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Le Parti de la France - Page 209

  • Procès des lyncheurs de Philippe Monguillot : sans la peine de mort, les sauvages s’en sortiront forcément bien

    Publié par Guy de Laferrière le 15 septembre 2023

    Bruno Hirout

    Secrétaire général du Parti de la France // Directeur du magazine Réflexions // Co-directeur des éditions Saint Barthélemy

    « Le matin était heureux parce qu’il était encore là. On a bu le café dehors, on a préparé le repas puis il m’a dit « à ce soir mon amour ». Vers 18 heures 30, on s’envoyait des messages. Puis d’un coup, plus rien. »

    Le procès du chauffeur de bus lynché à mort le 5 juillet 2020 à Bayonne s’ouvre aujourd’hui. Sa veuve, déjà atterrée par la requalification des faits en « violences ayant entrainé la mort sans intention de la donner », explique qu’il « n’existe pas de punition à la hauteur de ce qu’ils ont fait ».

    En effet, ces gens n’encourent pas la seule peine qui garantisse à la société le zéro récidive : la peine de mort.

    Pour protéger la société et les honnêtes citoyens, et pour châtier les sauvages capables de battre un individu à mort pour un simple désaccord, le Parti de la France réclame le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus odieux.

  • Embryons pour produits pharmaceutiques avec l’accord de l’UE ?

    Publié par Guy de Laferrière le 15 septembre 2023

    Le Parlement européen s'opposera-t-il à l'utilisation d'embryons  pour les produits pharmaceutiques ?

    La Commission des Conférences épiscopales de l’Union européenne (COMECE) et le Katholisches Büro de Berlin ont publié conjointement une déclaration dans laquelle ils expriment leur profonde inquiétude quant à l’éventuelle approbation par le Parlement européen de l’utilisation d’embryons pour des produits pharmaceutiques.

    Les députés du Parlement européen sont appelés à voter sur le projet et les amendements présentés par la commission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire du Parlement européen (ENVI) relatifs au futur règlement sur les « Normes de qualité et de sécurité pour les substances d’origine humaine destinées à un usage humain », également connu sous le nom de règlement SoHO.

    Le Secrétariat de la COMECE, en collaboration avec le Katholisches Büro de Berlin, exprime sa profonde préoccupation quant aux conséquences possibles de la définition large de la « substance humaine » présentée dans le projet, qui pourrait inclure les embryons et les fœtus humains.

    “Le danger réside dans la possibilité qu’une telle définition puisse dégrader la dignité et la valeur de la vie humaine, en créant une équivalence inacceptable entre les embryons et les fœtus et les simples cellules de la peau ou le plasma sanguin”, explique le père Manuel Barrios Prieto, secrétaire général de la COMECE.

    Eugénisme ?

    En outre, la déclaration commune soulève des questions sur l’article 58 du projet. S’il est adopté, cet article autoriserait et exigerait des tests génétiques préliminaires sur les embryons et les fœtus, ouvrant potentiellement la porte à l’eugénisme.

    Enfin, le texte souligne la nécessité d’une plus grande clarté dans le projet concernant les droits des différents États membres de l’UE à réglementer ce domaine hautement éthique. La déclaration souligne qu’ “il doit rester la possibilité pour chaque État membre de refuser l’autorisation” de telles pratiques.

     

    Source : medias-presse.info

  • « Je peux protéger l’environnement jusqu’après ma mort » : ces Français qui veulent légaliser le “compostage humain” appelé “humusation”

    Publié par Guy de Laferrière le 14 septembre 2023

    En France, seules deux modes de sépultures sont autorisées: l’inhumation et la crémation. Les partisans de l’humusation, eux, militent pour la légalisation du compostage de nos défunts. «Je suis soucieuse de la protection de notre environnement. Et grâce à l’humusation, je peux l’être jusqu’après ma mort», justifie Florence Valdès, présidente de l’association Humusation France. Une vision partagée par Élodie Jacquier-Laforge. La vice-présidente de l’Assemblée nationale a même déposé, en début d’année, une proposition de loi pour légaliser cette pratique. «J’ai senti que mes collègues étaient très gênés d’aborder ce sujet», explique la députée MoDem qui porte le débat. (…)

