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  • Rémunération record des grands patrons en France en 2021

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2022

     

    La rémunération des grands patrons du CAC 40 en France a atteint un sommet à 7,9 millions d’euros en moyenne l’an dernier, selon un rapport publié mardi par le cabinet de conseil aux actionnaires Proxinvest. Un record historique.

    L’étude constate « une forte hausse des rémunérations médianes et moyennes dans tous les indices (CAC 40 et SBF 120, NDLR). On est bien sur des records historiques », a déclaré Jehanne Leroy, directrice de la recherche ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) lors d’une visionconférence avec des médias.

    Elles sont portées par les très bons résultats post-Covid des sociétés en 2021, sur lesquels des éléments de rémunération sont indexés.

    La rémunération totale moyenne des patrons de l’indice CAC 40 a augmenté de 52%, tandis que celle des présidents exécutifs de l’indice SBF 120 composé des 120 plus grandes entreprises cotées en France a crû de 22% pour atteindre 4,5 millions d’euros.

    Dans les deux cas, c’est du jamais-vu depuis quinze ans.

    « Effet Carlos Tavares »

    Ces chiffres 2021 ont été obtenus par comparaison à ceux de 2019, avant la crise sanitaire, et non par rapport à ceux de 2020 qui est considérée comme une année non représentative étant donné qu’un certain nombre de dirigeants avaient renoncé à une part de leur rémunération.

    La hausse s’explique également par un « effet Carlos Tavares (le directeur général du groupe automobile franco-italo-américain) Stellantis (Peugeot-Citroën-Fiat…) », dont la rémunération totale (fixe, variable, actionnariale) atteint un record jamais observé par Proxinvest, à 66,7 millions d’euros (19,15 millions d’euros selon l’entreprise).

    « C’est la première fois depuis 15 ans qu’une société présente une rémunération totale supérieure à 50 millions d’euros », selon le rapport.

    La rémunération de Carlos Tavares avait été rejetée le 15 avril par les actionnaires de Stellantis, mais ce vote était purement consultatif aux Pays-Bas où est basée la société, contrairement à la France où un tel vote est contraignant depuis 2018.

    La différence entre les chiffres du constructeur automobiles et ceux de Proxinvest s’explique par le recours à des méthodes de calcul différentes, les sommes correspondant à la rémunération pluriannuelle étant lissées sur plusieurs années par Stellantis.

    Pour établir son classement, le rapport de Proxinvest prend en compte tous les éléments de rémunération : fixe, bonus annuel, rémunération pluriannuelle de long terme, attribution d’actions valorisées à leur date d’attribution, avantages en nature…

    Tous ces éléments ont explosé l’an dernier. La rémunération fixe moyenne est en hausse de 4,2% et le bonus annuel moyen de 33,6% au sein du CAC 40, alors que la valeur des attributions d’actions gratuites de performance atteint son plus haut historique dans le SBF 120 avec un bond de 39,6%.

    Dispersion des salaires

    C’est aussi « la première fois en huit ans que la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 représente plus de 100 fois la rémunération moyenne des salariés », soit 369 fois le SMIC en base 39 heures, selon le rapport qui détecte un moins bon respect du plafond de rémunération maximale socialement acceptable (5,12 millions d’euros) calculé par Proxinvest.

    En tout, 29 dirigeants dépassent ce plafond, contre 14 en 2020 et 24 en 2019, ce qui devrait relancer le débat sur le pouvoir d’achat des plus modestes, amputés en outre par l’inflation.

    Sur la période 2014-2021, la rémunération moyenne des dirigeants a augmenté de 83,8%, soit trois fois plus vite que celle des salariés, qui a progressé de 23,9%.

    Le cabinet Proxinvest, qui émet des recommandations de vote aux actionnaires pour les assemblées générales, se réjouit toutefois que, depuis 2021, toutes les sociétés du CAC 40 ont désormais intégré des conditions de performance ESG dans l’une des rémunérations variables du premier dirigeant.

    Dans le top 5 des dirigeants les mieux payés figurent Carlos Tavares (66,7 millions d’euros), Bernard Charlès du groupe de logiciels Dassault Systèmes (44,1 millions d’euros, dont 40,8 millions de rémunération actionnariale), Daniel Julien de la société de centre d’appels Teleperformance (19,6 millions d’euros), François-Henri Pinault du groupe de luxe Kering (12 millions d’euros) et Paul Hudson du laboratoire pharmaceutique Sanofi (9 millions d’euros).

    Source

  • Zelensky piégé par Moscou et Washington

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2022

     

    L’évolution du rapport de forces sur le champ de bataille ukrainien et l’épisode tragique du G20 de Bali marquent un retournement de situation. Si les Occidentaux croient toujours vaincre prochainement Moscou, les États-Unis ont déjà débuté des négociations secrètes avec la Russie. Ils s’apprêtent à lâcher l’Ukraine et à faire porter le chapeau au seul Volodymyr Zelensky. Comme en Afghanistan, le réveil sera brutal.

