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Le Parti de la France - Page 207

  • C’était un 17 septembre 1793 : la « loi des suspects »

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    Petit rappel démocratique :
    le 17 septembre 1793, à la veille d’instaurer la Grande Terreur, la Convention vote la « loi des suspects ».

    Elle permet l’arrestation de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle ».

     

     

    Tout le monde est menacé et les massacres vont prendre de l’ampleur.

    Notez que les manuels scolaires préfèrent évoquer avec effroi les « lettres de cachet » royales.

     

    Source : contre-info

  • La France expulsee d’Afrique ? Alors, l’Afrique doit quitter la France !

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

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    Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

    Depuis moins d’une paire d’années, la France encaisse, en Afrique,  des « coups de pieds au derrière » sans rien dire. Elle bat piteusement, en retraite. L’ancienne puissance coloniale de l’AOF et de l’AEF plie sous les injonctions d’une clique de colonels et de généraux de pacotille formés -  un comble ! – dans ses écoles militaires.

    Ça commence par le Mali où, en août 2018, Assimi Goïta destituait le vieux président Ibrahim Boubakar Keïta, dit « IBK ». Avec, à la clef, « prière à l’armée française de dégager  », où elle a laissé tout de même, 58 des siens pour empêcher les djihadistes de s'emparer du pays. Depuis, ces derniers gagnent du terrain et, au train où vont les choses,  conquerront à terme,  Bamako. Une capitale où François Hollande, grotesque comme d’habitude, avait déclaré que « c’était le plus beau jour de sa vie » lorsqu’il fut reçu triomphalement par une population morte de trouille, heureuse de voir nos képis et bérets débarquer chez eux. Aujourd’hui, la donne a changé. On loue la Russie et les mercenaires de Wagner, lesquels  sont dans les coulisses, se payant comme en République Centrafricaine, « sur la bête », sans que leurs efforts soient à la hauteur de ceux de nos soldats. Une constatation. Alors que nous partons tête basse de ce pays, en France, l’excitée Assa Traoré continue de narguer les autorités avec son « cirque » permanent, et sa famille de repris de justice. D’ailleurs, posons-nous une bonne question : pourquoi autant de jeunes Maliens sont  chez nous, alors que leur patrie est en danger ?

    Et de deux, et de trois…

    Le 5 septembre 2021, le lieutenant-colonel Mamadi Doumbaya renversait en Guinée, le dictateur Alpha Condé au pouvoir depuis 11 ans. Dans la plus pure tradition des « golpe », « Alcazar remplaçait tapioca » ! Depuis, pour le Guinéen de base, rien n’a changé…Le seul Guinéen de haut niveau sensé, c’est le cardinal Sarah, qui  a une juste vision de la question migratoire.

    L’année dernière, c’était au tour du Burkina-Faso, l’ancienne Haute-Volta, de passer sous le contrôle d’une junte militaire dirigée par un jeune capitaine de 34 ans, Lequel exigeait le départ des commandos de forces spéciales françaises, qui opéraient dans tout le Sahel, dans le cadre de l’opération «  Sabre ». Résultats des courses ? Les 3/4 du Burkina sont infestés de rebelles musulmans, et les pertes de l’armée comme des civils sont très lourdes. Tout comme au Niger où, là aussi, les militaires du cru qui ont embastillé leur président,  exigent le départ des 1500 soldats  de la République française  stationnés à côté de Niamey, ainsi que celui de l’ambassadeur de France. Ce dernier  en serait réduit à manger des rations de combat, dixit Emmanuel Macron. Le pauvre ! Quelle déchéance….

    La méthode gabonaise

    Il me revient en mémoire qu’en1964, au Gabon, le très francophile président Léon M’Ba était renversé par une poignée de galonnés. Moins de 48 heures plus tard, il était rétabli dans ses fonctions. Une compagnie de parachutistes « gaulois » était passée par là, à Libreville ! (CQFD)  Autres temps, autres mœurs, la « Françafrique » - France à fric ? - c’est fini . Et puisque nous sommes au Gabon, restons-y, provisoirement.

    Le mercredi 30 août dernier, là aussi, le chef de la garde présidentielle, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, pourtant lié à la famille, a  destitué le président Bongo, fils de son père Omar, une véritable dynastie qui pille peu ou prou leur pays depuis plus de 50 ans. Le patrimoine du président déchu est estimé à 150 millions d’euros. Ali faisait vivre toute une tribu de parasites. (Aurait pu faire mieux s’il n’avait pas été déposé !!) Le Gabon est un pays riche en pétrole, en minerais recherchés  et en bois précieux. Sans compter qu’une nature belle et farouche pourrait attirer des masses de curieux et déverser, ainsi, la manne d’un tourisme responsable. Une différence avec les putschs précédents, là, on n’a pas réclamé le départ de la France, et les Russes ne semblent pas être dans le coup. D’ailleurs, peut-on leur en vouloir de tailler des croupières à la France, alors que cette dernière, avec Macron à sa tête, est à la pointe du soutien à l’Ukraine, prête sans doute, à se battre jusqu’au dernier ukrainien vivant ?