    Partout où elle est pratiquée ou envisagée, l’humusation suscite la polémique et vient se heurter aux traditions et aux commémorations des morts. (…)

    En France, le code civil autorise uniquement l’inhumation et la crémation. Selon la loi, «les restes des personnes décédées, y compris les cendres de celles dont le corps a donné lieu à crémation, doivent être traités avec respect, dignité et décence.» (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • C’était un 13 septembre : la bataille de Marignan

    Publié par Guy de Laferrière le 13 septembre 2023

    Cet épisode d’importance s’est déroulé en effet le 13 (et le 14) septembre 1515 en Italie, dans le Milanais.

    Ce jour-là, les troupes de François Ier rencontrent les piquiers suisses (mercenaires au service du duché de Milan) dans une petite bourgade proche de la cité.
    Après un essai de négociation, les Suisses attaquent.
    Le roi, qui était à table, se lève et s’écrit : « Qui m’aime me suive ! », phrase passée à la postérité.

    Au cours de ce combat long et furieux, l’artillerie et la cavalerie françaises ont raison des Suisses réputés invincibles.

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    Le lendemain, le roi de France – couvert de gloire après la victoire – est armé chevalier par le légendaire Bayard sur le champ de bataille.
    La République n’a évidemment pas commémoré le 500e anniversaire (en 2015) de cet événement d’heureuse mémoire.

     

     

     

     

     

     

     

    Source : contre-info

  • Réponse à l’Institut Montaigne sur l’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 13 septembre 2023

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    L’Institut Montaigne est une sorte de think tank ultra libéral qui publie des notes, certes pas toutes inintéressantes, mais toutes sous focale libérale et peu ou prou droit de l’hommiste. C’est ainsi que l’Observatoire de l’immigration a tenu à répondre à l’une de ses notes concernant l’immigration. Et ce n’est pas un luxe.

    Dans cette note l’Institut Montaigne (pauvre Montaigne !) défend l’idée selon laquelle une augmentation de l’immigration serait en mesure de répondre à la perspective du déclin de la population de notre pays.  L’Observatoire de l’immigration tenait à lui répondre.

    L'Institut Montaigne fait tout d'abord un constat globalement correct de la situation démographique de la France, mais euphémise les changements démographiques résultant des flux migratoires records reçus ces dernières années, ainsi que des naissances qui en sont issues. Nous apportons des données statistiques complémentaires pour mieux appréhender la réalité derrière les chiffres - par exemple : 4 millions de personnes ont acquis la nationalité française depuis 1982, dont 2 millions depuis 2005 – ce qui fait « fondre » mécaniquement le nombre et la part des étrangers recensés par la statistique publique.

    Concernant le bilan économique de l'immigration, la nouvelle majeure de cette note est la suivante : même un laboratoire d’idées tel que l'Institut Montaigne, historiquement favorable à l’ouverture migratoire et culturelle, initiateur de la Charte de la Diversité à destination des entreprises et importateur majeur du concept de discrimination positive dans notre pays, n’est plus en mesure de soutenir l’idée selon laquelle l’immigration bénéficie à l’économie française. Là aussi nous apportons des données objectivables additionnelles, telles que : la moitié (49%) des ménages d’origine algérienne vivait en HLM en 2018, soit presque quatre fois plus que les ménages non-immigrés (13%) ; ou encore 41,6% des Algériens de plus de 15 ans vivant en France étaient chômeurs ou inactifs (ni en emploi, ni en études, ni en retraite) en 2017, selon les données INSEE consolidées par le ministère de l’Intérieur.

    Enfin, face au fatalisme migratoire de l'Institut Montaigne, nous abordons l'alternative d'une politique familiale ambitieuse pour faire remonter le taux de fécondité en France au-delà du seuil de renouvellement des générations (2,05 enfants par femme) contre 1,8 actuellement. Pour rappel, selon les différentes enquêtes menées à ce sujet (par LES Eurobaromètres et le Réseau national des Observatoires des familles), le nombre idéal d’enfants souhaités par nos compatriotes se situe entre 2,3 et 2,7.

    Source : voir Observatoire de l’immigration