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Le Parti de la France - Page 169

  • Italie : Meloni toujours plus européiste, Salvini seul contre l’Europe

    Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2023

    Matteo Salvini contre l'Europe des technocrates
    Matteo Salvini contre l’Europe des technocrates

    Les élections européennes de 2024 rabattent les cartes : après le virage pro-européen de Giorgia Meloni, Salvini est resté seul parmi les dirigeants politiques italiens à soutenir la bataille contre l’Europe des technocrates et des bien-pensants.

    Bien qu’appartenant à la même coalition de gouvernement, Meloni et Salvini sont opposés sur l’Europe

    Les élections européennes de juin 2024 constitueront une étape décisive non seulement pour la gouvernance de l’Europe mais aussi pour les exécutifs nationaux, dont celui italien. En effet, lorsqu’ils parlent de l’Europe, Matteo Salvini et Giorgia Meloni se situent dans des camps opposés et semblent appartenir à des coalitions différentes.

    La différence entre les deux est désormais considérable car le premier continue de dire les mêmes choses qu’il dit depuis des années et qu’il a également dites pendant la campagne électorale, tandis que la seconde a assoupli ses positions anti-européennes et va désormais de pair avec ceux qui gouvernent à Bruxelles, au point de mériter la primauté parmi les « caméléons » de l’Europe, titre que lui attribue le journal Politico.eu, « parce qu’elle a changé la position italienne envers la Russie, en soutenant l’Ukraine ».

    En réalité, le Premier ministre italien a un peu changé ses positions en matière de politique étrangère sur tout, au point qu’il est devenu le partisan le plus convaincu de l’alliance entre les États-Unis et l’Europe. Il est dommage que l’Europe actuelle que soutient Giorgia Meloni soit la même que toujours, avec des bureaucrates qui imposent, font et défont aux dépens des peuples européens, contraints de subir leurs diktats sur tout.

    Meloni a renié bien de ses engagements en devant atlantiste

    Avant d’entrer au gouvernement, Meloni aurait préféré l’option souverainiste, mais maintenant elle s’est repositionnée et, si nécessaire, elle préférerait confirmer les structures actuelles, avec la pleine implication de la gauche. Et Salvini n’est visiblement pas intéressé.

    « En Europe, il est possible d’avoir une alternative à la gauche », a déclaré le vice-président du Conseil et leader de la Ligue, en clôturant ce week-end Free Europe, la conférence qu’il a organisée à Florence pour réunir les dirigeants des partis européens de droite. « Aujourd’hui, nous présentons aux Italiens et à tous les Européens une idée différente de l’Europe : l’Europe des droits, au lieu de l’Europe des coupes », a déclaré Salvini, qui a ajouté :

    « Aujourd’hui, ici à Florence, se sont rassemblés des femmes et des hommes qui, armés de forces communes, de sens, de courage et de foi, vaincront un géant qui est le premier ennemi de l’Europe, les technocrates franc-maçons qui veulent détruire l’identité de notre continent. Du Goliath Soros, nous n’avons pas peur, nous n’avons pas peur de ceux qui financent la destruction de notre civilisation. »

    La convention florentine a été ouverte par un message vidéo de Marine Le Pen, députée française et leader du Rassemblement national. « Aujourd’hui, l’Europe avilit son histoire, la Commission européenne agit contre nos peuples, considère les hommes comme des biens sans racines et sans frontières », a déclaré Le Pen, parlant d’un « modèle d’anéantissement des peuples ». En conséquence, les partis dits d’extrême droite sont « des mouvements de résistance démocratique et patriotique face à une structure bureaucratique dominante, face à l’arbitraire du pouvoir », a-t-elle conclu.

    A la Convention Free Europe de Florence, Salvini vent debout cotre Soros et les technocrates franc-maçons

    Outre l’Italie et la France, des représentants de la Bulgarie, de la Pologne, de la Roumanie, du Danemark, de l’Estonie, de la République tchèque, de la Flandre (Belgique), de l’Autriche, des Pays-Bas et de l’Allemagne étaient présents. Le nouveau venu Geert Wilders, qui vient de remporter les élections législatives néerlandaises avec son Parti de la Liberté et qui a déclaré dans un message vidéo :

    « Nous devons garantir que les décisions qui affectent nos nations soient prises par les gens qui les connaissent et les aiment davantage ».

