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Gérald Darmanin veut renforcer le pouvoir des maires et des préfets de demander un internement en hôpital psychiatrique.
Le mode opératoire serait le suivant : on interpelle l’individu, on le présente à un psychiatre, puis on l’enferme.
Cette proposition du ministre de l’Intérieur trouve son prétexte dans l’attaque au couteau perpétrée sur notre sol au nom d’Allah la semaine dernière.
Cependant, quand on connaît les obsessions politiques antinationales des ministres d’Emmanuel Macron et de ses préfets, on ne peut qu’être suspicieux quant au public qui sera, à terme, ciblé par les maires et les préfets aux pouvoirs ainsi étendus.
En effet, de la gestion des Gilets jaunes aux hommages à Thomas en passant par la crise Covid et la finale de la Champions League 2022, la stigmatisation et la répression contre les Blancs et les patriotes, additionnées au laxisme dont profitent les racailles et les fauteurs de troubles, tout cela peut laisser penser qu’un autre public que les « islamistes fous » soit visé au final.
Surtout que le motif évoqué par le ministre est ahurissant : « sur 100 terroristes islamistes potentiels, 25 à 40 d’entre eux ont des problèmes psychiatriques. » La belle affaire ! Que peut faire que 60 à 75 terroristes sur 100 soient considérés par l’Etat comme sains d’esprit ?! Sur 100 terroristes islamistes, il faut expulser tous les étrangers, déchoir de la nationalité française tous les binationaux et les expulser, puis enfermer les quelques traîtres qui se seraient compromis dans le terrorisme islamiste.
Nul besoin d’augmenter les pouvoirs de nuisance des maires et des préfets, ceux-ci étant d’ailleurs occupés à interdire les rassemblements patriotes et à pousuivre leurs organisateurs…
Les élections européennes de 2024 rabattent les cartes : après le virage pro-européen de Giorgia Meloni, Salvini est resté seul parmi les dirigeants politiques italiens à soutenir la bataille contre l’Europe des technocrates et des bien-pensants.
Bien qu’appartenant à la même coalition de gouvernement, Meloni et Salvini sont opposés sur l’Europe
Les élections européennes de juin 2024 constitueront une étape décisive non seulement pour la gouvernance de l’Europe mais aussi pour les exécutifs nationaux, dont celui italien. En effet, lorsqu’ils parlent de l’Europe, Matteo Salvini et Giorgia Meloni se situent dans des camps opposés et semblent appartenir à des coalitions différentes.
La différence entre les deux est désormais considérable car le premier continue de dire les mêmes choses qu’il dit depuis des années et qu’il a également dites pendant la campagne électorale, tandis que la seconde a assoupli ses positions anti-européennes et va désormais de pair avec ceux qui gouvernent à Bruxelles, au point de mériter la primauté parmi les « caméléons » de l’Europe, titre que lui attribue le journal Politico.eu, « parce qu’elle a changé la position italienne envers la Russie, en soutenant l’Ukraine ».
En réalité, le Premier ministre italien a un peu changé ses positions en matière de politique étrangère sur tout, au point qu’il est devenu le partisan le plus convaincu de l’alliance entre les États-Unis et l’Europe. Il est dommage que l’Europe actuelle que soutient Giorgia Meloni soit la même que toujours, avec des bureaucrates qui imposent, font et défont aux dépens des peuples européens, contraints de subir leurs diktats sur tout.
Meloni a renié bien de ses engagements en devant atlantiste
Avant d’entrer au gouvernement, Meloni aurait préféré l’option souverainiste, mais maintenant elle s’est repositionnée et, si nécessaire, elle préférerait confirmer les structures actuelles, avec la pleine implication de la gauche. Et Salvini n’est visiblement pas intéressé.
« En Europe, il est possible d’avoir une alternative à la gauche », a déclaré le vice-président du Conseil et leader de la Ligue, en clôturant ce week-end Free Europe, la conférence qu’il a organisée à Florence pour réunir les dirigeants des partis européens de droite. « Aujourd’hui, nous présentons aux Italiens et à tous les Européens une idée différente de l’Europe : l’Europe des droits, au lieu de l’Europe des coupes », a déclaré Salvini, qui a ajouté :
« Aujourd’hui, ici à Florence, se sont rassemblés des femmes et des hommes qui, armés de forces communes, de sens, de courage et de foi, vaincront un géant qui est le premier ennemi de l’Europe, les technocrates franc-maçons qui veulent détruire l’identité de notre continent. Du Goliath Soros, nous n’avons pas peur, nous n’avons pas peur de ceux qui financent la destruction de notre civilisation. »
La convention florentine a été ouverte par un message vidéo de Marine Le Pen, députée française et leader du Rassemblement national. « Aujourd’hui, l’Europe avilit son histoire, la Commission européenne agit contre nos peuples, considère les hommes comme des biens sans racines et sans frontières », a déclaré Le Pen, parlant d’un « modèle d’anéantissement des peuples ». En conséquence, les partis dits d’extrême droite sont « des mouvements de résistance démocratique et patriotique face à une structure bureaucratique dominante, face à l’arbitraire du pouvoir », a-t-elle conclu.
A la Convention Free Europe de Florence, Salvini vent debout cotre Soros et les technocrates franc-maçons
Outre l’Italie et la France, des représentants de la Bulgarie, de la Pologne, de la Roumanie, du Danemark, de l’Estonie, de la République tchèque, de la Flandre (Belgique), de l’Autriche, des Pays-Bas et de l’Allemagne étaient présents. Le nouveau venu Geert Wilders, qui vient de remporter les élections législatives néerlandaises avec son Parti de la Liberté et qui a déclaré dans un message vidéo :
« Nous devons garantir que les décisions qui affectent nos nations soient prises par les gens qui les connaissent et les aiment davantage ».
