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  • Titre de séjour : une Algérienne fait plier la préfecture d’Amiens grâce aux accords franco-algériens de 1968

    Publié par Guy de Laferrière le 06 septembre 2024


    Sur la base du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et des accords franco-algériens de 1968 sur l’immigration, de nombreux ressortissants algériens ouvrent droit à une régularisation de leurs situations en France.

    Mais les préfectures, par négligence ou par volonté de réduire l’immigration, rejettent parfois leurs demandes. Il leur faudra donc passer par les tribunaux administratifs pour faire valoir leurs droits à un titre de séjour.

    C’est le cas d’une ressortissante algérienne, entrée sur le territoire français en 2016 avec un visa de court séjour, dont le cas a été rapporté, ce mercredi 4 septembre, par un avocat spécialisé.

    En 2021, elle a demandé au préfet de l’Aisne la délivrance d’un titre de séjour sur le fondement « de sa vie privée et familiale », précise Me Fayçal Megherbi. Mais par un arrêté du 22 avril 2022, « le préfet de l’Aisne a refusé de lui délivrer un titre de séjour ».

    Le préfet de l’Aisne n’a, en effet, pas pris en compte l’article 6 de l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968. L’article stipule que le certificat de résidence d’un an portant la mention « vie privée et familiale » est délivré de plein droit à plusieurs catégories d’Algériens. (…)

    Dans son jugement, rendu en date du 6 août 2024, le tribunal administratif d’Amiens a ordonné au préfet d’annuler sa décision et de délivrer à la ressortissante algérienne un titre de séjour portant la mention vie privée et familiale.

    TSA via fdesouche

  • Souhaitons de tout cœur la chute rapide de ce régime à bout de souffle

    Publié par Guy de Laferrière le 05 septembre 2024

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    Après des consultations qui ne paraissaient plus avoir d'issue, Emmanuel Macron a enfin procédé à la nomination d'un nouveau Premier Ministre en la personne de cette vieille ganache de Michel Barnier.
    Ce technocrate européiste est un véritable alimentaire de la politique, n'ayant jamais travaillé de sa vie en dehors de ses mandats et de ses postes ministériels.
    Archétype de la fausse droite qui a tout trahi et tout renié, ce fade septuagénaire est parfaitement compatible avec le macronisme.
    Reste à savoir combien de temps son gouvernement va durer avant de se faire censurer par les parlementaires.
    L'objectif que lui a assigné le Président de la République est sûrement l'immobilisme le plus total. Toutefois, à ne vouloir fâcher personne, on finit souvent par fâcher tout le monde.
    Souhaitons de tout cœur la chute rapide de ce régime à bout de souffle, incapable de répondre aux préoccupations des Français.
    Thomas Joly - Président du Parti de la France

     

  • Pour éviter les naufrages de migrants, il en faut seulement la volonté politique

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2024

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    Pour éviter les naufrages de migrants, il en faut seulement la volonté politique :
    - Traiter ces clandestins comme les hors-la-loi qu'ils sont en les incarcérant tous sans exception dans des camps de rétention ;
    - Les expulser tous sans exception et sans aucun recours judiciaire possible ;
    - Supprimer toutes les aides à l'immigration clandestine (AME, etc.) ;
    - Condamner à de lourdes peines les passeurs et les associations immigrationnistes ;
    - Rétablir des frontières.
    L'application de ces principes de bon sens sauverait toutes ces vies que les cosmopolites font mine de pleurer devant les caméras de télévision.
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • On la sifflera quand, la fin de "la récré" ?

    Publié par Guy de Laferrière le 03 septembre 2024

    lafautearousseau

    On la sifflera quand, la fin de "la récré" ? Depuis l'incendie de Notre-Dame (toujours pas élucidé" !) c'est quasiment tous les jours qu'une église brûle ou est vandalisée. Aujourd'hui, un drapeau palestinien a flotté sur Notre-Dame... :

    (extrait vidéo 0'28)

    https://x.com/SaintMontjoie/status/1829909758998167955

     

    ... et, dernière en date mais sûrement pas "dernière tout court", dans le Pas-de-Calais, l'église de l'Immaculée Conception (à Saint-Omer) vient d'être détruite par un incendie. La toiture et le clocher se sont effondrés :

    (extrait vidéo 0'22)

    https://x.com/jon_delorraine/status/1830498672997499368

    Image

    La vérité est que la destruction méthodique de la France traditionnelle, un peu chaque jour, est en marche, en vue de son remplacement par "une autre"... Question à un centime d'euro : à votre avis, laquelle ?

