Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

allemagne - Page 14

  • Allemagne : Detlef, 75 ans, lynché par un Somalien de 25 ans, qui a été jugé irresponsable (MàJ : la victime est décédée)

    Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2020

    Par  le 20/04/2020

    20/04/2020

    Il s’est battu et il a souffert pendant onze longs mois. Mais il n’y est pas arrivé ! Detlef J., le retraité de 76 ans qu’un réfugié de Somalie avait frappé jusqu’à ce qu’il tombe dans le coma, est décédé ce matin dans une clinique. […]

    Source

    hr/>

    27/11/19

    Offenbourg (Allemagne) – Le Somalien sera interné dans un hôpital psychiatrique. La durée de cette période n’est pas claire et dépend du processus de guérison. L’accusé souffrait au moment de l’agression d’une maladie mentale, comme l’un des psychiatres Stephan Bork l’avait dit au cours du procès. L’assaillant est donc déclaré irresponsable de ses actes.

    (…) Baden Online


    29/08/19

    Lorsque Ralf. J. (51 ans) pousse son père en fauteuil roulant dans le couloir de l’hôpital, il pourrait pleurer. (…) Detlef J. (75 ans), retraité, est une personne qui demande des soins constants après qu’un réfugié somalien l’ait frappé presque à mort.

    (…) Detlef, retraité d’Offenburg, rentrait chez lui lorsqu’il a rencontré Ali M. (25 ans). Le réfugié a notamment frappé Detlef à coups de pieds lorsque le retraité était allongé sans défense sur le sol. Cette agression s’est déroulée le 16 mai. Le réfugié se trouve en détention.

    Pendant ce temps, Detlef vit un enfer. Il est désormais aveugle de l’œil gauche et il a subi plusieurs opérations du visage. Son muscle de déglutition est endommagé. On vient de lui implanter un tube gastrique pour le nourrir.

    (…) Avant l’agression, Detlef J. était un retraité dynamique. Aujourd’hui, il doit être pris en charge en permanence.

    Son fils Ralf calcule : « Un établissement de soins coûte entre 4400 et 4800 euros. L’assurance verse 2005 euros. En outre, la pension de papa se monte à 1200 euros. En fin de compte, il reste 1600 euros qui ne sont pas couverts. Mon frère et moi sommes censés rassembler cet argent. Nous n’y arrivons pas. »

    Deux institutions d’Offenburg ont déjà refusé de prendre le retraité parce que le paiement n’était pas clarifié.

    (…) Bild.de / LesObservateurs.ch

  • Allemagne : le chant du muezzin résonne tous les soirs à Duisbourg et Hanovre

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2020

    Par  le 25/03/2020

    C’est une première pour la mosquée centrale de Duisbourg, fermée comme tant d’autres lieux de culte à travers l’Allemagne pour freiner la propagation du coronavirus.

    L’édifice religieux, qui dispose d’un minaret de 34 mètres de haut, a obtenu l’autorisation de faire l’appel à la prière (adhan), le premier depuis son inauguration en 2008, le temps de l’épidémie qui sévit en Allemagne et ailleurs en Europe. L’adhan, effectué par un muezzin, a ainsi pu résonner, vendredi 20 mars, dans la ville de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Ce moment a été immortalisé en vidéo par la mosquée grâce à l’aide d’un drone. […]

    L’adhan sera ainsi entendue tous les soirs à Duisbourg jusqu’à nouvel ordre. Face à la crise sanitaire liée à la propagation du Covid-19, cette initiative devrait être suivie par d’autres mosquées. Celle de Hanovre, dans la Basse-Saxe, a ainsi également obtenu l’autorisation de faire l’appel à la prière depuis le week-end du 21 mars.

    Saphirnews.com@saphirnews
     

    Face au , l'adhan des mosquées résonne avec les cloches des églises en Allemagne. A Duisbourg, l'appel à la prière a été lancé pour la 1ère fois depuis l'ouverture de la mosquée... sur proposition de l'église voisinehttp://xfru.it/LkQ4jX  via @saphirnews

    Vidéo intégrée
     
     

     

    Saphir News via fdesouche

  • De qui se moque-t-on ?

