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  • Garde à vue pour la nièce de Darmanin

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mars 2023

    Garde à vue pour la nièce de Darmanin
    Garde à vue pour la nièce de Darmanin

    En plus de la consultation illégale de fichiers uniquement accessibles par les policiers et les gendarmes, la nièce de Gérald Darmanin doit être entendue pour port illégal de costume ou d’uniforme, pour avoir porté publiquement sa tenue d’ancienne gendarme adjoint volontaire, délit passible de 6 mois de prison ferme et 75.000 € d’amende.

     

    Source : medias-presse.info

  • Violences policières et abus de pouvoir : le Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris s’inquiète

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mars 2023

    Violences policières durant les manifestations contre la réforme des retraites
    Violences policières durant les manifestations contre la réforme des retraites
    Le Conseil de l'Ordre des Avocats de Paris dénonce les violences policières
    Le Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris dénonce les violences policières

    Le Conseil de l’Ordre du barreau de Paris s’est prononcé par une délibération du 28 mars 2023 publiée sur son site internet au sujet des abus de pouvoir des forces de l’ordre dans les manifestations contre la réforme des retraites.

    Le Conseil de l’Ordre du barreau de Paris s’inquiète des conditions dans lesquelles s’exerce le maintien de l’ordre à l’occasion de la mobilisation sociale actuelle, et en particulier depuis une dizaine de jours.

    Ces conditions se caractérisent par un usage parfois disproportionné de la violence à l’égard des manifestants, majeurs ou mineurs et par un nombre démesuré d’interpellations.

    Nombre des avocats assistant les personnes placées en garde à vue témoignent de l’absence, dans l’écrasante majorité des cas, de quelconques éléments justifiant le recours à cette mesure.

    A ce jour, plus de 90% des interpellations intervenues dans la nuit du 23 mars 2023 ont donné lieu à des décisions de classement sans suite, ce qui constitue un taux inédit au regard des précédents mouvements sociaux.

    La bâtonnière a délégué plusieurs membres du Conseil de l’Ordre pour exercer son droit de visite, dans le cadre des dispositions de l’article 719 du code de procédure pénale, dans certains commissariats parisiens dans la nuit du 23 au 24 mars 2023. Il a été constaté que la majorité des personnes en garde à vue avait été arrêtée pour cause de “manif”.

    Le Conseil de l’Ordre s’associe à la position de la Défenseure des droits, Claire Hédon, qui “alerte sur les conséquences d’interpellations qui seraient préventives de personnes aux abords des manifestations. Elle souligne que cette pratique peut induire un risque de recourir à des mesures privatives de liberté de manière disproportionnée et de favoriser les tensions. La liberté individuelle ne peut être limitée que dans le cadre et les conditions fixées par la loi.”

    En conséquence, le Conseil de l’Ordre du barreau de Paris, en sa séance du 28 mars 2023 :

    RAPPELLE que la participation à une manifestation non déclarée ne constitue pas une infraction pénale ;

    RAPPELLE que la liberté de manifester est un droit fondamental, et qu’il revient à la préfecture de police de Paris d’en assurer l’effectivité par la mise en place de dispositifs de maintien de l’ordre adaptés ;

    S’INQUIETE, à ce titre, de l’usage excessif et injustifié de la violence des forces de l’ordre à l’égard des citoyens, parfois mineurs ;

    DENONCE les verbalisations intervenues sur le territoire parisien depuis le 24 mars alors que les arrêtés d’interdiction de rassemblements de la Préfecture de Police de Paris n’étaient pas publiés.

    CONDAMNE le recours abusif au placement en garde vue de manifestants.

     

    Source : medias-presse.info

  • La religion de la République

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mars 2023

    La religion de la République

    Ancien Vénérable Maître franc-maçon et membre des Hauts Grades au sein de l’obédience du Droit humain, Serge Abad-Gallardo, converti il y a quelques années se consacre désormais à dévoiler ce véritable contre-pouvoir caché qu’est la franc-maçonnerie. Dans ce nouveau livre Franc-maçonnerie et politique: Les liaisons dangereuses‚ il met en lumière l’influence déterminante, continue et secrète de la franc-maçonnerie sur le politique depuis le XVIIIe siècle. Aucun régime n’a été épargné par l’ombre de celle-ci depuis la Révolution française : en particulier toutes les républiques successives, sans exception, y compris la Ve République. Les décisions politiques ont été orientées et sont orientées aujourd’hui encore par le pouvoir des loges – particulièrement dans le champ sociétal, jusqu’au sombre exemple actuel de l’euthanasie. Selon l’auteur, environ 40% de nos parlementaires sont franc-maçons. Cela explique l’influence déterminante de cette secte dans l’élaboration et le vote des lois.