    Discutant , il y a une dizaine de jours à Bruxelles, avec un chef de file des députés européens que l’onit ouvert d’esprit, je l’écoutais me dire que le conflit ukrainien était certes complexe, mais que la chose la plus évidente était que la Russie avait envahi ce pays. Je lui répondis en observant que le droit international faisait obligation à l’Allemagne, à la France et à la Russie d’appliquer la résolution 2202, ce que Moscou, seul, avait fait. Je poursuivais en lui rappelant la responsabilité de protéger les populations en cas de défaillance de leur propre gouvernement. Il me coupa la parole et me demanda : « Si mon gouvernement se plaint du sort de ses ressortissants en Russie et attaque ce pays, vous trouverez cela normal ? ». Oui, lui répondis-je, si vous avez une résolution du Conseil de sécurité. En avez-vous une ? Décontenancé, il changea de sujet. Trois fois, je lui demandais si nous pouvions aborder la question des « nationalistes intégraux » ukrainiens. Trois fois, il refusa. Nous nous séparâmes avec courtoisie.

    La question de la responsabilité de protéger aurait dû être nuancée. Ce principe n’autorise pas à une guerre, mais à une opération de police, menée avec des moyens militaires. C’est pourquoi le Kremlin veille à ne pas désigner ce conflit comme une « guerre », mais comme une « opération militaire spéciale ». Les deux manières de parler désignent les mêmes faits, mais « opération militaire spéciale » limite le conflit. Dès l’entrée de ses troupes en Ukraine, le président russe, Vladimir Poutine, a précisé qu’il n’entendait pas annexer ce territoire, mais uniquement libérer les populations persécutées par les « nazis » ukrainiens. Dans un long article précédent, j’ai indiqué que, si l’expression « nazis » est juste au sens historique, elle ne correspond pas à la manière dont ces gens se désignent. Ils utilisent l’expression : « nationalistes intégraux ». Rappelons que l’Ukraine est le seul État au monde à disposer d’une Constitution explicitement raciste.

    Le fait d’observer que le droit international donne raison à la Russie ne signifie pas qu’on lui donne un blanc-seing. Chacun doit critiquer la manière dont elle applique le droit. Les Occidentaux trouvent toujours la Russie « asiatique », « sauvage » et « brutale », même s’ils se sont montrés eux-mêmes bien plus destructeurs en de nombreuses occasions.

    RENVERSEMENT DE SITUATION

    Les points de vue russe et occidentaux ayant été précisés, force est de constater que plusieurs évènements ont suscité une évolution occidentale.
    Nous entrons dans l’hiver, une saison rude en Europe centrale. La population russe a conscience, depuis l’invasion napoléonienne, qu’elle ne peut pas défendre un pays aussi grand. Aussi a-t-elle appris à utiliser précisément l’immensité de son territoire et les saisons pour vaincre ceux qui l’attaquaient. Avec l’hiver, le front est figé pour plusieurs mois. Chacun peut constater que, contrairement au discours selon lequel les Russes sont vaincus, l’armée russe a libéré le Donbass et une partie de la Novorussia.
    Avant que l’hiver ne tombe, le Kremlin a replié la population libérée qui habitait au Nord du Dniepr, puis a retiré son armée, abandonnant la partie de Kershon située sur la rive Nord du Dniepr. Pour la première fois, une frontière naturelle, le fleuve Dniepr, marque une frontière entre les territoires contrôlés par Kiev et ceux contrôlés par Moscou. Or, durant l’entre-deux-guerres, c’est l’absence de frontières naturelles qui a fait tomber tous les pouvoirs successifs en Ukraine. Désormais, la Russie est en position de tenir.
    Depuis le début du conflit, l’Ukraine peut compter sur l’aide illimitée des États-Unis et de leurs alliés. Or, les élections de mi-mandat aux USA ont enlevé la majorité de l’administration Biden à la Chambre des Représentants. Désormais, le soutien de Washington sera limité. Identiquement, l’’Union européenne trouve aussi ses limites. Ses populations ne comprennent pas la hausse des coûts de l’énergie, la fermeture de certaines usines et l’impossibilité de se chauffer normalement.
    Enfin, dans certains cercles de pouvoir, après avoir admiré les talents de communiquant de l’acteur Volodymyr Zelensky, on commence à s’interroger sur les rumeurs concernant sa soudaine fortune. En huit mois de guerre, il serait devenu milliardaire. L’imputation est invérifiable, mais le scandale des Pandora Papers (2021), la rend crédible. Est-il nécessaire de se saigner aux quatre veines pour ne pas voir arriver les dons en Ukraine, mais disparaître dans des sociétés off shore ?

