GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

censurer

  • Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou.

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2025

    490919907_1322821189001240_2487068246980319323_n.jpg

    Il y a quelque chose de pathétique, presque crépusculaire, dans la conférence de presse de ce 15 avril du Premier ministre François Bayrou. Un spectacle d'impuissance tranquille, de résignation molle, de fatalisme brumeux. Une sorte de grand-père grognon qui, face à l’incendie qui ravage la maison, se contente de marmonner qu’il fait chaud et que c’est sans doute la faute du voisin.
    La France vit une crise budgétaire majeure, une hémorragie financière, une dette abyssale qui menace jusqu’à la souveraineté nationale. Et que fait François Bayrou ? Il découvre. Il réalise, presque avec candeur, que les dépenses publiques pèsent. Il nous apprend, entre deux soupirs et trois truismes, que l’argent magique n’existe pas. On aurait dit un étudiant découvrant les bases de l’économie publique à la veille de son partiel. Ce n’est plus un Premier ministre, c’est un promeneur du dimanche perdu sur un champ de bataille.
    Il annonce 40 milliards d’économies. Très bien. Où ? Comment ? Sur quoi ? Silence. Le brouillard. Pas un chiffre. Pas une piste. Pas une stratégie. C’est de la prestidigitation comptable, un tour de passe-passe verbal, sans le moindre contenu. De l’économie incantatoire. Le mot « économies » a été prononcé, c’est tout ce qui compte. La réalité, elle, attendra. Ou l’élection suivante.
    Et comme tous les incapables, il trouve des excuses. La guerre en Ukraine. Donald Trump et ses droits de douane. La météo bientôt ? L’alignement des planètes ? Le Premier ministre de la cinquième puissance mondiale se lamente comme un élève pris en défaut. Il se cherche des boucs émissaires, externalise la responsabilité, fuit la vérité.
    Il promet des « orientations » pour le budget 2026… d’ici le 14 juillet. Autrement dit : plus tard. Demain. Après-demain. Le jour où il fera beau. C’est-à-dire jamais. Car ce gouvernement n’a ni boussole, ni énergie, ni courage. Il est paralysé par sa propre médiocrité.
    François Bayrou est dépassé. Éreinté. Usé. Trop vieux pour l’époque, trop lent pour l’urgence, trop tiède pour le défi. Ce n’est plus un chef de gouvernement, c’est un retraité de la politique à qui l’on a redonné les clés par nostalgie mal placée. Il n’a plus la flamme, plus la force, plus l’intelligence stratégique que requiert la situation dramatique du pays.
    Il faut le dire clairement : la France ne peut plus se permettre ce genre de simulacre au sommet de l’État. Ce n’est pas seulement une erreur politique, c’est une faute grave. Il en va de notre avenir, de notre indépendance, de notre survie.
    Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou. Et vite. Avant que le naufrage ne devienne irréversible. La France mérite mieux que cette procession de technocrates à bout de souffle.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2020

    Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux

    Furieux que la loi Avia ait été censurée par le Conseil constitutionnel, nos apprentis dictateurs profitent de tout évènement pour revenir avec leur projet de censure d’internet (encore un virus chinois).

    Le porte-parole du gouvernement l’annonce :

    https://twitter.com/i/status/1317775384272920576

     

    Xavier Bertrand, l’idiot utile d’Emmanuel Macron, a dénoncé à son tour le rôle des réseaux sociaux :

    “C’est sur les réseaux sociaux et chez des hébergeurs que vous pouvez avoir accès aux techniques d’endoctrinement, soit d’être mis en réseaux avec d’autres personnes”.

    “Les patrons des réseaux sociaux n’ont pas envie de mettre de véritable frein. Il faut que l’anonymat pour ceux qui font l’apologie du terrorisme sur les réseaux sociaux soit levé beaucoup plus vite”. “Vous ouvrez un compte, vous donnez votre identité juste à l’hébergeur. S’il y a des menaces et l’apologie du terrorisme, on ne va pas mettre tant de temps que ça à fermer le compte, à condamner et poursuivre. Les réseaux sociaux sont un lieu d’impunité”.

    Comme cela les islamistes auront où nous habitons…

    Alors que le débat devrait porter sur l’immigration, le regroupement familial, le droit d’asile, la convention européenne des droits de l’homme, il porte sur les réseaux sociaux. Ils prétextent l’islamisme pour museler les réseaux sociaux mais c’est nous qu’ils vont censurer. C’est leur dernière carte pour cacher le réel.

     

    Source : lesalonbeige

  • Une nouvelle loi pour censurer les propos politiquement incorrects

    Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2019

    Auteur : Michel Janva

    Une nouvelle loi pour censurer les propos politiquement incorrects

    L’examen de la proposition de loi sur la lutte « contre la haine sur internet » a débuté à l’Assemblée nationale. C’est un texte liberticide pour la liberté d’expression. Les députés ont ciblé les contenus portant «atteinte à la dignité de la personne humaine», ceux incitant «à la violence ou à la discrimination» ou encore ceux prenant pour cible la nationalité. Le champ a également été étendu à l’initiative d’élus socialistes aux incitations à la haine et aux injures proférées en raison de «l’origine». La commission a adopté un amendement incorporant la lutte contre “les contenus transphobes sur internet”.

    Cette proposition de loi vise aussi les plateformes comme Youtube et Facebook pour les obliger à censurer les contenus jugés déviants. Chez Youtube, c’est déjà une politique assumée. On se souvient de la censure de TVLibertés. On apprend ce matin que Youtube aurait fermé le compte du parti espagnol Vox sans motif explicite. Les membres du parti se sont empressés de s’exprimer sur Twitter pour dénoncer cette décision prise unilatéralement par Youtube. Cet acte de censure s’apparente selon eux à « un grave attentat à la liberté d’expression des partis politiques ».

     

    Source : lesalonbeige