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  • Les catholiques cambodgiens rendent hommage aux martyrs morts sous Pol Pot

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juin 2023

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    Les catholiques cambodgiens rendent hommage aux martyrs morts sous Pol Pot

    Le 17 juin dans le district de Tang Kork, dans la province de Kampong Thom (à environ 100 km de Phnom Penh, la capitale), plus de 3 000 catholiques cambodgiens, dont plusieurs évêques et de nombreux prêtres, ont célébré une messe en commémoration des membres du clergé, des religieux et des laïcs morts en martyrs sous le régime de Pol Pot, durant les années 1970.

    « Le témoignage des martyrs nous guide sur le chemin », a confié Mgr Olivier Schmitthaeusler (MEP), vicaire apostolique de Phnom Penh.

    En 2015, l’Église locale a ouvert la phase diocésaine du processus de béatification de Mgr Joseph Chhmar Salas et de 34 autres martyrs tués sous le régime Khmer Rouge. Mgr Salas et les autres martyrs ont été tués entre 1970 et 1977 durant les persécutions lancées par les Khmers Rouges de Pol Pot contre l’Église catholique.

    Les pratiques religieuses ont été suspendues durant le régime de Pol Pot, qui a causé un génocide qui a fait environ 2 millions de morts au Cambodge entre 1975 et 1979, dans sa volonté de détruire tous ceux qui étaient considérés comme des traîtres et des antirévolutionnaires. Ainsi, les Khmers Rouges ont assassiné des laïcs, des catéchistes et des missionnaires cambodgiens, vietnamiens et français, y compris des membres des MEP (Missions Étrangères de Paris).

    En s’adressant à l’assemblée, Mgr Schmitthaeusler a souligné combien la situation s’est améliorée depuis la fin des atrocités des Khmers Rouges.

    « Aujourd’hui, les choses sont très différentes, l’Église est nouvelle, il y a environ 23 000 croyants et plusieurs communautés qui sont très jeunes, majoritairement fondées par des gens qui ont rejoint la foi chrétienne seulement récemment ». « Le Seigneur nous accompagne, et nous regardons toujours l’avenir avec espoir ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Coup de torchon !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juin 2023

    synthesenationale

    Le billet de Patrick Parment

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    Vincent Bolloré qui vient de mettre définitivement la main sur les restes de l’empire médiatique Lagardère, a trouvé dans son escarcelle la station de radio Europe 1 et l’hebdomadaire Le Journal du dimanche. Comme à la télévision, sur CNews notamment, il a fait le ménage. Que faut-il entendre par ménage ? Tout simplement sortir de la doxa officielle de ce mainstream qui glorifie un libéralisme financier et qui répercute comme un bon Toutou les ordres de Washington et de la CIA. Autant dire que pour le mainstream, Bolloré c’est le diable.

    Dans la reprise du Journal du dimanche, où sévissent une majorité de thuriféraires de la doxa officielle, il n’en fallait pas plus pour se mettre en grève avec la nomination, à la tête de l’hebdomadaire de Geoffroy Lejeune, viré de Valeurs actuelles, Jérôme Béglé prenant lui la direction de Paris-Match.

    Certes, me direz-vous, Vincent Bolloré est un capitaliste qui a fait fortune en sachant se servir du système. A l’image d’un Bernard Arnault ou d’un François Pinault. Certes. Sauf qu’il y a une petite nuance, et elle est de taille, Vincent Bolloré, est Breton, catholique,  enraciné et entend défendre notre culture pour ne pas dire notre civilisation. Vincent Bolloré n’est pas plus « zémmourien » que « frontiste » comme on cherche à l’accuser, il défend lui aussi la même idée que nous qu’il se fait de la culture et de la civilisation française, celles-ci étendues à l’échelle de l’Europe par-delà ses frontières. Comme nous, il considère que l’Europe est une terre de culture façonnée par la religion chrétienne, elle-même héritière d’Athènes et de Rome. Le ciment européen, c’est Homère avec l’Iliade et l’Odyssée plus sûrement que la Bible.

    Bernard Arnault et François Pinault sont deux satrapes sans grand état d’âme du capitalisme dont ils savent mieux que personne en tirer la substantifique moëlle. Pour se donner bonne conscience, Bernard Arnault avance qu’il protège le savoir-faire  français à travers la cohorte d’artisans qu’il emploie dans ses usines du luxe (Dior, Vuitton, etc.). Ce qui est vrai. En revanche, ce bel édifice s’écroule quand notre homme – tout comme François Pinault d’ailleurs – se targue d’être protecteur des arts au regard des œuvres  d’artistes contemporains qu’il ne cesse d’acquérir et qui ne sont rien moins à l’art que celui de la poubelle. Depuis 1920 environ, est apparu un second marché de l’art, dit moderne, qui a radicalement rompu avec la tradition européenne et qui est entièrement basé sur le fric. C’est un marché tenu par de riches collectionneurs qui déterminent les prix et qui font monter ou descendre les enchères. En veut-on un exemple ? Les frères Saatchi – galiéristes londoniens – qui soutenaient Gérard Garouste, ont décidé un beau jour de le lâcher. Sa cote s’est effondrée du jour au lendemain. Il faut bien dire que Garouste s’était fourvoyé dans « l’art moderne ». Il s’est repris depuis et a repris le chemin de la vraie peinture. Autre exemple, plus amusant celui-là, c’est François Pinault qui a fait la fortune de Jeff Koon, un de ces nombreux clowns qui vend gadgets et barbouillages à de très riches ignares.

