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Le député britannique Imran Khan a annoncé jeudi 14 avril sa démission après avoir été déclaré coupable par la justice lundi d’agression sexuelle sur un adolescent de 15 ans.
(…) Après le verdict, un porte-parole du parti conservateur, la formation politique du premier ministre Boris Johnson, avait annoncé l’exclusion «avec effet immédiat» d’Imran Khan. Lors d’une fête en janvier 2008, Imran Khan, un député appartenant au même parti que le Premier ministre Boris Johnson, avait fait boire du gin à un adolescent. Il l’avait ensuite selon l’accusation entraîné à l’étage, poussé sur un lit et lui avait demandé de regarder de la pornographie avant de l’agresser.
Les faits se sont déroulés le vendredi 8 avril. L’homme a été jugé lundi 11 avril au Havre pour agression sexuelle sur une mineure.
Placé en détention provisoire durant le week-end, le prévenu a été présenté lundi 11 avril en comparution immédiate au tribunal correctionnel du Havre. Il lui est reproché une agression sexuelle sur une mineure de 14 ans.
Concrètement, le vendredi 8 avril au Havre, il lui aurait touché les seins alors qu’elle sortait de l’école, en l’enlaçant par surprise et par derrière. L’homme explique qu’il voulait juste lui faire un câlin, pour rigoler… et ajoute que ce n’est pas la première fois qu’il se promène à proximité d’établissements scolaires.
Actuellement en situation irrégulière sur le territoire français, le prévenu de 28 ans est épaulé par une avocate et une interprète. Il explique être en France pour soigner un souci de santé. L’avocate de la jeune fille insistera sur le traumatisme de sa cliente : “Je l’ai vue ce lundi midi, elle était comme prostrée ! C’était mieux pour elle de ne pas assister à cette audience.” L’homme est condamné à un de prison ferme. Il reste en détention et a a interdiction de contact avec les mineurs pour une durée de dix ans.
Le parquet général de la cour d’appel de Lyon a annoncé mardi à l’AFP avoir fait appel de l’acquittement de Mamadou Diallo, le 4 avril, pour le meurtre d’une postière en 2008 dans l’Ain. “Le parquet général a interjeté appel de la décision d’acquittement” de M. Diallo, a-t-il été indiqué à l’AFP.
(…) Le corps de Catherine Burgod, 41 ans, a été découvert le 19 décembre 2008 à 09h05 dans l’arrière-boutique de la petite poste de Montréal-la-Cluse, baignant dans une mare de sang. Vingt-huit coups de couteau ont été relevés sur le corps de cette mère de deux enfants, enceinte de 5 mois. La piste crapuleuse a rapidement été suivie par les enquêteurs, une somme évaluée à 2490 euros ayant été dérobée. Mais l’arme du crime est restée introuvable et aucun témoignage probant n’avait permis de faire avancer l’enquête.
Mamadou Diallo, 32 ans, a été acquitté “au bénéfice du doute”, selon la présidente, pour le meurtre de Catherine Burgod, le 19 décembre 2008, dans l’agence postale de Montréal-la-Cluse.
Il a été condamné pour vol simple à deux ans de prison.
“50 nuances de mensonges”: une peine de 30 ans de réclusion a été requise lundi devant la cour d’assises de l’Ain à l’encontre de Mamadou Diallo, accusé du meurtre sanglant d’une postière en 2008, crime dont il se dit innocent.
“Je ne crois pas à la thèse du spectateur profiteur (…) et si on n’est pas spectateur, c’est qu’on est acteur de la scène”, a déclaré l’avocat général Eric Mazaud, relevant la “constante adaptation dans le mensonge” de l’accusé.
“Il ment jusqu’à l’absurde, sur son heure d’arrivée, sur sa présence sur les lieux, sur le motif de sa présence, sur la présence de sang sur lui”, énumère le magistrat.
Confondu par son ADN dans le bureau de poste près de dix ans après le meurtre, Mamadou Diallo assure s’être rendu sur les lieux mais avoir pris la fuite en s’emparant d’une liasse de billets après avoir découvert le cadavre de la victime.
“Depuis le début, je déclare que je suis innocent, je n’ai rien à voir avec la mort de cette pauvre femme”, a assuré à plusieurs reprises devant la cour d’assises l’accusé de 32 ans.