     

  • 2 septembre : Bienheureux Martyrs de Septembre, victimes de la Révolution française 

    Publié par Guy de Laferrière le 02 septembre 2024

    2 septembre : Bienheureux Martyrs de Septembre, victimes de la Révolution française 

    Après la chute de la Monarchie le 10 août 1792, la fièvre monte à Paris. De nombreux suspects sont arrêtés : laïcs, prêtres séculiers, religieux, souvent réputés réfractaires, même si ce n’est pas le cas de tous. Environ 350 ecclésiastiques sont ainsi incarcérés, dont plus de la moitié sont étrangers à la capitale. Entre le 2 et le 5 septembre, des bandes armées d’hommes et de femmes envahissent les prisons parisiennes pour se livrer à l’exécution collective des détenus au couvent des Carmes, à l’abbaye de Saint-Germain, au séminaire Saint-Firmin, aux prisons de la Force, rue Saint-Antoine.

    Le couvent des Carmes, avec son très vaste enclos, est le premier et le plus symbolique théâtre des tueries. Au témoignage de l’abbé Saurin, jésuite rescapé, le contraste est saisissant entre la sérénité qui règne au-dedans, parmi les ecclésiastiques prisonniers, groupés autour de trois évêques, et, au dehors, le hurlement de la foule, les canonnades, les roulements de tambour, et finalement, le 2, vers quatre heures du soir, le tocsin de Saint-Sulpice qui donne le signal aux émeutiers. La tuerie qui a commencé dans le jardin s’achève, après un simulacre de jugement, au pied du petit escalier faisant communiquer la chapelle, où les prisonniers ont d’abord reflué et se sont mutuellement donné l’absolution. « Je n’ai entendu se plaindre aucun de ceux que j’ai vu massacrés » écrira l’abbé de la Pannonie, blessé et rescapé de la tragédie des Carmes.

    Parmi les trois mille victimes de septembre 1792, cent quatre-vingt-onze personnes mortes pour leur foi ont été béatifiées par Pie XI le 17 octobre 1926. Quatre-vingt-six prêtres étaient membres du clergé parisien. Les quatre laïcs et de nombreux religieux béatifiés appartenaient aussi à l’Église de Paris.

    On peut vénérer ces béatifiés dans la crypte ossuaire érigée au XIXème siècle sous la chapelle de l’Église Saint-Joseph-des-Carmes (74, rue de Vaugirard, 6ème arr.).

    « L’escalier du martyre » marqué d’une plaque Hic ceciderunt (« Ici ils tombèrent ») est aujourd’hui inclus dans le jardin du séminaire universitaire de l’Institut catholique.

    1532 personnes sont massacrées à Paris dans le but de terroriser la population et de réduire les indécis ou les modérés au silence. C’est le début de la Terreur. Pendant quatre jours, des Parisiens, encouragés par quelques personnalités politiques (Danton, Marat, Fréron) massacrent sans pitié.

    « Sans cette journée, la révolution ne se serait jamais accomplie […] il n’y aurait pas de Convention nationale. » (François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l’intelligence et de mœurs)

    Comme le vote qui suit peut-il être encore considéré comme valide ? 90% des inscrits ne vont pas voter. Parmi les victimes sont assassinée des personnes qui auraient pu être gênantes lors du procès du Roi auquel les révolutionnaires pensent déjà.

    Et le décret de béatification des Martyrs de septembre affirme :

    « On ne pourra jamais assez déplorer ce noir et misérable fléau qui, à la fin du XVIII siècle, caché sous le nom mensonger de philosophie, avait perverti les esprits et corrompus les mœurs et rempli avant tout la France de meurtres et de ruines. L’âme est émue d’horreur au souvenir des inexprimables spectacles de cruauté et de barbarie qu’exhibèrent pendant la révolution française, des hommes impies et scélérats, à peine dignes de ce nom d’hommes : les temples sacrés dépeuplés, les signes sacrés de la religion catholique violés, des évêques, des prêtres, de pieux laïques immolés arbitrairement, pour avoir refusé de prononcer une formule de serment décrétée par la puissance laïque et ouvertement opposée aux droits de l’Eglise, à la liberté de conscience, ou pour s’être montrés moins bienveillants envers ces nouvelles institutions politiques.

     

    Source : lesalonbeige