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Le Parti de la France - Page 305

  • NON à la transformation de la chapelle Saint-Barthélemy de Laàs en cabaret          

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    NON à la transformation de la chapelle St-Barthélémy en cabaret, Pyrénées-Atlantiques
    La « principauté » de LAAS en Béarn vient d’inaugurer sa dernière excentricité : un cabaret au sein d’une chapelle du XIIème siècle. Un projet fou mené par le maire jusqu’au-boutiste, en dépit des oppositions ». (Quotidien Sud-Ouest du 17 mars 2023)

    Une chapelle “désacralisée ” a été transformée en tripot/cabaret à  Laàs, Pyrénées-Atlantiques, par la volonté et la trahison d’un roitelet  local, maire de son état,  régnant sans coup férir  depuis des années  sur 6 km² et 140 habitants grâce  à ses intrigues locales, mixant habilement  verdeur, grossièreté  langagière  et comportementale ainsi que  revendications  “régionalistes ” assez typiques de nos régions du sud de la France.

    Ce cabaret nommé  Fourmi Rouge en référence à une aide précieuse de restauration par les scouts – dont le dessein d’origine a été, à l’évidence,  trahi – affiche un spectacle de dames légèrement  vêtues  dans des chorégraphies sommaires dont les éléments  essentiels sont : voyeurisme , suggestions lubriques ,le tout pouvant être qualifié  de soft  porno digestible par tous les esprits tant soit peu égarés.

    La presse locale nous informe que le ci-devant maire Jacques Pedehontàa ne compte pas s’arrêter là : “il prévoit, dans les prochaines semaines, d’ouvrir un “escape church” dans l’église de Laàs.”

    Civitas, par l’intermédiaire de  sa section  des Pyrénées-Atlantiques et à l’initiative de son chef de section Eric TOUREH, a adressé au maire la lettre suivante – que MPI met à votre disposition – afin de faire cesser cette profanation qui ne dit pas son nom sous prétexte “artistique”.

    Lettre ouverte à Monsieur Jacques PEDEHONTAA, maire de LAAS, Place de l’Hôtel de Ville, 64390 LAAS 

    Objet : NON à la transformation de la chapelle Saint-Barthélemy de Laàs en cabaret  

     Le 24 avril 2023

    Monsieur le Maire,

    Le 11 mars 2023 a eu lieu une première représentation dans la chapelle St-Barthélemy de LAAS. S’agissait-il d’un concert de musique sacré, de pièces polyphoniques issues du riche répertoire liturgique catholique comme l’on s’y attendrait dans un tel lieu ? pas du tout, ce soir-là, la troupe de « La fourmi rouge » livrait au public et à un parterre de personnalités officielles locales sa revue « Gabrielle ».

    Car oui, contre toute raison et tout usage habituel, cet édifice est devenu un lieu de divertissement au parfum de scandale, un cabaret.

    La visite du site de la Fourmi rouge, contrairement aux affirmations de Madame Myriam DELCROIX , sa directrice artistique,  dans un récent article paru le 14 avril 2023 sur RTL, je cite : «  le ton est sexy chic, personne n’est dénudé sur scène » , ne laisse en fait aucun doute sur l’atmosphère quasi érotique de la revue-vedette du lieu « Gabrielle » : femmes très dévêtues, dans des postures lascives et provocantes sur un fond sonore assourdissant , portant corsets lacés en cuir noir et bas résilles, qui ne dépareraient pas dans des revues spécialisées. Des jeux de lumières habillent l’anatomie des danseuses dénudées.

    Comment les Légatiens (dont il est dit qu’ils sont 80% à être opposés à la reconversion de la chapelle en cabaret), les habitants du Béarn et de bien d’autres régions, croyants ou non, ne seraient-ils pas scandalisés par ce que je n’hésite pas à appeler une ignoble profanation de ce lieu chargé d’histoire tant religieuse que profane ?

    Mais, allez-vous m’opposer : « Cet édifice est désacralisé » : certes cette belle chapelle romane du XIIème siècle n’est plus dédiée au culte, mais elle n’en revêt pas moins un caractère sacré et digne, témoin de la dévotion séculaire de générations de fidèles, sur les routes de Saint-Jacques de Compostelle.

    Pourtant le déroulement de la restauration de ce petit joyau béarnais laissait entrevoir un avenir autrement plus digne : souvenez- vous, Monsieur le Maire, de votre enthousiasme à recevoir de 1997 à 2000 plus de 2 500 caravelles (Guides de France catholiques féminines) pour conduire un chantier exemplaire de rénovation du lieu « rebâtir une chapelle romane, ancienne église témoin et mémoire de l’histoire du village (…). Si Dieu le veut, nous en ferons un grand lieu culturel au service de LAAS et des Guides de France ». (Source : votre communiqué paru en 1999).