    Ces laïcités qui luttent contre l’influence de l’Eglise dans la société prônent une fausse laïcité : ils combattent l’Eglise pour qu’elle n’empiète pas sur leur église maçonnique, véritable religion de la République depuis l’origine :

    La franc-maçonnerie est une religion utilisant des d’action politique. L’ordre initiatique refuse la qualification de religion, mais il s’agit là que d’une stratégie de la franc-maçonnerie dont la plupart de ses membres sont dupes, parfois le plus naïvement du monde !

    Au printemps 2013, alors que la loi dénaturant le mariage venait d’être adopté, l’Orateur de la loge du Droit Humain Tolérance et Fraternité à Narbonne déclarait :

    Pour terminer, mes “seuls” et mes “frères”, formons le voeu que la franc-maçonnerie demeure à l’origine de l’élaboration des lois de notre pays. Des lois de liberté, d’égalité et de fraternité, comme celles qui ont permis, grâce à notre “frère” Schoelcher, l’abolition de l’esclavage. Puis grâce à d’autres “frères” ou “soeurs”, députés et membres de gouvernement, le divorce, puis le droit de vote pour les femmes, ensuite la pilule, et l’avortement, l’abolition de la peine de mort, et récemment le mariage pour tous. Bientôt, la possibilité pour chacun de mourir dans la dignité par la légalisation de l’euthanasie. J’ai dit, Vénérable Maître !

    L’auteur souligne que l’objectif de cette secte est de perpétuer la révolte contre Dieu, en pesant sur l’action politique afin de bouleverser les lois du Décalogue. Un Grand-Maître a ainsi fait l’apologie de la transgression, au sens biblique du terme :

    Le maçon est un transgresseur… En mangeant le fruit défendu, l’homme devient enfin conscient

    Ainsi par la légalisation de l’avortement, et bientôt de l’euthanasie, la franc-maçonnerie, dans un idéal satanique, tend à se faire maitre de la vie et de la mort. Avortement et euthanasie s’inscrivent dans l’orgueil démesuré de Lucifer d’être l’égal de Dieu. Le Dr Henri Cavaillet, sénateur radical-socialiste et franc-maçon, déposé une première proposition de loi sur l’euthanasie en 1976. Pierre Simon, Grand Maître de la Grande Loge de France, fonda l’ADMD, Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité. En 1986, Henri Cavaillet en fut le président.

    On m’informe par ailleurs que le député qui sera rapporteur de la loi sur l’euthanasie est le franc-maçon Didier Martin, membre du Grand-Orient et du parti Renaissance.

     