    Après le virage pro-européen de Meloni, Matteo Salvini est resté seul parmi les dirigeants politiques italiens importants à soutenir cette bataille contre l’Europe des technocrates et des bien-pensants. Sur le plan électoral, l’objectif du leader de la Ligue est d’obtenir un consensus en vue des élections européennes en catalysant ce vote eurosceptique qui semble croître en Italie et qui a désormais du mal à s’identifier aux positions de Giorgia Meloni.

    Pour l’instant, les sondages semblent plutôt du côté des Frères d’Italie de cette dernière. Cependant, si la tendance devait s’inverser, c’est-à-dire si Salvini regagnait du terrain, au lendemain du vote européen, il pourrait également y avoir des chocs au sein du gouvernement Meloni, peut-être avec un remaniement ou une remise en question de la ligne de politique étrangère de l’exécutif italien, qui est de plus en plus aplatie sur les décisions des chancelleries européennes ainsi que sur celles des Etats-Unis.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • C’était un 8 décembre… Apparition de la Sainte Vierge à Lourdes, où elle évoque son Immaculée Conception à une jeune fille pauvre et illettrée, qui ne comprend pas.

    Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2023

    Apparition de la Sainte Vierge à Lourdes, où elle évoque son Immaculée Conception à une jeune fille pauvre et illettrée, qui ne comprend pas.
  • Gabriel Attal et la suppression des classes préparatoires aux grandes écoles

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2023

    Gabriel Attal et la suppression des classes préparatoires aux grandes écoles

    La suppression progressive des classes prépa à Paris n’est pas une surprise pour qui connait les tenants et aboutissants de la question scolaire : elle était en germe depuis plusieurs années.

    En effet, il faut rappeler qu’une Ecole d’excellence au bénéfice exclusif des élèves issus de l’immigration a pris son essor depuis une quinzaine d’années avec les « équipes de réussite éducative » bénéficiant à 100 000 jeunes chaque année, les « internats d’excellence » (collèges et lycées – 20 000 places en 2008, 33000 aujourd’hui), les 200 « cités de haute qualité éducative » créées par Blanquer et scolarisant un million d’élèves (environ 2/3 en école primaire, 1/3 en collège), les structures préparatoires à l’enseignement supérieur de prestige avec les « cordées de la réussite » (200 000 élèves) les « classes préparatoires à l’enseignement supérieur – CPES» (33 formations de 25 élèves par classe) les classes préparatoires intégrées – CPE » (au sein de toutes les grandes structures publiques ou privées) affichant des taux de réussite dépassant de loin les moyennes nationales et ce, dans le but de permettre aux immigrés d’être l’élite de la nation et que nos enfants, croupissant dans les tripots de la république, en soient les larbins afin de répondre aux exigences du « grand remplacement ».
    Gabriel Attal n’invente rien, il est dans la ligne de ses prédécesseurs : foin de l’excellence du français de souche, il faut des immigrés aux postes de commande !

    C’est ainsi que Brighelli, faux opposant au système mais vrai imposteur, a été l’inspirateur de la création de ces structures d’excellence au point que c’est précisément à Marseille qu’ont été faites les premières expériences d’internats éducatifs en 1997, qu’il a été également l’inspirateur des procédures scandaleuses de « parcoursup » et « d’affelnet » pour bloquer l’accès de nos brillants enfants mais français de souche aux structures d’excellence et tout particulièrement aux grands lycées parisiens – Henri IV, Louis le Grand…) avouant avec son cynisme habituel, avoir fait partie des jurys pour l’accès aux classes préparatoires aux grandes écoles – CPGE – pendant des années, confessant que le livret scolaire était vu de très loin mais que ce qui comptait, c’était l’origine géographique et sociale du jeune, concluant  ainsi : nous (notez le « nous ») n’avons pas l’intention de changer, c’est la meilleure décision du ministre Blanquer !!!

