Publié par Guy de Laferrière le 22 février 2023
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Bon carême !
Publié par Guy de Laferrière le 22 février 2023
En ce mercredi des Cendres, l’équipe de Contre-Info souhaite à tous ses lecteurs catholiques un bon carême, dont vous entendrez peu parler dans les gros médias.
Le mercredi des Cendres marque le début du carême : 40 jours de jeûne et de pénitence (suivant l’exemple du Christ qui les vécut dans le désert) qui précèdent les fêtes de Pâques, point culminant de l’année liturgique.
Les catholiques se font « imposer les cendres » (c’est-à-dire marquer d’une croix sur le front), elles-mêmes produites à partir des rameaux bénis l’année précédente, ce qui évoque symboliquement la mort qui nous attend tous :
« souviens-toi, ô homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».Pour des livres permettant de vivre au mieux cette période, voir ici.
Source : contre-info
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Un grand moment de bonheur et d'émotion...
Publié par Guy de Laferrière le 22 février 2023
Source : synthesenationale
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Les femmes immigrées de 45 ans à 60 ans originaires d’Afrique ou du Moyen-Orient et résidant en France en 2019-2020 ont eu en moyenne 2,85 enfants, contre 1,86 pour les femmes nées en France sans ascendance migratoire directe
Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2021
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Lavardac (47) : « J’ai vu mon conjoint se faire massacrer dans la cuisine ». Quatre ans de prison pour Jawad Yahia, 18 mentions au casier, qui ne sait pas pourquoi il a agressé une famille chez elle
Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023
Le prévenu de 40 ans avait fracassé la porte d’une maison à Lavardac le 23 décembre dernier, avant de s’en prendre violemment à son propriétaire
Les aboiements du chien à cette heure tardive ont stoppé ce père de famille au moment où il allait rejoindre son lit. Dans cette maison de Lavardac, ce 23 décembre 2022, d’autres éclats se font entendre, « semblables à des coups de fusil. Sept ou huit impacts, un homme essayait de briser la porte vitrée de l’entrée. Le chien hurlait, ma fille s’est réveillée. Et je l’ai vu entrer : encapuchonné, avec un cache-nez. Une silhouette, dans l’encadrement, avec une pierre au-dessus de la tête ».
Deux mois après son agression, le propriétaire déroule son récit, soutenu par les gestes tendres de sa compagne. À son tour, il lui pose la main sur la jambe lorsqu’elle prend la parole : « Je faisais des allers-retours avec ma fille dans les bras, j’appelais les gendarmes et je voyais mon conjoint se faire massacrer dans la cuisine. » Coups de poing, de genoux, nez fracturé, pommette enfoncée, dents déplacées, la victime se fait délivrer 18 jours d’ITT. Le retentissement psychologique reste aussi prégnant chez la mère et l’enfant.
« Pourquoi cette maison ? Vous cherchiez à voler des choses ? », s’enquiert le président du tribunal correctionnel d’Agen. Le prévenu hausse les épaules. « Je ne sais pas. Sûrement. Je n’ai pas la mémoire de ce que j’ai fait, mais c’est bien moi. Je me souviens juste de m’être réveillé dans l’ambulance ». À la veille de ses 41 ans, Jawad Yahia totalise 18 mentions à son casier judiciaire, « une montée en puissance très inquiétante », relève Me Stéphanie Gouzes, conseil des parties civiles.