    Source : lesalonbeige

  • La justice tranche en faveur de l’exposition pédo-porno

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mars 2023

    lesalonbeige

    La justice tranche en faveur de l’exposition pédo-porno
    Mardi 28 mars, six associations de protection de l’enfance qui réclamaient le retrait du tableau pédoporno de Miriam Cahn ont été déboutées par la justice. Devant le tribunal administratif de Paris, lundi 27 mars, ces 6 associations (Juristes pour l’enfance, Enfance en partage, Pornostop, Face à l’inceste, Innocence en danger et le Collectif féministe contre le viol) ont saisi le juge en référé-liberté pour faire retirer le tableau, invoquant l’article 227-23 du code pénal.Le juge administratif a rejeté ce matin la requête et cautionne ainsi le maintien de l’exposition publique d’un tableau pédo-porno. Le juge permet ainsi la poursuite d’une atteinte grave à l’intérêt supérieur de l’enfant. Il considère que cette représentation d’une scène de pédo-criminalité peut être vue par tous, y compris des enfants, comme si un message de sensibilisation était suffisant. La loi pénale est pourtant claire sur le fait qu’exposer une image à caractère pornographique impliquant un mineur est en soi une infraction (article 227-23 al. 1er du code pénal).En outre, l’exposition étant ouverte aux mineurs (et gratuite pour eux!), une seconde infraction est caractérisée, à savoir le fait soit de diffuser un message à caractère pornographique lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur (article 227-24 du code pénal).Le juge des référés Sylvie Vidal a estimé dans son ordonnance que le fait d’accompagner le public et de lui expliquer la chose permet d’autoriser son exposition (sic):
    Il résulte également de l’instruction que le Palais de Tokyo a mis en place un dispositif pour accompagner l’exposition de l’artiste Miriam Cahn intitulée « Ma pensée sérielle » d’une part en exposant cette œuvre dans une salle séparée avec d’autres œuvres susceptibles de choquer le public, de placer à l’entrée de cette salle un panneau d’avertissement indiquant que « certaines œuvres de cette salle sont susceptibles de heurter la sensibilité des publics. Son accès est déconseillé aux mineurs. / l’équipe de médiation est à votre disposition pour échanger avec vous sur les œuvres. » et de disposer dans la salle un cartel explicatif de façon à ce que le public ne puisse l’ignorer avant de voir le tableau et de placer un second cartel à côté de l’œuvre, d’assurer la présence de médiateurs à disposition du public et de sensibiliser les agents du musée placés en permanence à l’entrée de la salle 1, à l’entrée de la salle 3 et au milieu de cette salle 3 où se trouve l’œuvre litigieuse, à la nécessité de s’assurer que le public ait bien connaissance des avertissements et de ne pas laisser dans cette salle des mineurs non accompagnés et enfin de placer encore un avertissement au niveau de la billetterie. D’autre part, il résulte également du document intitulé « Comment construire un corps à soi ? » destiné aux enfants que ce dernier constitue un livret pédagogique destiné à comprendre les deux expositions présentées actuellement au Palais de Tokyo qui n’incite ni à visiter l’exposition de Miriam Cahn ni à aller voir le tableau litigieux auquel il ne fait pas référence, et ne conduit donc nullement à conforter la perception pédopornographique de l’œuvre litigieuse. Par ailleurs, le Palais de Tokyo n’organise pas de visite de l’exposition pour les lycéens ou les collégiens et déconseille aux enseignants cette visite en leur adressant un courriel type. Enfin, depuis le 17 février 2023, l’exposition a accueilli 45 000 visiteurs sans qu’aucune difficulté n’ait jamais été constatée par le Palais de Tokyo qui n’a reçu aucune plainte ou signalement des visiteurs et n’a pas recensé de mineurs visitant seuls l’exposition. Dans ces conditions, et eu égard aux mesures ci-dessus rappelées, prises par le Palais de Tokyo, l’association Juristes pour l’enfance n’est pas fondée à soutenir que le maintien de l’œuvre en litige dans le cadre de l’exposition serait constitutif d’une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale que constitue l’intérêt supérieur de l’enfant. Par suite, et sans qu’il soit besoin de statuer sur la condition d’urgence, la requête de l’association Juristes pour l’enfance doit être rejetée dans toutes ses conclusions.
    Maître Adeline Le Gouvello a réagi :
    “Il est plus que regrettable que la décision admette comme normal qu’un enfant puisse voir une scène explicite de viol d’un enfant dès lors qu’il est accompagné d’un adulte ou d’un message de sensibilisation”.
    Les associations compte faire appel devant le Conseil d’Etat.
  • A propos du « politiquement correct », par Guillaume Faye

    Publié par Guy de Laferrière le 29 mars 2023

    « Le « politiquement correct » n’est pas fondé sur des sentiments éthiques sincères, ni sur la peur physique d’une répression, mais sur un réflexe de snobisme intellectuel et de lâcheté sociale. Il s’agit en réalité d’un politiquement chic. Les journalistes et les « penseurs » du système actuel reproduisent de manière « soft » et bourgeoise le mécanisme de soumission de l’époque stalinienne : on ne risque plus d’être envoyé en camp, mais de ne pas être invité au restaurant, de n’être plus admis chez Castel, de se faire exclure des cénacles branchés et des médias, de déplaire aux jolies femmes, etc., en émettant des idées hors-système. C’est la mésaventure qui est arrivée à Jean Baudrillard. Etre politiquement correct, ce n’est pas une question d’idées, mais d’insertion sociale. »

    Guillaume Faye, L’archéofuturisme