Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2022
Le ministère russe de la Défense a affirmé vendredi qu’il ne visait que les installations liées à l’armée, et qu’une série de frappes de longue portée et de précision effectuées la veille avaient « touché exactement les objets ciblés ». Le Kremlin a imputé cette semaine les coupures de courant et leur impact sur les civils au refus de Kiev de négocier avec Moscou plutôt qu’aux attaques de missiles russes.
Accusations mutuelles de « crimes de guerre »
L’Ukraine a affirmé à plusieurs reprises que l’armée russe avait commis des « crimes de guerre » et des « atrocités », notamment lors de l’occupation d’une partie de la région de Kiev en mars mais aussi dans les régions de Kharkov (nord-est) et de Kherson (sud) récemment repris.
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Fortification en Crimée
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Des médias américains ont récemment rapporté que certains hauts responsables commençaient à encourager l’Ukraine à envisager des pourparlers, ce que le président Zelensky a refusé jusqu’ici sans retrait préalable des forces russes de tout le territoire ukrainien.
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