En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Une église de Bethléem a créé une crèche représentant la situation dans la bande de Gaza déchirée par la guerre à l’approche de Noël, en réaction à l’attaque brutale d’Israël contre l’enclave palestinienne.
La crèche de l’église évangélique luthérienne de Noël présente un bébé jouet enveloppé dans le keffieh palestinien traditionnel et placé au milieu de débris et de décombres.
Le keffieh symbolise l’identité, l’histoire et la lutte des Palestiniens, tandis que les débris représentent la destruction de Gaza, où plus de 16 000 personnes ont perdu la vie lors de la guerre menée par Israël, la plupart étant des enfants et des femmes.
Le petit bébé, qui est censé représenter Jésus, symbolise également les milliers d’enfants ensevelis sous les décombres à Gaza.
Le révérend docteur Munther Isaac, pasteur de l’église, a partagé son idée avec la congrégation et ensemble, ils ont construit la crèche la semaine dernière.
« Ce fut une expérience émouvante pour nos familles, certaines personnes étaient en larmes », a déclaré le pasteur Isaac au New Arab.
Bethléem est reconnue comme le lieu de naissance de Jésus. Chaque année, des milliers de personnes affluent dans cette ville de Cisjordanie pour célébrer sa naissance.
Depuis le mercredi 6 décembre et jusqu'au vendredi 15 décembre se déroule, à Marseille, le procès de deux agents de la préfecture. Ils sont jugés devant le tribunal correctionnel pour corruption et aide au séjour irrégulier.
Abdalla Ibrahim, l’un des prévenus, un Franco-Syrien âgé de 55 ans, avait été embauché au Guichet unique de l’asile (GUDA) situé 66A, rue Saint-Sébastien, dans le VIe arrondissement de Marseille, en septembre 2019. Lors de son audience, il a reconnu avoir aidé des personnes issues de la communauté turque dans le cadre de leurs demandes d’asile : « On sait que je suis arrangeant et que je peux intervenir. » Le fonctionnaire a également affirmé : « J’ai touché 9.000 euros, soit en faisant quelque chose, soit en faisant croire que je faisais quelque chose. »
Abdalla Ibrahim, un agent arrangeant...
Il aurait arrangé plusieurs dossiers de manière à ce que leurs dépositaires puissent échapper à la procédure Dublin et faire leur demande en France. Le siteservice-public.fr détaille : « La demande d'asile que vous souhaitez déposer en France peut relever d'un autre État européen, en application du règlement dit Dublin III. Selon ce texte, la demande d'asile est examinée par un seul pays européen. Pour savoir quel pays est concerné, plusieurs critères sont appliqués. Si la France n'est pas responsable de votre demande, vous serez obligé de vous rendre dans le pays concerné. » Allez savoir pourquoi, les demandeurs d’asile préfèrent faire leurs démarches en France !
Pour permettre l’obtention de documents à des demandeurs d’asile, le fonctionnaire modifiait leur situation administrative. Il n'enregistrait pas leurs empreintes digitales sur Eurodac, la base de données biométriques européenne, ou faisait disparaître des informations de Visabio, le système national de visa dans lequel sont enregistrées les données biométriques des candidats (photographies, empreintes…).
Onze dossiers frauduleux auraient été découverts à ce jour, mais cela pourrait être bien plus. Le juge d’instruction a tenu à préciser : « Il s’agit d’une estimation basse, l’enquête administrative réalisée ayant révélé qu’au moins 10 % des dossiers traités par Abdalla Ibrahim présentaient une anomalie. » Certains posent particulièrement problème, comme celui d’un ami d’enfance du principal suspect, un Turc signalé par les autorités allemandes pour des activités liées au terrorisme.
...qui vous veut du bien
Le ver est plus que jamais dans le fruit. L’administration française emploie en son sein des agents qui courent à sa perte et à la perte de la France. Comment imaginer que des demandes de régularisation puissent être traitées par des personnes ayant des accointances avec des terroristes ? Bien évidemment, le prévenu n’a aucun remords. Il laisse même entendre que la France devrait le remercier : « Je parle quatre langues et la préfecture a gagné beaucoup d’argent en économisant sur le marché de l’interprétariat. »
Dans cette affaire, l’enquête menée par les policiers de la direction inte-régionale de la police judiciaire (DIPJ) de Marseille et de la police des frontières, suite à l’envoi d’une lettre de dénonciation le 2 juillet dernier, a permis la mise en examen de neuf personnes. Quatre d’entre elles, dont Abdalla Ibrahim, ont été écrouées.
Pas un média du système n’en a parlé aujourd’hui. Par contre, sur les réseaux sociaux, les comptes de rabbins et de personnalités juives n’ont pas été avares en images de la cérémonie du jour à l’Elysée. De quoi parle-t-on ?
Figurez-vous que ce jeudi 07 décembre, en présence de nombreuses personnalités juives, le grand rabbin de France est venu célébrer la cérémonie religieuse juive de Hanouca dans une salle de l’Elysée, avec la participation du président de la république Emmanuel Macron.
Sur les réseaux sociaux, certains n’ont pas manqué de souligner que cela colle peu avec le discours habituel sur la laïcité. Et qu’au même moment, la république interdit des crèches de Noël dans l’espace public et dans des institutions, sans parler des statues religieuses catholiques déboulonnées.
Comme l’ont fait remarquer quelques rabbins, les services de l’Elysée avaient même pensé aux beignets d’Hanouca pour la réception qui a suivi la cérémonie religieuse juive de Hanouca.
Le grand rabbin de France a saisi l’occasion pour demander à Emmanuel Macron de faire de la lutte contre l’antisémitisme la “grande cause nationale de l’année 2024”. Avec une marche toutes les semaines ?
Signalons encore que la conférence des rabbins d’Europe est venue remettre son prix annuel à Emmanuel Macron en présence de membres du gouvernement.
Gérald Darmanin veut renforcer le pouvoir des maires et des préfets de demander un internement en hôpital psychiatrique.
Le mode opératoire serait le suivant : on interpelle l’individu, on le présente à un psychiatre, puis on l’enferme.
Cette proposition du ministre de l’Intérieur trouve son prétexte dans l’attaque au couteau perpétrée sur notre sol au nom d’Allah la semaine dernière.
Cependant, quand on connaît les obsessions politiques antinationales des ministres d’Emmanuel Macron et de ses préfets, on ne peut qu’être suspicieux quant au public qui sera, à terme, ciblé par les maires et les préfets aux pouvoirs ainsi étendus.
En effet, de la gestion des Gilets jaunes aux hommages à Thomas en passant par la crise Covid et la finale de la Champions League 2022, la stigmatisation et la répression contre les Blancs et les patriotes, additionnées au laxisme dont profitent les racailles et les fauteurs de troubles, tout cela peut laisser penser qu’un autre public que les « islamistes fous » soit visé au final.
Surtout que le motif évoqué par le ministre est ahurissant : « sur 100 terroristes islamistes potentiels, 25 à 40 d’entre eux ont des problèmes psychiatriques. » La belle affaire ! Que peut faire que 60 à 75 terroristes sur 100 soient considérés par l’Etat comme sains d’esprit ?! Sur 100 terroristes islamistes, il faut expulser tous les étrangers, déchoir de la nationalité française tous les binationaux et les expulser, puis enfermer les quelques traîtres qui se seraient compromis dans le terrorisme islamiste.
Nul besoin d’augmenter les pouvoirs de nuisance des maires et des préfets, ceux-ci étant d’ailleurs occupés à interdire les rassemblements patriotes et à pousuivre leurs organisateurs…