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Le Parti de la France - Page 213

  • Le Peuple des Poissons Rouges : Selon un sondage, les Français accepteront les masques, confinements…

    Publié par Guy de Laferrière le 08 septembre 2023

    C’est la plus psycho-rigide de la Macronie, on lui doit la crise des gilets jaunes, les 80km/h, la destruction de la politique industrielle, le décret Rivotril pour les vieux dans les Ehpads, il est le président idéalisé par ce que les journalistes nomment « la droite et le centre »…

    Aujourd’hui, avec le recul, il est manifeste que des interrogations subsistent quant à l’efficacité des mesures telles que les masques et les confinements, mises en place en 2020. Alors que des doutes étaient permis en 2020, l’année 2023 ne laisse plus place à l’incertitude. Pourtant, Patrice Gibertie ne se trompe pas en symbolisant les Français comme étant « le peuple des poissons rouges », car ce dernier semble disposé à recommencer selon un sondage.

    Le pouvoir considérable des médias dans la formation de l’opinion publique. suggère que les Français sont devenus, selon Patrice Gibertie, « lobotomisés », au point que l’on peut faire appelle à cette citation de la bible :

    Le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier.

  • Voiture électrique

    Publié par Guy de Laferrière le 07 septembre 2023

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    Jean-Luc Porquet écrit dans le « Canard Enchaîné » un article au vitriol sur la direction que la France a prise en ce qui concerne la voiture électrique.

    On ne cesse de nous seriner que la voiture électrique est la solution d’avenir pour sauver la planète. La France s’est en effet engouffrée tête baissée dans le « tout-électrique », sans tenir aucun compte des très nombreux inconvénients :

    – L’autonomie des batteries actuelles : 500 km maximum, à condition de ne pas faire un trop gros usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces, du dégivrage ou de la climatisation.

    – Attardons-nous un peu sur les batteries. Elles sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares. Par exemple, dans celle de la Tesla modèle S, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel, de 15 kg de lithium et de 10 kg de cobalt. Le minerai du nickel, qui vient de Goro, en Nouvelle Calédonie, doit être broyé et criblé, ce qui entraîne de colossales montagnes de résidus que l’on déverse, la plupart du temps, dans la mer. Pour extraire le lithium, en Bolivie, il faut « pomper » sous les salars (lacs salés asséchés), ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs. C’est une véritable catastrophe écologique pour les autochtones qui souffrent déjà du manque d’eau. Quant au cobalt, ce sont des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales, au Congo, pour seulement 2 euros par jour.

    – Pour compenser le poids du véhicule, on allège sa carrosserie que l’on construit en aluminium, dont l’extraction génère ces terribles « boues rouges » issues du traitement de l’alumine avec de la soude et qui contiennent plusieurs métaux lourds tels que l’arsenic, le fer, le mercure et le titane que l’on déverse aussi dans la mer, comme à Gardanne (Bouches du Rhône), au mépris de l’environnement.

    Voilà ce qu’est le développement durable selon nos écologistes.

    Auteur

    Source : les4verites

  • « conférence sociale »

    Publié par Guy de Laferrière le 07 septembre 2023

    Voilà qui va rassurer et passionner les Français : Emmanuel Macron annonce la tenue d'une « conférence sociale » au mois d'octobre, sous l'égide de la chaleureuse Elisabeth Borne.
    Sûrement sera-t-il expliqué aux Français, lors de cet énième raout démago-républicain, que tout ne va pas si mal et qu'ils devraient se plaindre un peu moins fort de l'explosion des prix du carburant, des denrées alimentaires, de l’énergie, des impôts locaux, etc.
    L'« action » du gouvernement y sera célébrée et les « partenaires sociaux » (comprendre la lie syndicale socialo-communiste) prendront leurs postures habituelles de pseudo-défenseurs des travailleurs.
    Qui peut encore accorder le moindre crédit à ces comités Théodule qui n'aboutissent absolument jamais à quelque chose de concret ?
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de 3 personnes
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Ukraine : même les médias mainstream commencent à douter de sa victoire et à parler d’une fin de partie

    Publié par Guy de Laferrière le 07 septembre 2023

    l'offensive ukrainienne a échoué

    Frank Ledwidge, un officier britannique qui a servi dans les Balkans, en Irak et en Afghanistan, a donné son point de vue sur la guerre en Ukraine au journal britannique progressiste The Guardian. Une douche froide qui vient refroidir les illusions optimistes du camp otanien sur l’offensive ukrainienne.