    Les Anglo-Saxons (c’est-à-dire Londres et Washington) souhaitaient transformer le G20 de Bali en sommet anti-Russe. Ils avaient d’abord fait pression pour que Moscou soit exclu du Groupe comme ils y sont parvenus au G8. Mais si la Russie avait été absente, la Chine, de très loin le premier exportateur mondial, ne serait pas venue. Aussi, c’est le Français Emmanuel Macron qui a été chargé de convaincre les autres invités de signer une déclaration sanglante contre la Russie. Durant deux jours, les agences de presse occidentales ont assuré que l’affaire était dans le sac. Mais, en définitive, la déclaration finale, si elle résume le point de vue occidental, ferme le débat en ces mots : « Il y avait d’autres points de vue et différentes évaluations de la situation et des sanctions. Reconnaissant que le G20 n’est pas le forum pour résoudre les problèmes de sécurité, nous savons que les problèmes de sécurité peuvent avoir des conséquences importantes pour l’économie mondiale ». En d’autres termes, pour la première fois, les Occidentaux ne sont pas parvenus à imposer leur vision du monde au reste de la planète.

    Le piège

    Pire : les Occidentaux ont imposé une intervention vidéo de Volodymyr Zelensky comme ils l’avaient fait, le 24 août et le 27 septembre, au Conseil de sécurité des Nations unies. Or, alors que la Russie avait vainement tenté de s’y opposer en septembre à New York, elle l’a accepté en novembre à Bali. Au Conseil de sécurité, la France, qui détenait la présidence, avait violé le règlement intérieur pour donner la parole à un chef d’État par vidéo. Au contraire, au G20, l’Indonésie tenait une position absolument neutre et ne risquait d’accepter pas de lui donner la parole sans autorisation russe. Il s’agissait à l’évidence d’un piège. Le président Zelensky, qui ne connaît pas le fonctionnement de ces instances, y est tombé.

    Après avoir caricaturé l’action de Moscou, il a appelé à l’exclure du… « G19 ». En d’autres termes, le petit Ukrainien a donné, au nom des Anglo-Saxons, un ordre aux chefs d’État, Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères des 20 plus grandes puissances mondiales et n’a pas été entendu. En réalité, le litige entre ces dirigeants ne portait pas sur l’Ukraine, mais sur leur soumission ou pas à l’« ordre mondial américain ». Tous les participants latino-américains, africains et quatre asiatiques ont dit que cette domination était finie ; que désormais le monde est multipolaire.

    Les Occidentaux ont dû sentir le sol trembler sous leurs pieds. Ils n’ont pas été les seuls. Volodymyr Zelensky a vu, pour la première fois, que ses parrains, jusqu’ici maîtres absolus du monde, le laissaient tomber sans hésiter pour maintenir quelques temps encore leur position.

    Il est probable que Washington a été de mèche avec Moscou. Les États-Unis constatent qu’à l’échelle du monde, les choses tournent à leur désavantage. Ils n’auront aucune hésitation à faire porter le chapeau au régime ukrainien. William Burns, directeur de la CIA et opposant à la ligne straussienne, a déjà rencontré Sergueï Narychkine, le directeur du SVR, en Turquie. Ces entretiens font suite à ceux du straussien Jacob Sullivan, le conseiller national de Sécurité US, avec plusieurs officiels russes. Or, Washington n’a rien à négocier en Ukraine. Deux mois avant le conflit en Ukraine, j’expliquais que le fond du problème n’avait aucun rapport avec ce pays, pas plus qu’avec l’Otan. Il porte essentiellement sur la fin du monde unipolaire.

     

    Thierry Meyssan

  • Le Rassemblement National veut inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, créant un nouveau scandale parmi ses troupes

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2022

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    « Marine Le Pen a déposé un amendement pour constitutionaliser les acquis de la loi Veil et les modifications qui ont été apportées depuis », a déclaré Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme, qui prétend qu’il y a « un très large consensus en France pour la défense de la loi Veil ».

    Le député RN souligne qu’il « n’a jamais été question pour Marine Le Pen de remettre en cause le droit à l’IVG ». L’amendement proposé par le Rassemblement national « permet de clore ces fausses accusations et permet de proposer une solution consensuelle », ajoute l’élu.

    On savait depuis plusieurs années que Marine Le Pen ne défendait ni la Vie ni la Famille. Surtout depuis que ce parti a accueilli à bras ouverts des francs-maçons et des militants LGBT notoires. Il est loin le temps où le Front National collait des affiches sur lesquelles on pouvait lire : « Simone veille sur la dénatalité. Pensez à vos retraites ! »

     
     
  • Tolérance maximale pour les migrants et sanctions sans pitié pour les pompiers non vaccinés !

