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Le Parti de la France - Page 1067

  • La Russie met en garde contre une adhésion à l’OTAN de la Suède et de la Finlande

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

     

    En cas d’adhésion, « les frontières de l’Alliance avec la Russie feraient plus que doubler. Et ces frontières, il faudra les défendre », a relevé l’actuel numéro deux du Conseil de sécurité de Russie dans un message sur Telegram. « Dans ce cas, il ne pourra être question d’une Baltique non nucléaire », a-t-il ajouté, évoquant aussi des déploiements d’infanterie et de systèmes anti-aériens dans le nord-ouest de la Russie et des forces navales dans le golfe de Finlande.

    Évoquant les populations finlandaises et suédoises, il a estimé que « personne de sain d’esprit (…) ne peut souhaiter une hausse des tensions à sa frontière et avoir à côté de sa maison des (missiles) Iskander, (des missiles) hypersoniques et des navires avec des armes nucléaires ».

    La Finlande, qui a une longue frontière et une histoire compliquée avec la Russie, et la Suède réfléchissent à une adhésion à l’OTAN du fait de l’offensive russe contre l’Ukraine.

    Source : rtbf.be

  • Un générateur de prénoms français … en fonction des époques

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Un générateur de Lorem Ipsum sert à générer du faux texte en latin pour remplir des maquettes.
    Un générateur de Lorraine Hipseaume sert à générer de faux prénoms et noms français pour remplir des maquettes.
    Nous tirons au sort 100 prénoms et 100 noms sur l’intégralité des prénoms et noms de personnes nées en France depuis 1891 environ, puis nous les concaténons.
    (…)
    Les données de prénoms et noms proviennent de l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE), et ont été retravaillées afin de satisfaire aux besoins de ce site.

    Entre 2011 et 2020.

    Entre 1951 et 1960.

    Entre 1901 et 1910.

    LORRAINE HIPSEAU.ME via fdesouche

  • Un médecin de l’armée américaine révèle que les médecins ont reçu l’ordre de ne pas signaler les effets indésirables liés aux « vaccins » anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Un lieutenant-colonel et médecin militaire de l’armée américaine a décrit comment on a dit à des médecins de l’armée de ne pas enregistrer de dossiers sur les effets indésirables du vaccin contre le COVID dans les bases de données officielles.

    « Soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça. Cela n’existe pas », a déclaré le Dr Peter Chambers, lieutenant-colonel de l’armée américaine, béret vert des forces spéciales et médecin militaire.

    Chambers a fait ces commentaires dans le cadre de la neuvième conférence en ligne de la Truth For Health Foundation, qui traitait le sujet des effets secondaires des injection de « vaccin » anti-COVID.

    Alors qu’il débattait de la vaccination au sein des forces armées avec le Dr Elizabeth Lee Vliet, présidente et chef de la direction de la Fondation, le Dr Chambers a fait la lumière sur sa récente expérience en tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, une mission de sécurité frontalière de l’armée à la frontière avec le Mexique.

    Le Dr Chambers, un vétéran de 39 ans et récipiendaire de la Purple Heart, a reçu l’injection de Moderna en janvier 2021, ignorant les effets secondaires potentiels. Il se considère désormais comme un défenseur des « blessés du vaccin » en raison des effets indésirables qu’il a subis par la suite.

    Il a rapidement développé un « brouillard cérébral » d’un genre qu’il n’avait jamais connu.

    À la suite d’une éventuelle IRM, après des épisodes de vertiges, d’étourdissements et de nausées qui l’ont amené à faire un accident avec un camion en revenant d’une patrouille de nuit, le Dr Chambers a reçu un diagnostic de démyélinisation, une maladie qui affecte le tissu nerveux.

    Il a raconté comment il avait vu « plusieurs soldats » souffrir également des effets secondaires similaires des injections, ainsi que « six soldats qui ont été aux soins intensifs », et un soldat qui a été forcé de prendre une deuxième injection alors qu’il avait déjà souffert de micro-coagulation après sa première injection.

    Le Dr Chambers a noté les détails de ses constats et les a enregistrés dans le système de notification des effets indésirables liés aux vaccins (VAERS) du CDC. Cependant, il a révélé au Dr Vliet que les chirurgiens des hôpitaux militaires ne signalaient aucun des effets indésirables qu’ils constataient. « On leur avait dit de ne pas entrer de cas dans le VAERS ».

    « Les médecins m’ont dit personnellement dans le service actif qui fonctionnait à Fort Sam Houston, qu’ils ne devaient pas entrer les cas d’effets secondaires dans le système VAERS », a-t-il ajouté.

    « Ainsi, lorsque vous essayez de parler à d’autres collègues, soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça ».