    Qui aurait pu prévoir alors que le travail inspiré de ces jeunes filles, des artisans, avec l’appui généreux des habitants, ferait l’objet en 2023 d’une telle trahison ?

    L’une d’elles, mère de famille, témoignait dans le quotidien SUD-OUEST du 8 mars 2023 et se disait choquée :« On nous aurait dit tout de suite ce qu’allait devenir la chapelle, on ne serait pas venues. Le maire avait promis dans un tract un lieu culturel. Le scoutisme porte des valeurs qui ne peuvent accepter la transformation d’une chapelle en lieu de débauche : je me suis clairement sentie trahie ». 

    De son côté, le 11 août 2022, la Gazette du patrimoine titrait : » LAAS : actes de vandalisme à l’église et au cimetière ? non, un projet municipal ! ». Les Légatiens assistaient impuissants au saccage commis lors du chantier d’aménagement dudit cabaret : mur du cimetière éventré, bris d’une croix, creusement d’une fosse, destruction du caveau du caveau de la famille du propriétaire du château, destruction d’un petit autel de marbre blanc, construction d’un édicule en parpaings adossé aux murs centenaires (où était passé l’Architecte des Bâtiments de France ?).

    La pétition lancée en septembre 2022 a recueilli plusieurs centaines de signatures et publié les commentaires outrés des protestataires béarnais, même incroyants : « Lamentable, honteux, révoltant, aucun respect : c’est abject. » ou bien : « Une église reste une église ». Une ancienne caravelle déplore « j’ai participé au chantier scout, et jamais il n’a été question de transformer la chapelle en cabaret et encore moins d’en profaner le cimetière pour installer des toilettes et une fosse septique au milieu des ossements des défunts ». De nombreux autres commentaires font tous part de leur indignation. Mais cet instrument d’une démocratie sans cesse vantée par les politiques n’a pas ébranlé votre détermination, votre obstination diraient certains, à accomplir ce forfait.

    Toujours dans le quotidien régional SUD-OUEST, très consensuel d’ordinaire, le journaliste fait d’ailleurs part de son étonnement dans un article du 17 mars 2023 en écrivant : » La « principauté » de LAAS en Béarn vient d’inaugurer sa dernière excentricité : un cabaret au sein d’une chapelle du XIIème siècle. Un projet fou mené par le maire jusqu’au-boutiste, en dépit des oppositions ».

    C’est pourquoi, en ma qualité de chef de la section départementale de CIVITAS, unique parti œuvrant à promouvoir et défendre l’identité nationale et chrétienne de la France en s’inspirant de la doctrine politique et sociale de l’Eglise, je vous prie instamment aujourd’hui de rester fidèle à vos engagements passés dans l’intérêt de vos administrés , peut-être même par prudence eu égard au caractère aventureux de cette affaire qu’il serait dommageable de voir portée devant les tribunaux , sans non plus négliger votre salut.

    En espérant que vous prendrez mieux aujourd’hui la mesure du scandale causé chez vos administrés, chez vos anciennes partenaires des Guides de France et tous les amoureux du patrimoine béarnais, veuillez agréer, monsieur le Maire, l’assurance de mes salutations distinguées mais néanmoins vigilantes.

    Civitas Pyrénées-Atlantiques

    Eric TOUREH, Chef de la section CIVITAS des Pyrénées Atlantiques

     

    Source : medias-presse.info

  • “Soyez virils”, le mouvement catholique croate en plein essor

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    "Soyez virils", mouvement catholique croate en plein essor
    “Soyez virils”, mouvement catholique croate en plein essor

    Baptisé “Soyez virils”, un  mouvement d’hommes catholiques prend de plus en plus d’importance en Croatie, où l’Eglise catholique et les valeurs traditionnelles restent bien ancrées dans la société, au grand dam des médias occidentalistes et des mouvements LGBT, féministes et pro-avortement.

    Tous les premiers samedis du mois, ils sont de plus en plus nombreux, hommes de tous âges et de toutes conditions sociales, à venir s’agenouiller pour réciter le chapelet lors de rassemblements organisés sur des places publiques de différentes villes croates, avec des bannières représentant la Vierge Marie et le Christ, ainsi que des drapeaux croates.

    "Soyez virils" rassemble les hommes pour prier le chapelet chaque premier samedi du mois
    “Soyez virils” rassemble les hommes pour prier le chapelet chaque premier samedi du mois

    Ces hommes catholiques ont compris que le salut ne vient que de Dieu. Ils dénoncent une “crise de la masculinité”, recommandent de respecter les commandements de Dieu et la doctrine catholique, notamment l’abstinence sexuelle avant le mariage et l’interdiction absolue de l’avortement.