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2020

    merkel pp.jpg

    Le billet de Patrick Parment

    C’est reparti pour un tour ! Le ministre de l’Intérieur allemand affirme que la menace sécuritaire liée à l’extrême droite est « très élevée » et que cette dernière constitue « le principal danger » pour la démocratie allemande. On est à deux doigts du retour d’Adolf Hitler !

    D’abord de quoi s’agit-il ? Tout simplement d’un individu isolé qui a buté neufs personnes dans deux bars à chicha – vraisemblablement des immigrés car dans ces lieux on y fume le narguilé – à Hanau, une ville de 95 000 habitants proche de Francfort. Le tueur en question a été retrouvé mort chez lui au côté de sa mère également décédé. D’une personne à un complot d’extrême droite, le pas est franchi par les médias teutons. La mère Merkel monte au créneau à son tour alors qu’elle est la grande responsable de la violence qui sévit au sein de la société allemande avec sa politique laxiste en matière d’immigration et la venue d’un million d’immigrés sans jamais avoir consulté le peuple allemand. C’est proprement de l’assassinat économique et politique doublé d’un colonialisme légal mais inversé.

    Il ne se passe pas un seul jour en Allemagne – mais c’est aussi vrai aux quatre coins de l’Europe -,  où des immigrés, tous extra-européens, ne commettent crimes, viols, agression diverses et variées. En réponse, on constate le silence gêné de nos politiques tous morts de trouille. Ils crient au loup mais n'agissent pas !

    Donc, partout s’élève la révolte des Européens qui en ont ras-le-bol de voir leurs gouvernants baisser leur froc devant les immigrés en général et les musulmans en particulier. De ces musulmans qui privilégient le Coran  aux lois de la République. Angela Merkel est largement responsable de la montée des partis nationalistes et identitaires, notamment l’AfD. Si le nationalisme c’est la guerre, alors il n’est jamais que la conséquence logique des erreurs, du laxisme moral et des faiblesses de la République. Nos libéraux-libertaires confondent le monde tel qu’il est avec celui des bisounours dont ils rêvent.

    La réalité, c’est la guerre larvée qui mine nos banlieues autour des trafics de drogue et des prêches salafistes. C’est l’extension des zones de non droit qui échappent aux lois de la République. De la Suède à l’Espagne, de l’Europe centrale à la Grèce, c’est partout le même vent de révolte, car les mêmes causes produisent les mêmes effets.  Nous n’en sommes qu’aux prémices de changements politique radicaux. Les baltringues médiatiques qui enfilent les perlent à longueur de journée n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer, car l’heure viendra de régler la facture de leur veulerie.

     

    Source : synthesenationale

  • Allemagne, tuerie à Hanau dans deux bars fréquentés par des immigrés turc, kurdes et arabes

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2020

    Le sang a coulé dans les rues de Hanau, en Hesse, mercredi soir. Et pour une fois, les médias mainstream ne parlent pas d’un simple déséquilibré comment ils le font à chaque fois qu’un attentat terroriste est commis par un immigré musulman, mais donnent, à chaud, des précisions sur le tueur : ce serait, alors que les éléments manquent pour le dire, un néo-nazi d’extrême-droite ! 

    L’attaque a été lancée vers 22 h 00. Les coups de feu ont été tirés contre deux “bars à chicha” différents, sur la Kurt Schumacher Platz, place centrale du quartier de Kesselstadt, des endroits où l’on fume du narguilé et qui sont généralement fréquentés par de jeunes immigrants turcs et kurdesNeuf personnes ont été tuées, dont le tireur présumé retrouvé mort à son domicile. Certains blessés sont dans un état critique dans les hôpitaux de la ville de Hesse.

    Selon les premières informations du journal allemand Bild, l’homme qui a tiré dans la ville près de Francfort se nommerait Tobias R. et a laissé une lettre confessant le massacre et le motif. Dans le document obtenu par Bild, le tueur parle de « la nécessité de détruire certaines personnes dont l’expulsion d’Allemagne n’est plus possible ». La police n’a pas encore publié de déclarations officielles sur ce qui s’est passé ou sur l’identité de l’assassin. Mais la piste raciale terroriste commence à se faire jour.

