême gauche, nouveau héros de la Nupes, le député insoumis se montre plus discret sur son passé professionnel et ses liens avec des individus accusés de blanchiment d’argent et d’aide au terrorisme. Enquête.

    www.valeursactuelles.com via fdesouche

  • Perpignan : armé d’une machette de 40 centimètres, Jaouad, 12 mentions à son casier judiciaire, agresse une cycliste

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2022

    Le bon samaritain prêt à aider une jeune femme en difficulté était en fait en voleur qui guettait une proie.

    Ce 11 novembre, une jeune femme enfourche son vélo pour rentrer chez elle après avoir passé un moment avec des amis aux Halles Vauban à Perpignan. Peu avant minuit, elle a un petit problème de dérailleur et s’arrête un instant rue de l’Ange. C’est là que Jaouad s’approche d’elle, apparemment empli de sollicitude, pour l’aider. En fait, il s’empare de son sac à main et s’enfuit. La police, aussitôt avertie, le rattrape un peu plus loin. Il a en poche la carte bleue et le téléphone de la victime. Dans son sac à dos, il transporte en outre une machette longue de 40 centimètres. Trois jours plus tard, il est déjà renvoyé devant le tribunal. S’il ne peut nier le vol, il réfute toute violence : “Elle est tombée toute seule avec le vélo. J’ai doucement pris le sac dans le panier avec un seul doigt”.

    La version de la victime est assez différente : “Il m’a fait tomber et a arraché le sac. Depuis, je n’ose même plus sortir en ville”. Elle n’a pas la force de venir en personne au procès, toujours traumatisée.

    “L’arrachage a été si violent que la victime est tombée au sol, tonne le procureur. Et il y a ce port de la machette, même s’il ne l’a pas utilisée. Il a 12 mentions sur son casier et a déjà bénéficié de plusieurs alternatives à l’incarcération. Cette fois, je demande 15 mois ferme”.

    L’Indépendant via fdesouche