    Aujourd’hui, la suppression progressive des classes préparatoires aux grandes écoles s’inscrit dans la continuité de ce système qui va permettre de fermer définitivement la porte aux voies d’excellence de nos jeunes au profit de ceux issus de l’immigration pour qui l’accès à l’enseignement supérieur de prestige va leur être entièrement réservé.

    Nous avons affaire à des traitres et Gabriel Attal n’est que le rejeton d’une maffia qui veut notre peau. Il ne tient qu’à nous de créer des structures parallèles pour sauver nos enfants et la France française, car il n’y a rien à attendre de bon pour nos enfants, quel que soit le ministre en place  dans ce système totalement dévoyé qui n’a d’autre objectif que de nous détruire.

     

    Source : medias-presse.info

  • Renvoyer des djihadistes chez eux.

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2023

    Chaque fois qu'un ministre ou qu'un responsable politique prétend qu'on ne peut pas tout faire, y compris renvoyer des djihadistes chez eux, parce que la loi en l'état ne le permet pas, souvenez-vous qu'il n'y a pas si longtemps la loi ne permettait pas non plus d'assigner à résidence la totalité d'une population (confinement), ne permettait pas le couvre-feu arbitraire ni l'instauration d'un passe visant à créer deux catégories de citoyens à l'intérieur même de la nation.
    Mais qu'en quelques semaines, le pouvoir a franchi toutes les étapes, mobilisé tous les leviers de l'appareil législatif, administratif et juridique français pour pouvoir : assigner à résidence la totalité d'une population, instaurer un couvre-feu arbitraire et un passe visant à créer deux catégories de citoyens à l'intérieur même de la nation.
    Quand ils veulent, ils peuvent et ils font.
    Si, après dix ans de terrorisme, il n'existe toujours pas d'outils juridiques, administratifs et politiques pour virer les barbus, ce n'est pas parce que la République ne le peut pas : c'est parce qu'elle ne le veut pas.
    Et il faudra bien un jour poser cette question : pourquoi ne le veut-elle pas ?
     
    Jonathan Sturel
     
     
    Peut être une image de 1 personne, barbe et texte
     
     
     
     
     
     
     
  • La dernière idée de l’idéologie woke : éliminer l’accouchement

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2023

    Ectogenèse, l'utérus artificiel
    Ectogenèse, l’utérus artificiel

    Libérons les femmes de la grossesse. La GPA, l’utérus loué, ne suffit plus : c’est mieux d’avoir des enfants fabriqués grâce à l’ectogenèse, l’utérus artificiel. « Une nouvelle façon de devenir parents », la nouvelle folie woke.

    Libérons les femmes de la grossesse est la dernière folie woke qui émerge. Il s’agit d’éliminer l’accouchement comme moment générateur, en le remplaçant par des procédures en éprouvette. Comme la viande synthétique, autre enjeu de l’idéologie néo-progressiste. Viande dans un tube à essai, fœtus dans un tube à essai.

    Libérons les femmes de la grossesse pour mettre fin « à la famille patriarcale »

    L’idée maîtresse est magnifiée par la quotidien progressiste italien La Stampa, avec un article très ambigu et tout à fait ignoble, attribué à une « écrivaine et chercheuse » indépendante (de quoi, de qui ?), une certaine Laura Tripaldi, 30 ans. L’intervention est ambiguë parce que sous le vernis d’une fausse approche prudentielle selon laquelle la technologie est admirable mais dangereuse, qu’il faut la surveiller, elle mène à un « ce qui peut être fait, alors que cela soit fait ».

    On évoque la dystopie, mais elle est facilement surmontée, Folamour est cité comme chef du projet « ectogenèse », qui est une formule énigmatique, une de celles utilisées dans les journaux progressistes, pour ne pas appeler le projet par un nom que tout le monde comprend « accoucher sans accoucher » ce qui fait ressortir toute son horreur ; et Folamour prévient : si nous suivons cette voie, nous ouvrons la boîte de Pandore. Qui, notoirement, ne pouvait plus être refermé. Et, une fois levées les fausses précautions, le long article illisible se résout en une exaltation presque fanatique du « tout ce qui peut être fait, qu’il soit fait ».