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2022

    Auteur : 

    Honneur à nos pompiers, honte à cette république maçonnique !

    Pour de faux passes sanitaires les sanctions tombent sans pitié : jusqu’à un an de prison avec sursis pour des pompiers en Seine-et-Marne. Pendant ce temps tous les clandestins, les délinquants, les migrants envahisseurs, sont nourris, logés, blanchis à nos frais et nous crachent dessus.

    Mieux : lorsque l’on veut expulser un de ces voyous, il suffit qu’il refuse un test – pour savoir s’il a le covid – pour rester chez nous.

    Par contre, huit sapeurs-pompiers ont été condamnés lundi à des peines de trois mois à un an de prison avec sursis pour avoir créé, en 2021 en Seine-et-Marne, de faux passes sanitaires pour eux-mêmes ou des collègues, a appris l’AFP mardi 22 novembre auprès du parquet de Fontainebleau.

    La peine la plus lourde a été infligée à un jeune homme de 18 ans: il a écopé d’un an d’emprisonnement avec sursis et d’une interdiction d’exercer le métier de pompier pendant cinq ans pour avoir délivré dix certificats frauduleux de vaccination contre le Covid à ses collègues, en plus du faux réalisé pour lui-même.

    Les faits se sont étalés entre mai et août 2021 dans le vaccinodrome de Fontainebleau et celui de Chessy, dans lesquels les pompiers prêtaient main-forte aux professionnels de santé pour vacciner la population.

    La « justice » dans cette république maçonnique c’est pour les étrangers délinquants, pas pour les Français qui se dévouent corps et âme pour leur Patrie.

    Macron, Veran, Dupont-Moretti : DEMISSION !!!

     

    Source : medias-presse.info

  • Délinquance à Dijon : dans le quartier République, les bars de nuit fermeront plus tôt afin de tenter d’endiguer la vague d’agressions. “Si on ne fait rien, les gens d’eux-mêmes ne viendront plus”, explique le préfet

    Publié par Guy de Laferrière le 22 novembre 2022

    Fin de la dérogation sur les horaires, présence policière accrue, lutte contre les trafics : le préfet de Côte-d’or Franck Robine fait le point sur la situation place de la République, après plusieurs mois marqués par une hausse des actes de délinquance et de violence.

    120 faits de délinquance, une trentaine d’agressions, dont certaines très graves. Ce sont les chiffres de trop. Ce sont ces chiffres qui vous ont poussé aujourd’hui à agir ? 

    Effectivement, je crois que la situation ne peut plus durer et c’est pour cela que je prends ces mesures qui commencent avant toute chose, justement par une présence accrue de la police nationale sur la place de la République et sur les abords de la place de la République.

    Parmi les mesures annoncées, cette décision de mettre fin à la dérogation pour les établissements de nuit de fermer à 5h. Ils fermeront désormais à 2h. Quand est-ce que ça va rentrer en vigueur ? 

    D’abord, plus de policiers, ça veut dire quoi ? Ça veut dire présence systématique de la police nationale. Je l’ai demandé. Les soirs de week-end, vendredis, samedis, dimanches. Ça, c’est le cœur de la présence. Vous avez pu également constater qu’il y avait des CRS qui étaient arrivés ces derniers jours. Ce que nous avons demandé aux bars, c’est donc de revenir à ce qu’on appelle le droit commun. Le droit commun, c’est l’ouverture jusqu’à 2h du matin. J’aurais pu prendre une décision de fermeture administrative mais ce que j’ai demandé c’est qu’on revienne au droit commun de l’ouverture : l’ensemble des bars de la Côte d’Or ouvrent jusqu’à 2h du matin. Et donc, les dérogations dont bénéficiaient les bars de la place de la République prennent fin.

    (…)

    En même temps, on le disait, ces établissements de nuit, ils ont des inquiétudes : perdre du chiffre d’affaires, avoir moins de clients, qui peut-être d’ailleurs iront ailleurs, sur la place ou tout autour. Est ce que ce n’est pas déplacer le problème ? 

    Je suis profondément persuadé que si on ne faisait rien, encore une fois, il y a eu des agressions extrêmement graves, il y a eu des agressions sexuelles, il y a un monsieur qui s’est retrouvé avec plus de 30 jours d’interruption de travail. Si on ne fait rien, les gens d’eux même ne viendront plus place de la République. Les parents diront leurs enfants. C’est une clientèle plutôt jeune de ne plus fréquenter la place de la République. Donc on prend nos responsabilités. Je prends mes responsabilités en limitant les heures d’ouverture. Et donc, pour être très clair, vous pourrez sortir place de la République, mais jusqu’à 2 heures du matin. 

    France Bleu via fdesouche