Le corps de Catherine Burgod, 41 ans, avait été découvert le 19 décembre 2008 à 09H05 dans l’arrière-boutique de la petite poste de Montréal-la-Cluse, baignant dans une mare de sang. 28 coups de couteau étaient relevés sur le corps de cette mère de deux enfants, enceinte de 5 mois.
Le procès du meurtrier présumé de Catherine Burgod, retrouvée morte en décembre 2008 au bureau de poste de Montréal-la-Cluse, dans le haut-Bugey, se poursuit.
« Cette autopsie m’a marqué considérablement. À cause de la rudesse toute particulière de la fin de cette femme qui a vu venir la mort, en cédant sous l’assaut des coups », a expliqué le Pr Daniel Malicier, ancien directeur de l’Institut médico-légal de Lyon.
Le légiste a recensé 28 plaies sur le corps de Catherine Burgod. Douze plaies sont dites “de défense” et se trouvaient sur l’avant-bras gauche et la main gauche, la victime ayant cherché à se protéger de l’avalanche de coups de couteau qui la visait.
Deux plaies superficielles ont été constatées au visage, neuf plaies au sein gauche et cinq plaies dans la région cervicale. Six plaies sont considérées comme “vitales”, ayant entraîné la mort, deux au cou et quatre dans le sein.
L’accusé avait avancé plusieurs versions au gré des éléments que lui soumettaient les gendarmes. Il avait d’abord expliqué avoir paniqué en découvrant le corps avant de partir dans l’entreprise qui l’accueillait en stage. Avant d’expliquer qu’il était repassé chez lui en voiture. Il ne se souvenait pas d’avoir touché quoi que ce soit dans l’agence et la salle de repos, ni d’avoir rien volé. Ni d’avoir touché la victime. Puis il avait expliqué qu’il avait emmené un gilet posé sur une chaise pour essuyer du sang sur son pantalon, qu’il aurait pu tacher en se baissant. Il ajoutait qu’il avait aperçu une liasse de vingt billets de vingt euros dans un placard et s’en était emparé en quittant l’agence.
Un jeune de 17 ans a été interpellé ce jeudi vers 20h quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère (Drôme) pour des rodéos moto. Des violences urbaines s’en sont suivies, des heures durant.
Vers 20h ce jeudi, la Police Municipale de Romans interpelle un jeune homme de 17 ans en train de faire des rodéos moto dans le quartier de la Monnaie. Il est placé en garde-en-vue. Les forces de l’ordre essuient tout de suite quelques jets de projectiles, mais parviennent à disperser le groupe.
Mais plus tard dans la soirée, vers 23h, le quartier s’embrase. Une cinquantaine d’individus cagoulés ou masqués s’en prennent au bâtiment d’Indexia (ex-SFAM). Ils brisent des vitres à coup de jets de pierres et vole un véhicule de la société. Ils brûlent deux voitures et une dizaine de poubelles aussi dans le quartier.
Les policiers sont la cibles de jets de projectiles et d’une trentaine de tirs de mortiers. Aucun n’est blessé. Les forces de l’ordre font usage de lacrymogènes et parviennent à rétablir le calme vers 2 heures du matin.
L'Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars par mois de financement immédiat pour couvrir les paiements sociaux et les salaires, a dit le président Volodymyr Zelensky à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, lors de sa visite à Kiev la semaine dernière, selon des source proches du dossier, écrit Bloomberg.
Zelensky a également parlé des défis auxquels l'Ukraine est confrontée dans ses exportations de céréales, et von der Leyen a répondu que l'UE l'aiderait à accélérer les procédures de passage des frontières, écrit le portail.
Par ailleurs, la Banque mondiale prévoit qu'avec la fermeture des ports ukrainiens sur la mer Noire et les graves dommages causés à l'industrie de l'Ukraine orientale, le PIB de l'Ukraine pourrait chuter de 45 % en 2022.
Les prévisions de la Banque mondiale du 10 avril notaient que la récession économique de l'Ukraine dépendrait de la durée de la guerre. Selon la Banque mondiale, la moitié des entreprises ukrainiennes ont fermé, et le volume d'affaires des entreprises restées ouvertes est très inférieur à la normale. La fermeture de la route de la mer Noire a fait tomber de 90 % les exportations de céréales et 50 % des exportations totales du pays, a écrit Vg.hu.