    On y retrouve la philosophe engagée Maureen Sander-Staudt, qui enseigne : « L’ectogenèse a également le potentiel de modifier le sens culturel de la grossesse, de la naissance et de la maternité, éloignant ainsi davantage l’humanité de la nature ». Nous allons plus loin avec une autre philosophe obscure, Anna Smajdor qui « a défini le développement de l’ectogenèse totale comme un « impératif moral » » ; vient ensuite, à la rescousse du projet « ectogénèse » que l’on commence à vendre au monde avec de tels articles, Shulamith Firestone, vestale du féminisme radical disparue il y a une dizaine d’années, capable de croire que « cette transformation technologique entraînerait aussi la disparition de la famille patriarcale. Les filles nées des entrailles mécaniques de son utopie technoféministe seraient élevées par la communauté, construisant des réseaux sociaux et émotionnels libres de parenté et de liens de sang ».

    La gestation et la maternité sont pour de nombreuses femmes incompatibles avec le travail et les études dans la société capitaliste néolibérale

    Ces « utérus mécaniques » qui produisent des fœtus et donc des enfants mécaniques à naître, mais cela n’est pas précisé, visent l’éternel mythe proto-communiste de la république de Platon. L’article est plein de tirades délirantes comme celle-ci : « L’inquiétude généralisée concernant l’effondrement démographique dans l’Occident développé, soutenue par la preuve que, dans le capitalisme néolibéral, la gestation et la maternité sont pour de nombreuses femmes incompatibles avec le travail et les études. Dans le même temps, la reconnaissance croissante de nouvelles formes de famille en dehors de la famille hétérosexuelle nous pousse à imaginer de nouvelles façons – même assistées par la technologie – de devenir parents. En effet, à bien des égards, la possibilité d’une ectogenèse totale apparaît comme une opportunité sans précédent d’aplanir, une fois pour toutes, les inégalités intrinsèques au travail reproductif, en le déléguant entièrement à la technologie. »

    Il y a là tout l’attirail de la pire idéologie woke : il y a l’attaque contre la famille « traditionnelle », l’ouverture à de nouvelles dimensions parentales, la libération de la « grossesse » entravante. « Tout comme il était autrefois considéré comme absurde que les femmes votent ou montent à cheval », réitère Smajdor, « de la même manière, il pourrait nous paraître un jour absurde qu’elles soient enchaînées aux processus dégradants et dangereux de la grossesse et de l’accouchement simplement à cause de notre incapacité à imaginer une alternative ».

    C’est le rêve réactualisé des révolutionnaires de tout temps : créer un « homme nouveau »

    La chercheuse « indépendante » commente pour sa part. « Si l’origine de l’oppression féminine est véritablement biologique, l’ectogenèse transformerait la différence sexuelle en un accident génétique comme tant d’autres, rendant sa signification culturelle presque totalement insignifiante. Peut-être que l’identité de genre telle que nous la connaissons aujourd’hui disparaîtrait entièrement, et avec elle les inégalités sociales et économiques qui l’accompagnent. Et si la parentalité se détachait complètement de la biologie sexuelle, même l’idée selon laquelle il existe une « famille naturelle » plus légitime que toutes les autres pourrait un jour nous apparaître comme un simple héritage du passé. »

    Être des mères « non mécaniques » serait donc pénalisant, oppressant, alors que produire des fœtus à partir de manipulations de laboratoire, servirait à annihiler les genres, la famille, émanciper la femme, pour atteindre enfin le but de la révolution messianique génératrice d’un « homme nouveau » libéré des chaînes de la nature, la révolution woke de la naissance à la mort, qui en conclusion n’est qu’une révolution nihiliste, théorisée par les marxistes, expérimentée avec ses millions de morts par les communistes et menée à bien par le capitalisme néo-libéral d’aujourd’hui, plus rouge que brun, le nouvel esclavagiste des Temps modernes.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info