    Tout cela pour dire qu’aussi bien Arnault que Pinault, également patrons de presse, ont une notion de note culture fort différente de celle qu’entend défendre et imposer dans ses médias Vincent Bolloré. D’où ces coups de torchon salutaires au sein de son groupe dans un pays où la gauche elle-même se fait le valet du pire capitalisme anglo-saxon. Sans parler de son addiction aux islamistes, dans sa version Mélenchon. Pour ce qui concerne Marcon, rassurez-vous, il n’est rien mais respire l’air fétide de Washington.

  • Face à l'invasion, les jeunes Marseillais résistent...

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juin 2023

    synthesenationale

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    13 heures de garde-à-vue pour les jeunes militants de « Défends Marseille ». Leur crime ? Avoir déployé une banderole pendant un concert de gauchistes pro-migrants et refuser l’invasion migratoire orchestrée par SOS-Méditerranée.

    Voici leur site : cliquez ici

  • Le cuck de l'espace

    Publié par Guy de Laferrière le 26 juin 2023

    Le cuck de l'espace, Thomas Pesquet, annonce qu'il n'aura pas d'enfant faute d'avoir assez de temps pour aider son épouse à changer les couches : « Si j'avais des enfants, je partirais quand même dans l'espace. Ça veut dire que ce serait à elle de tout gérer toute seule. Ça aurait été très égoïste de ma part. »
    Rien d'étonnant de la part de ce gauchiste pro-migrants, climato-catastrophiste, qui coche toutes les cases du conformisme ambiant débilitant.
     
    Thomas Joly Président du Parti de la France
     
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  • "Non, Louis XIV n’est pas un “étranger qui a fait l’histoire de France”...

    Publié par Guy de Laferrière le 23 juin 2023

    Louis XIV, icône du pouvoir, entre au MBAM | Le Devoir

    Non, Louis XIV n’est pas un “étranger qui a fait l’histoire de France”...

    "TRIBUNE - Une affiche du nouveau Musée de l’histoire de l’immigration présente Louis XIV comme «un de ces étrangers qui ont fait l’histoire de France». Pour l’historien et essayiste Vincent Haegele, directeur de la bibliothèque de Versailles, cette contre-vérité historique témoigne d’une volonté de persuader les Français qu’ils n’appartiennent à aucune nation.

    Vincent Haegele a notamment codirigé, avec Franck Favier, l’ouvrage collectif «Traîtres. Nouvelle histoire de l’infamie» (Éditions Passés composés, 20203).
    À chaque fois, c’est le même dilemme: faut-il relever une énième provocation, quand bien même celle-ci s’affiche en toutes lettres dans l’espace public? La récente campagne de promotion du Musée de l’immigration aurait pu rester d’une banalité affligeante: elle est l’illustration de l’éternelle tentation de draguer le public à grand renfort de pauvres effets de manches. Elle rappelle les aboyeurs des temps jadis qui promettaient un spectacle hors du commun pour les boîtes de Pigalle. Flatter les bas instincts, espérer un soupçon de polémique et voilà, la machine est en route.

    Donc, oui, nous aurions pu ignorer cela. Oublier ce «Louis XIV, mère espagnole, grand-mère autrichienne» et donc «étranger». Mais voilà, au-delà du procédé lamentable, il y a eu nécessairement des réunions, des avis donnés et, on l’imagine, l’accord d’un comité scientifique…"

    "persuader les Français qu’ils n’appartiennent à aucune nation."

    C'est exactement cela, le programme révolutionnaire de 89/93, sur lequel s'appuie notre Constitution d'aujourd'hui, qui l'affirme dans son néfaste "Préambule" : détruire la France traditionnelle, lentement surgie des Âges, et la remplacer par une abstraction (la soi-disante "République", alors que nous ne sommes ni en République ni en Démocratie, ce qu'on nous présente comme telles n'étant rien d'autre qu'un Totalitarisme idéologique et une nouvelle religion).

    Et cette abstraction-là, toute personne sur terre peut la faire sienne, et, donc, devenir "française" puisqu'être français n'est plus naître de parents français mais aligner des mots creux et vides de sens, et qui plus est totalement démentis et contredits par la réalité...

    Il faut donc remonter à la source, à la cause du Mal : la Révolution, sur laquelle se fonde notre Système, et, tout simplement, changer ce Régime qui nous dilue, nous dissout, nous détruit, pour renouer avec "les intuitions de nos origines" :

    • notre Royauté traditionnelle, qui, rappelons-le une fois de plus aux idéologues, a fait la France;

    • et redire sans cesse que la France est une Patrie charnelle, non un enfilage sans fin de niaiseries et billevesées purement abstraites et idéologiques...

     

    Source : lafautearousseau.