    Le logo du portail internet du mouvement croate "Soyez virils"
    Le logo du portail internet du mouvement croate “Soyez virils”

    Le portail internet du mouvement réaffirme le concept traditionnel et le seul correct de la masculinité, qui est aujourd’hui fortement endommagé, et essaye de l’éclairer sous plusieurs aspects.

    La rubrique Foi met ainsi l’accent sur la composante spirituelle qui est à la base d’une masculinité exemplaire et qui s’inspire de nombreux modèles, puisant sa force dans la prière, la piété et les témoignages.

    La section Amour et respect traite bien sûr des relations homme-femme, où un homme aspire au respect et une femme aspire à l’amour, à la fois avant le mariage et dans le mariage. Dans la même rubrique, l’accent est mis sur la sexualité et les manières de vivre la vertu de pureté et la lutte contre la pornographie.

    La section centrale du portail est certainement Masculinité et paternité, qui aborde la crise déjà mentionnée de la masculinité, mais aussi la crise connexe de la paternité, à la fois biologique et spirituelle. La chronique elle-même tente d’offrir des outils sur la façon de vivre la vraie masculinité et la paternité.

    La rubrique Pro-vie aborde la crise actuelle de l’avortement et parle de ce qu’un individu peut faire pour vaincre cette crise. A partir de l’exemple des hommes qui ont pris des responsabilités dans leur famille, une solution au problème de l’avortement est proposée.

    "Soyez virils" rassemble des hommes catholiques qui savent la force du chapelet
    “Soyez virils” rassemble des hommes catholiques qui savent la force du chapelet

    La prise de responsabilité personnelle est également abordée dans la section Initiatives, qui comprendra sept initiatives stimulantes. Citons l’initiative Maris, aimez vos femmes ou celle du “premier mercredi du mois” qui incite tous les hommes à prier et à jeûner le premier mercredi du mois pour leurs (futures) épouses. L’initiative La Bible à travers 365 jours encourage tous les hommes à lire et à considérer la parole de Dieu chaque jour avec le slogan de St. Jérôme “Celui qui ne connaît pas les Ecritures ne connaît pas le Christ”.

    En plus de la réalité spirituelle, leur portail aborde également la réalité physique de chaque homme, selon l’adage bien connu “un esprit sain dans un corps sain” et délivre des conseils dans les domaines des sports, de la nutrition et de l’exercice.

    Tout ceci n’est bien sûr pas sans rappeler le mouvement du chapelet des hommes de plus en plus visible dans des pays d’Amérique latine ainsi que dans des pays d’Europe de l’Est.

    C’est ce développement d’une élite d’hommes foncièrement catholiques qui inquiète en ce moment les promoteurs du wokisme.

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron et la propagande LGBT à l’école

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    Emmanuel Macron fait la propagande LGBT devant des enfants
    Emmanuel Macron fait la propagande LGBT devant des enfants

    Cette séquence d’archive vient rappeler que les lectures de contes transgenres par des drag queens devant des enfants et les cours d’éducation sexuelle à l’école faisant la propagande LGBT et la promotion de la théorie du genre sont directement le reflet de la pensée du président de la république Emmanuel Macron lorsqu’il s’adresse à de jeunes enfants dégoûtés par ses propos.

     
     
  • José Antonio enterré pour la 5e fois, mais qu'importe... L'idéal phalangiste est toujours bien vivant

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

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    Juan Antonio Lopez Larrea (1)
     
    Cette semaine, en vertu de la loi sur la mémoire démocratique (20/2022), José Antonio Primo de Rivera a été exhumé de là où il reposait depuis 1959, à la basilique de la Vallée de Los Caïdos proche de Madrid.
     
    Les premières lignes de cette loi se lisent comme suit : « Depuis la fin des guerres civiles et des conflits mondiaux qui ont dévasté l'Europe au XXe siècle, et surtout depuis l'Holocauste, la promotion de politiques de mémoire démocratique est devenue un devoir moral ». En fait, il s'agit d'un complément à la misérable "loi de mémoire historique" (52/2007) du socialiste José Luis Rodríguez Zapatero. Loi que d'ailleurs que son éphémère successeur, le Premier ministre "de droite" Mariano Rajoy, avec son écrasante majorité parlementaire, pouvait, alors qu'il était aux affaires, abroger... Mais il ne l'a pas fait.
     
    Après la référence obligatoire à l'Holocauste (« surtout » dit le législateur, comme si Cracovie était une province d'Albacete), la troisième ligne parle de « devoir moral… »
     
    À propos de la morale, il est bon de rappeler les faits suivants :
     
    • Largo Caballero (1869-1946), leader de l'UGT, avait affirmé dans tous ses meetings de campagne de 1936, à la presse, et partout où un micro lui était tendu que "si la droite gagne les élections, elle devra aller à la guerre civile".
     