    « Aujourd’hui plus que jamais, l’Occident doit converger vers un plan à long terme réalisable et acceptable et un statut final concret. Et cela ne doit pas être la même chose que ce que souhaite l’Ukraine. Il semble que ce processus ait commencé. »

    Ainsi dans le Guardian Frank Ledwidge, un officier britannique qui a servi dans les Balkans, en Irak et en Afghanistan.

    Différents entre les États-Unis et l’Ukraine

    Selon Ledwidge, « il est clair désormais que la contre-offensive ukrainienne ne rapportera aucun gain considérable. (…) Les responsables occidentaux déclarent désormais sans ambages qu’il n’y aura pas de percée des lignes russes bien retranchées dans un avenir proche. »

    L’offensive a bel et bien échoué et les Ukrainiens et les Occidentaux se disputent désormais pour savoir lesquels des dirigeants ukrainiens ou de l’OTAN sont responsables de la débâcle. « Le temps commence à manquer », constate cependant le journaliste. « La promesse répétée du président Biden de soutenir l’Ukraine « aussi longtemps qu’il le faudra » ne donne « aucune idée claire de ce que cela signifie réellement ».

    « On peut pardonner aux Ukrainiens, continue Ledwidge, de croire que « cela » signifie « jusqu’à ce que nous ayons atteint nos objectifs de guerre », qui sont très clairement énoncés dans le plan de paix en 10 points de Volodymyr Zelenskiy. Cet objectif, entre autres objectifs, repose sur la récupération de l’ensemble du territoire légal de l’Ukraine, y compris la Crimée, désignée par le commandant militaire ukrainien comme son « centre de gravité » et son objectif principal. Cependant « en raison du risque d’une escalade nucléaire de la part des Russes, les hautes sphères du gouvernement américain ne sont que très peu ou pas du tout enclines à aider l’Ukraine à reprendre la Crimée ».

    L’offensive ukrainienne a échoué

    Ledwidge évoque ainsi le fait que les élections présidentielles pourraient contraindre Biden à éviter de nouvelles escalades par crainte d’être rejeté par une partie de l’électorat et la possibilité qu’un futur président, autre que l’actuel, puisse changer la ligne politique américaine. Il y a aussi la confrontation avec la Chine, qui nécessiterait un engagement plus important que celui actuel, ce que la crise ukrainienne ne permet pas.

    Bref, selon Ledwidge, s’il est fort probable que la guerre puisse se prolonger courant 2024, les États-Unis et l’Otan s’interrogent sur une fin de partie et des formules en ce sens commencent à prendre forme.

    Telle est la conclusion de Ledwidge :

    « Récemment, Stian Jenssen, directeur du cabinet du secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a suggéré que les diplomates occidentaux commençaient à envisager la possibilité d’offrir des territoires ukrainiens [à la Russie] en échange de l’adhésion de Kiev à l’OTAN. Le fait de l’avoir dit publiquement pourrait signifier que nous sommes enclins à accepter la possibilité d’un accord sur la Crimée et le Donbass ».

    A l’OTAN on commence à parler d’une fin de partie

    « La proposition a été suivie d’excuses [de Jenssen], même si l’idée n’a pas du tout été écartée. L’Ukraine était visiblement furieuse, mais on pourrait affirmer que c’est précisément ce que proposent actuellement les États-Unis, même si cela a été exprimé plus clairement [qu’il n’aurait dû l’être]. Il est intéressant de noter que la Russie s’est moquée de cette idée : maintenir l’OTAN à l’écart de l’Ukraine est l’un des objectifs centraux de la guerre russe. »

    « Mais sur le dernier point, précise l’officier britannique, le compromis est aux portes, il suffit d’offrir à l’Ukraine des garanties sur le modèle israélien, ce qui évite le risque de recourir à l’article 5 de l’OTAN (c’est-à-dire l’obligation de défense mutuelle), chose qui est effectivement en train d’arriver. »

    L’analyse va à contre-courant et est intéressante, notamment car parler de paix en Ukraine est devenu un tabou, les représailles ukrainiennes subies par Stian Jenssen pour avoir osé dire qu’il fallait trouver un moyen de mettre fin à la guerre en Ukraine en étant la dernière preuve. Nonobstant, l’idée d’une fin de partie, alors que la percée ukrainienne est inexistante, perce même dans les médias mainstream.

    Il va sans dire que ce processus prend du temps, ce qui offre une marge de manœuvre aux bâtisseurs de guerre et laisse la porte ouverte à des événements inattendus.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • C'est ça la France.

    Publié par Guy de Laferrière le 06 septembre 2023

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