    Le président Frank-Walter Steinmeier, dans un communiqué, a décrit toute sa consternation face à ce qui s’est passé dans la ville de Hesse. Le président de la République fédérale s’est dit ” horrifié ” par “l’acte terroriste”, exprimant toutes ses condoléances aux familles des victimes et sa proximité avec “toutes les personnes menacées de haine raciste”. Le chef de l’Etat a ensuite conclu le message en appelant les citoyens allemands à ne pas renoncer “à défendre la coexistence pacifique dans notre pays”.

    Pourtant cette société multi-culturelle, multi-religieuse  et l’utopique “vivre-ensemble” engendrent un conflit civilisationnel que ces politiciens bien-pensants, responsables de ces futures guerres civiles, ne veulent toujours pas voir.

  • Repentance coloniale : Au tour de l’Allemagne de s’y soumettre

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Auteur : Philippe Carhon

    Repentance coloniale : Au tour de l’Allemagne de s’y soumettre

    Très bon rappel historique de Bernard Lugan sur son blog. Extraits :

    Outre-Rhin, bien que la parenthèse coloniale n’ait duré que deux décennies, l’exigence de repentance atteint en ce moment des sommets inégalés. Même en France où, pourtant, il n’est pas possible de parler de la colonisation sans avoir préalablement revêtu le cilice de pénitence, l’exigence de soumission au dogme de la culpabilité coloniale n’a pas (encore ?) une telle ampleur.

    En Allemagne, il est aujourd’hui impossible, tant elle est longue, de dresser la liste des rues, des places, des squares, des musées, des instituts et des casernes débaptisés au seul motif qu’ils ont un rapport avec la période coloniale ou avec des personnages ayant un lien avec cette dernière. Dirigé par la gauche, le Land de Berlin a même fait de la repentance coloniale un de ses principaux axes politiques (…) Ici, il n’est pas un jour sans qu’il soit demandé aux habitants transformés en chiens de Pavlov de l’auto-flagellation, de psalmodier la liste des péchés ultramarins de leurs grands-parents et de « regarder en face les crimes coloniaux allemands ainsi que le génocide des Herero et des Nama » commis en Namibie, l’ancien Sud-Ouest africain.

    Or, dans cette affaire, l’acte d’accusation contre l’Allemagne est un montage datant de la Première guerre mondiale, quand Français et Britanniques qui avaient besoin d’arguments « moraux » pour s’emparer de ses colonies, accusèrent l’Allemagne d’avoir « failli » à son « devoir de civilisation ». Fut alors constitué le dossier à charge de la guerre des Herero réutilisé aujourd’hui par la gauche allemande.

    Ce dossier passe totalement sous silence les actes atroces commis par les Herero: familles de colons massacrées, torturées, les femmes dépecées vivantes sous les yeux de leurs enfants, les hommes émasculés puis éventrés… Quand elles tombaient entre leurs mains, et après avoir été violées, les femmes allemandes étaient suspendues par les pieds à un arbre, jambes écartées, puis éventrées et éviscérées, comme des bêtes de boucherie…Or, ce furent à ces mêmes arbres, qu’après les avoir jugés, les Allemands pendirent ceux des Herero qui s’étaient rendus coupables de ces meurtres abominables. Mais, alors que nous n’avons que des témoignages concernant les premiers crimes, les exécutions judiciaires furent quant à elles photographiées et ces clichés furent ensuite utilisés par la propagande alliée pour « démontrer » la « culpabilité coloniale allemande ». Aujourd’hui, ce sont ces mêmes photos qui alimentent la campagne de repentance nationale.

    Pour la gauche allemande et pour les Eglises qui soutiennent naturellement, et même avec gourmandise, son combat, tous ceux, civils et militaires qui participèrent, de près ou de loin, à la guerre des Herero sont donc par définition des criminels.

    En premier lieu Paul Emil von Lettow-Vorbeck (1870-1964), légendaire officier colonial qui devrait pourtant figurer au Panthéon des gloires allemandes pour sa campagne de l’est africain (1914-1918)[1]. Or, tout au contraire, bien qu’il ait été un adversaire du III° Reich, présenté aujourd’hui comme l’archétype du  « criminel colonial », il est donc devenu une des principales cibles de ce politiquement correct qui achève d’émasculer une Allemagne étouffée sous ses complexes. (…) Des ouvrages indigents et d’une rare malhonnêteté intellectuelle sont également publiés afin de salir sa mémoire (…)

     

    Source : lesalonbeige