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  • L’extrême brutalité de l’occupation israélienne : les images choquantes à l’intérieur de la mosquée Al-Aqsa

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

     

    Ce sont des images terribles et révoltantes… La police israélienne a attaqué et arrêté des fidèles palestiniens lors d’un raid ultra violent dans leur propre lieu de culte à la mosquée Al-Aqsa, dans la partie occupée de Jérusalem-Est. Utilisant des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes, causant des blessures par suffocation aux fidèles, ainsi que des coups de matraque et de fusil. Comment peut-on tolérer de telles atrocités ? La Croix-Rouge palestinienne a signalé qu’il y avait 12 blessés, dont trois ont été transférés à l’hôpital. Des images qui rappellent les violences que subissent les manifestants Français par les CRS et autres Brav-m.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1643390120094212097

     

    Le Média en 4-4-2.

  • Le Charnier de la République

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    Le Charnier de la République

    L’historien Joachim Bouflet vient de publier un ouvrage sur la Grande Terreur à Paris (juin-juillet 1794), intitulé Le Charnier de la République. Un ouvrage à mettre entre les mains des robespierristes mais aussi de ceux qui prennent à la légère le retour de l’extrême-gauche à l’Assemblée nationale. Cet épisode a été marqué par l’exécution à Paris, place du Trône Renversé – aujourd’hui place de la Nation -, de plus de 1300 personnes en six semaines. L’auteur raconte les jugements expéditifs d’accusés sans défense pris par le tribunal révolutionnaire présidé par le terrible Fouquier-Tinville. Il est le père de ceux qui diabolisent et condamnent sans procès des opposants politiques, voire toute personne qui ne pense pas correctement.

    Ces exécutions en masse ont nécessité le creusement de fosses communes pour recevoir les corps des victimes, véritables charniers institutionnalisés dont les pouvoirs publics ont tenté en vain d’effacer la mémoire, avant qu’ils deviennent un cimetière privé : le cimetière de Picpus. Nombreux sont ceux qui ont été mis à mort pour leur fidélité à la religion et à la foi de leurs ancêtres, comme les bienheureuses carmélites de Compiègne, mais aussi dix-huit autres serviteurs de Dieu ainsi qu’une multitude de martyrs. Ces pages rendent hommage à ces chrétiens héroïques envers lesquels la République n’a jamais fait de mea culpa. Nombre de laïcs ont été envoyés à l’échafaud comme “fanatiques”, et l’on sait que ce terme revêt une haine de la foi catholique. Ainsi Elisabeth Minet, couturière de 46 ans, arrêtée car elle a “cherché à réveiller le fanatisme en colportant et mettant en vente des figures superstitieuses”. Son crime ? Faire commerce de figurines de la Vierge et des saints. Taxée de fanatisme par le tribunal, elle réplique :

    “Je ne connais pas de loi qui ait ordonné de faire disparaître tous ces objets ; je vous avoue que je voulais pour ma satisfaction avoir une figure de la bonne Vierge, parce que je suis attachée à la divinité”.

    Cette naïve profession de foi suffit à la faire transférer à la Conciergerie, d’où elle ne sort que pour être menée à la guillotine le 16 juin 1794.

     

    Source : lesalonbeige

  • De retour d’Arabie Saoudite, le ministre de la culture très préoccupé par les menaces que subit Bilal Hassani

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    De retour d’Arabie Saoudite, le ministre de la culture très préoccupé par les menaces que subit Bilal Hassani

    Alors que le chanteur déguisé en femme a décidé d’annuler son concert dans une église, le ministre de la Culture Rima Abdul Malak s’est dite mercredi soir, au micro de France Inter, “très préoccupée” par “les menaces, les attaques” que subit Bilal Hassani. “Ces attaques contre Bilal Hassani, ce sont ni plus ni moins des attaques homophobes, des attaques transphobes. C’est la haine de tout ce qui se rapproche de l’univers queer”, a t’elle estimé.

    Cette intervention intervient moins d’un mois après le retour du ministre franco-libanaise au royaume d’Arabie Saoudite. Le 12 mars dernier, le Ministre de la culture Rima Abdul Malak s’est rendu en “Arabie heureuse” à l’occasion d’un accord signé entre le Centre Pompidou avec la commission royale pour Al-Ula, une alliance stratégique qui confirme le “soft power” initié par l’Arabie Saoudite depuis quelques années.

    Depuis l’arrivée au pouvoir en 2017 de Mohammed ben Salmane, le taux d’exécutions a doublé. Il y a eu 147 exécutions de condamnés à mort l’année dernière, dont certains mineurs au moment des faits. Les familles ne sont pas prévenues des exécutions et elles ne savent pas où se trouvent les corps. Est-ce que Rima Abdul-Malak y a pensé en dinant avec les officiels saoudiens ?

    L’homosexualité est un délit passible de la peine capitale en Arabie saoudite, connue pour son interprétation stricte de la charia, la loi islamique. En avril, le royaume avait déclaré avoir demandé à Disney de supprimer les « références LGBTQ » du film de Marvel Doctor Strange in the Multiverse of Madness, ce qui lui avait été refusé. Le film n’avait finalement pas été projeté dans le pays.

    Les autorités saoudiennes ont saisi des jouets et des vêtements aux « couleurs de l’homosexualité », jugés « contraires à la foi musulmane » dans des magasins de la capitale Riyad, ont rapporté les médias d’Etat. La monarchie du Golfe a fait ces dernières années la promotion de réformes sociales visant à donner une image plus libérale au monde et à sa jeunesse, mais le conservatisme religieux et la répression politique restent très importants. « Nous contrôlons les produits contraires à la foi musulmane et la morale publique et qui affichent les couleurs de l’homosexualité, en ciblant la jeune génération », a déclaré un responsable du ministère du Commerce.

    Pourquoi Bilal Hassani a voulu se “produire” dans un bâtiment produit par la culture religieuse occidentale demeure une question sans réponse. Pourquoi le ministre qui le défend va signer de juteux accords commerciaux avec un des pays les plus homophobes du monde en est une autre.

     

    Source : lesalonbeige

  • C’est un cas Binet

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    C’est un cas Binet

    Au nom de la liberté d’expression, la nouvelle patronne de la CGT refuse de répondre à un média :