    « Le camp des Saints », un roman prémonitoire

     Alors que le débarquement sauvage de milliers de clandestins sur les côtes de l’île italienne de Lampedusa, annonce la continuité d’un mouvement de populations du Sud vers le Nord, nous sommes, nous Français, progressivement chassés d’Afrique. Ce « Camps des Saints »- l’ouvrage majeur de jean Raspail, -  est appelé à se renouveler en permanence, si l’Europe ne prend aucune mesure autre que de  répartir ce « stock  humain » entre les 27, dont beaucoup d’Etats à l’Est,  et à juste raison, ne veulent pas.

    L’Afrique nous met à la porte ? Mettons les clandestins Africains dehors !

     Dans un mouvement symétrique, nous devrions, nous Français, expulser massivement tous ces Africains clandestins qui vivent pour la plupart à nos crochets – quand ils ne vendent pas, ici ou là, des Tours Eiffel ! - grâce aux dons de l’Etat et à la complicité d’un tas d’œuvres dites « charitables », qui ne sont en fait,  que les « collabos » d’une invasion migratoire. Il est temps de dire, comme les Australiens, « No way », et d’envoyer les escadres navales européennes vers les côtes libyennes et tunisiennes, pour bloquer tout départ de migrant. Faute de cette décision salutaire, l’Europe croulera sous le nombre, c’en sera fini de l’une des  plus brillantes  civilisations de la planète. Comment voulez-vous qu’un Bantou remplace un Serbe, un Danois, un Catalan ou un Breton, en moins de temps qu’il n’en faut pour qu’une génération apprenne nos mœurs, usages et coutumes, bref qu’il s’assimile ? C’est une gageure inatteignable, les dernières émeutes qui ont ébranlé la France en sont la preuve. Une seule solution : l’Afrique nous met à la porte, nous Français ?  Alors mettons l’Afrique à la porte  de chez nous ! Et que l’on ne nous raconte pas de sornettes avec le refus des Etats  concernés d’accepter leurs ressortissants , nous avons de solides moyens de rétorsion : suppression des visas,  refus généralisé de la venue des étudiants du continent noir, confiscation des biens de toutes leurs « excellences », mise sous séquestre des avoirs de ces pays dans nos banques, arrêt des transferts d’argent pour les Africains en situation régulière, fermeture des robinets des aides diverses, etc…Il sera toujours temps, plus tard, de renouer les liens d’une coopération fructueuse pour les deux parties.

  • Colmar (68) : de nombreux poissons retrouvés morts après une action des écolos-gauchistes d’Extinction Rébellion. Ils ont versé un colorant ultra-puissant dans les canaux de la ville.

    Publié par Guy de Laferrière le 18 septembre 2023

    À Colmar, des poissons retrouvés morts après une action d'Extinction Rébellion

    À Colmar, la «Petite Venise» n’a désormais plus rien à envier à la grande. Samedi, les canaux de la Lauch qui entourent le centre historique de la ville alsacienne ont brusquement viré au vert fluo – comme ce fut le cas en mai dernier pour le Grand Canal de la Cité des Doges.

    La raison de ce brusque changement de teinte est du reste la même : de la fluorescéine, un puissant colorant organique qui vire au vert au contact de l’eau, a été déversée par des militants écologistes, comme l’a indiqué le quotidien régional Dernières nouvelles d’Alsace . Si à Venise les auteurs de cette action spectaculaire n’ont pas été identifiés, en revanche ce week-end à Colmar, c’est le groupe Extinction Rébellion de Strasbourg qui a revendiqué l’initiative, en relayant de nombreuses photos des fontaines et des canaux ainsi peinturlurés.

    Sur la page Facebook d’Extinction Rébellion Strasbourg, les militants de ce «mouvement prônant la désobéissance civile» précisent avoir voulu alerter contre le projet Stocamine, qui consiste à stocker des déchets toxiques (comportant de l’amiante ou du mercure par exemple) en les enfouissant dans un ancien site minier à Wittelsheim (Haut-Rhin). Les déchets enfouis dans les galeries doivent être entourés d’une chape de béton pour éviter la contamination de la nappe phréatique.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Tunisie : avec des blindés, les forces de sécurité évacuent 500 migrants subsahariens de Sfax, une ville accusée d’être le point de départ d’une vague de migration clandestine vers l’Italie

    Publié par Guy de Laferrière le 18 septembre 2023

    Avec des blindés, les forces de sécurité tunisiennes ont évacué dimanche matin une place sur laquelle environ 500 migrants d’Afrique subsaharienne étaient rassemblés dans le centre de Sfax.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Caen (14) : un migrant soudanais jugé pour avoir frappé et violé sa compagne, bénévole à la Croix-Rouge

    Publié par Guy de Laferrière le 18 septembre 2023

    Jugé pour avoir frappé et violé sa compagne

    Retour à la cour d’appel, vendredi 22 septembre, où se tiendra un procès pour viol et violences aggravées. L’homme de 32 ans, qui se présentera dans le box des accusés, est un Soudanais, incarcéré depuis bientôt deux ans. En 2020, il rencontre à Caen une femme, aujourd’hui âgée de 37 ans, bénévole à la Croix-Rouge. Tous les deux se mettent en couple. Un enfant naît de leur union. Mais, le 7 octobre 2021, la compagne de l’accusé, blessée au visage, se présente au commissariat de police. Elle y dénonce des violences, ainsi qu’un viol. Les faits auraient été commis par son compagnon, ivre et armé d’un couteau, la nuit précédente.

    Accusé de viol et de violences aggravées, l’accusé, qui nie toute violence, risque vingt ans de réclusion criminelle.

    Ouest-France via fdesouche