Après le virage pro-européen de Meloni, Matteo Salvini est resté seul parmi les dirigeants politiques italiens importants à soutenir cette bataille contre l’Europe des technocrates et des bien-pensants. Sur le plan électoral, l’objectif du leader de la Ligue est d’obtenir un consensus en vue des élections européennes en catalysant ce vote eurosceptique qui semble croître en Italie et qui a désormais du mal à s’identifier aux positions de Giorgia Meloni.
Pour l’instant, les sondages semblent plutôt du côté des Frères d’Italie de cette dernière. Cependant, si la tendance devait s’inverser, c’est-à-dire si Salvini regagnait du terrain, au lendemain du vote européen, il pourrait également y avoir des chocs au sein du gouvernement Meloni, peut-être avec un remaniement ou une remise en question de la ligne de politique étrangère de l’exécutif italien, qui est de plus en plus aplatie sur les décisions des chancelleries européennes ainsi que sur celles des Etats-Unis.
La suppression progressive des classes prépa à Paris n’est pas une surprise pour qui connait les tenants et aboutissants de la question scolaire : elle était en germe depuis plusieurs années.
En effet, il faut rappeler qu’une Ecole d’excellence au bénéfice exclusif des élèves issus de l’immigration a pris son essor depuis une quinzaine d’années avec les « équipes de réussite éducative » bénéficiant à 100 000 jeunes chaque année, les « internats d’excellence » (collèges et lycées – 20 000 places en 2008, 33000 aujourd’hui), les 200 « cités de haute qualité éducative » créées par Blanquer et scolarisant un million d’élèves (environ 2/3 en école primaire, 1/3 en collège), les structures préparatoires à l’enseignement supérieur de prestige avec les « cordées de la réussite » (200 000 élèves) les « classes préparatoires à l’enseignement supérieur – CPES» (33 formations de 25 élèves par classe) les classes préparatoires intégrées – CPE » (au sein de toutes les grandes structures publiques ou privées) affichant des taux de réussite dépassant de loin les moyennes nationales et ce, dans le but de permettre aux immigrés d’être l’élite de la nation et que nos enfants, croupissant dans les tripots de la république, en soient les larbins afin de répondre aux exigences du « grand remplacement ». Gabriel Attal n’invente rien, il est dans la ligne de ses prédécesseurs : foin de l’excellence du français de souche, il faut des immigrés aux postes de commande !
C’est ainsi que Brighelli, faux opposant au système mais vrai imposteur, a été l’inspirateur de la création de ces structures d’excellence au point que c’est précisément à Marseille qu’ont été faites les premières expériences d’internats éducatifs en 1997, qu’il a été également l’inspirateur des procédures scandaleuses de « parcoursup » et « d’affelnet » pour bloquer l’accès de nos brillants enfants mais français de souche aux structures d’excellence et tout particulièrement aux grands lycées parisiens – Henri IV, Louis le Grand…) avouant avec son cynisme habituel, avoir fait partie des jurys pour l’accès aux classes préparatoires aux grandes écoles – CPGE – pendant des années, confessant que le livret scolaire était vu de très loin mais que ce qui comptait, c’était l’origine géographique et sociale du jeune, concluant ainsi : nous (notez le « nous ») n’avons pas l’intention de changer, c’est la meilleure décision du ministre Blanquer !!!
Aujourd’hui, la suppression progressive des classes préparatoires aux grandes écoles s’inscrit dans la continuité de ce système qui va permettre de fermer définitivement la porte aux voies d’excellence de nos jeunes au profit de ceux issus de l’immigration pour qui l’accès à l’enseignement supérieur de prestige va leur être entièrement réservé.
Nous avons affaire à des traitres et Gabriel Attal n’est que le rejeton d’une maffia qui veut notre peau. Il ne tient qu’à nous de créer des structures parallèles pour sauver nos enfants et la France française, car il n’y a rien à attendre de bon pour nos enfants, quel que soit le ministre en place dans ce système totalement dévoyé qui n’a d’autre objectif que de nous détruire.
Chaque fois qu'un ministre ou qu'un responsable politique prétend qu'on ne peut pas tout faire, y compris renvoyer des djihadistes chez eux, parce que la loi en l'état ne le permet pas, souvenez-vous qu'il n'y a pas si longtemps la loi ne permettait pas non plus d'assigner à résidence la totalité d'une population (confinement), ne permettait pas le couvre-feu arbitraire ni l'instauration d'un passe visant à créer deux catégories de citoyens à l'intérieur même de la nation.
Mais qu'en quelques semaines, le pouvoir a franchi toutes les étapes, mobilisé tous les leviers de l'appareil législatif, administratif et juridique français pour pouvoir : assigner à résidence la totalité d'une population, instaurer un couvre-feu arbitraire et un passe visant à créer deux catégories de citoyens à l'intérieur même de la nation.
Quand ils veulent, ils peuvent et ils font.
Si, après dix ans de terrorisme, il n'existe toujours pas d'outils juridiques, administratifs et politiques pour virer les barbus, ce n'est pas parce que la République ne le peut pas : c'est parce qu'elle ne le veut pas.
Et il faudra bien un jour poser cette question : pourquoi ne le veut-elle pas ?