    • Le Front populaire (coalition regroupant la majorité des partis de gauche et dirigée par le PSOE) remporte ces élections (16/02/1936) sur fond de crimes, de mensonges et de fraudes.
     
    • Parmi ses premières mesures, les suivantes se distinguent : l'amnistie des putschistes de la Révolution des Asturies (ainsi que ceux du soulèvement de la Catalogne), et l'interdiction de la Phalange espagnol et de las JONS.
     
    • Le 14 mars 1936, José Antonio est arrêté avec tous les chefs les plus connus de la Phalange sous de fausses accusations, et leurs locaux sont fermés.
     
    • Tous les jugements de Première Instance ont été remportés par les Phalangistes devant la Cour Suprême "en considérant que les statuts fondateurs et les 27 Points de Phalange étaient légaux" (30/04/1936).
     
    • Malgré cela, José Antonio n'est pas libéré, et cette fois il est accusé par le procureur de possession illégale d'armes, et condamné à 5 mois de prison.
     
    • Le leader falangiste - avocat en exercice - indigné par tant d'arbitraire défie la Cour et secoue même quelques personnalités, une affaire qui lui coûte un nouveau procès, celui-ci pour outrage, pour lequel il est condamné en juin à 5 ans de prison et transféré à la prison d'Alicante, d'où il ne sortirait plus vivant.
     
    • Il est assassiné le 20 novembre 1936. Son corps a été jeté dans une fosse commune aux premières heures du jour.
     
    • Étant donné qu'il a été impossible d'établir un lien documenté entre José Antonio Primo de Rivera et le soulèvement militaire du 17 juillet, et encore moins d'être considéré comme un "franquiste" (puisqu'il était emprisonné depuis mars), nous nous retrouvons devant une véritable imposture historique.
     
    • Son exhumation au début de la semaine (bien qu'effectuée avec la connivence nécessaire de ses descendants) ne peut être considérée que comme un acte immoral de l'État, d'autant plus que sa dépouille se trouvait dans des dépendances de l'Église.
     
    • José Antonio Primo de Rivera avait fondé et donc enregistré à l'époque le parti FALANGE ESPAÑOLA Y DE LAS JONS en compagnie de Julio Ruíz de Alda, Onésimo Redondo et Ramiro Ledesma Ramos ; chacun d'eux assassiné entre août et novembre 1936 par les milices communistes et anarchistes.
     
    Avant d'être enterré dans la basilique de Los Caïdos, le corps de José Antonio avait déjà été déplacé à trois reprises. 86 ans après sa mort, il s'agit donc de son cinquième enterrement. Cette nouvelle manoeuvre  nous laisse un tel parfum putride de vendetta de la part des héritiers de ses exécuteurs, que, loin d'énerver les phalangistes que nous sommes, nous confirme plus encore de la justesse de notre combat.  Elle nous amène à nous poser la question : "Mais de quoi ont-ils donc si peur pour s'acharner ainsi sur les restes d'un hommes décédé il y a près d'un siècle ?"
     
    Pour nous, José Antonio vit toujours dans notre coeur et cela nous importe peu de savoir où sa dépouille repose... Ce qui compte, c'est que l'idéal phalangiste, lui, est toujours bel et bien vivant.
     
     
    (1) Notre Ami Juan Antonio Lopez Larrea est l'une des figures emblématiques du mouvement phalangiste espagnol. En 2018, il participait à nos Journées annuelles de Synthèse nationale à Rungis. 
     
  • « C’est de la dictature intellectuelle » : Patrick Sébastien dézingue Yann Barthès et « Quotidien »

    Publié par Guy de Laferrière le 26 avril 2023

     

    L’animateur n’est pas tendre avec le talk de TMC, au contraire de son «vieux pote» Cyril Hanouna qu’il encense, quelques jours avant de coanimer un prime avec lui sur C8.

    Patrick Sébastien n’a pas la langue dans sa poche. Il l’a prouvé une fois de plus dans une interview accordée à nos confrères belges de Télépro . L’animateur et humoriste en a profité pour dire tout le mal qu’il pense du PAF.
     
    Sa cible principale est «Quotidien». Celui qui regrette le manque de liberté aujourd’hui à la télévision estime que l’émission animée chaque soir par Yann Barthès est «de la dictature intellectuelle». Il ajoute : «Quand tu n’es pas d’accord avec eux, t’es un gros con». Ce n’est pas la première fois que Patrick Sébastien égratigne le talk de TMC. «Je ne suis pas Barthès. La caricature qu’ils font des gens du peuple, elle est insupportable» avait-il déclaré à Yahoo ! en juin 2020.

    (…)