    En tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, le Dr Chambers a dû remplir des formulaires de consentement éclairé, conformément aux règlements de l’armée, pour les soldats prenant les vaccins anti-COVID.

    Le Dr Chambers a ensuite témoigné lors d’une audience devant un tribunal fédéral le 10 mars à Tampa dans l’affaire Navy SEAL 1 c. Austin . Le Dr Chambers a déclaré qu’il avait subi des pressions pour faire vacciner les soldats et a présenté comme pièce à conviction une instruction sur les exemptions religieuses qui disait : « Les soldats vont essayer. Les soldats échoueront. »

     

    Source : medias-presse.info

  • “Partout, en France, des gens font des arrêts cardiaques dans les couloirs”

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    “Partout, en France, des gens font des arrêts cardiaques dans les couloirs”

    Lu dans un journal complotiste nommé La Croix, du 14 avril :

    Partout en France, des services d’urgences hospitaliers sont contraints de réduire leur activité en raison du manque de soignants. De nombreux plans blancs ont été relancés, sans pourtant devoir faire face à la nouvelle vague de Covid, dont les hospitalisations restent limitées. Au centre hospitalier régional d’Orléans notamment, “sur les 120 paramédicaux que compte le service, 96% sont en arrêt maladie”, s’inquiète Grégory Quinet, secrétaire départemental du syndicat Sud santé-sociaux. Les médecins, eux, s’apprêtent à entamer leur deuxième semaine de grève. À Strasbourg également, la situation est critique depuis le décès, le 17 mars, d’un jeune homme, après son admission aux urgences pour une hémorragie digestive. “Hélas, ce n’est pas une exception. Partout, en France, il y a des gens qui font des arrêts cardiaques dans les couloirs”, affirme Sébastien Harscoat, médecin aux urgences. À Laval (Mayenne), Draguignan (Var) ou Bayeux (Calvados), les urgences n’accueillent plus de patients la nuit. En Seine-Maritime, aux urgences de Rouen, du Havre et de Dieppe, le délai d’attente peut dépasser huit heures. Dans la presse régionale, les urgences de La Rochelle se disent dans “un état d’urgence absolue”, celles de Grenoble “au bord de l’explosion”, liste La Croix. “Combien de tribunes, de mobilisations, de grèves, d’appels au secours faudra-t-il pour que nos responsables politiques prennent la mesure de la situation et agissent enfin ?”, s’alarme le collectif inter-hôpitaux.

    Mais d’où vient cette explosion d’arrêts cardiaques ?

    Dans un autre journal complotiste, Le Midi Libre du 13 avril, on lit que

    L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a établi un rapport en mars 2022 indiquant que le rôle du vaccin n’était pas à exclure dans l’apparition du syndrome de Parsonage-Turner chez certaines personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer.

    Paralysie, décharges électriques… des symptômes peu agréables voire handicapants recensés chez certains patients ayant reçu le vaccin Pfizer, autrement appelé “Comirnaty”. Les experts de l’ANSM ont en effet effectué une nouvelle analyse en mars 2022 des cas déclarés depuis le début de la vaccination suite à l’évaluation réalisée dans le rapport publié le 24 septembre 2021. Au total, 43 cas de syndrome de Parsonage-Turner ont été déclarés, dont 27 sur la périodeEn septembre 2021, l’ANSM évoquait six cas.

    Une malade témoigne :

    “Depuis le mois de septembre dernier, je souffre de douleurs atroces dans l’épaule droite. Dans un premier temps, je n’ai pas fait le lien et j’ai pensé que j’avais fait un faux mouvement. Mon rhumatologue m’a ensuite indiqué que je souffrais sans doute du syndrome de Parsonage-Turner et m’a recommandé de porter une attelle. Depuis, je me couche sur un seul côté et j’ai du mal à m’habiller. Je ne sais plus quoi faire”.

    Laurine a reçu sa seconde dose de Pfizer en mai 2021. Elle explique ressentir des “douleurs lancinantes la nuit” et déplore que ses séances de kinésithérapie ne soient pas efficaces.

    “Je n’ai jamais été opposée au vaccin. Pourtant là, il y a de quoi se poser des questions…”

    Nathalie, Montpelliéraine de 45 ans, a reçu ses trois doses de vaccin. En très bonne santé et sportive, elle s’étonne d’être “très faible” depuis. L’inflammation à son épaule lui “bousille la vie” depuis bientôt un an. Pour elle comme pour d’autres, “la coïncidence est grosse“. Elle ne peut croire que le vaccin n’a pas joué un rôle dans sa mésaventure.

    En attendant les 4e et 5e doses…

     

    Source : lesalonbeige