Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

allemagne - Page 15

  • Allemagne, tuerie à Hanau dans deux bars fréquentés par des immigrés turc, kurdes et arabes

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2020

    Le sang a coulé dans les rues de Hanau, en Hesse, mercredi soir. Et pour une fois, les médias mainstream ne parlent pas d’un simple déséquilibré comment ils le font à chaque fois qu’un attentat terroriste est commis par un immigré musulman, mais donnent, à chaud, des précisions sur le tueur : ce serait, alors que les éléments manquent pour le dire, un néo-nazi d’extrême-droite ! 

    L’attaque a été lancée vers 22 h 00. Les coups de feu ont été tirés contre deux “bars à chicha” différents, sur la Kurt Schumacher Platz, place centrale du quartier de Kesselstadt, des endroits où l’on fume du narguilé et qui sont généralement fréquentés par de jeunes immigrants turcs et kurdesNeuf personnes ont été tuées, dont le tireur présumé retrouvé mort à son domicile. Certains blessés sont dans un état critique dans les hôpitaux de la ville de Hesse.

    Selon les premières informations du journal allemand Bild, l’homme qui a tiré dans la ville près de Francfort se nommerait Tobias R. et a laissé une lettre confessant le massacre et le motif. Dans le document obtenu par Bild, le tueur parle de « la nécessité de détruire certaines personnes dont l’expulsion d’Allemagne n’est plus possible ». La police n’a pas encore publié de déclarations officielles sur ce qui s’est passé ou sur l’identité de l’assassin. Mais la piste raciale terroriste commence à se faire jour.

    Le président Frank-Walter Steinmeier, dans un communiqué, a décrit toute sa consternation face à ce qui s’est passé dans la ville de Hesse. Le président de la République fédérale s’est dit ” horrifié ” par “l’acte terroriste”, exprimant toutes ses condoléances aux familles des victimes et sa proximité avec “toutes les personnes menacées de haine raciste”. Le chef de l’Etat a ensuite conclu le message en appelant les citoyens allemands à ne pas renoncer “à défendre la coexistence pacifique dans notre pays”.

    Pourtant cette société multi-culturelle, multi-religieuse  et l’utopique “vivre-ensemble” engendrent un conflit civilisationnel que ces politiciens bien-pensants, responsables de ces futures guerres civiles, ne veulent toujours pas voir.

  • Repentance coloniale : Au tour de l’Allemagne de s’y soumettre

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Auteur : Philippe Carhon

    Repentance coloniale : Au tour de l’Allemagne de s’y soumettre

    Très bon rappel historique de Bernard Lugan sur son blog. Extraits :

    Outre-Rhin, bien que la parenthèse coloniale n’ait duré que deux décennies, l’exigence de repentance atteint en ce moment des sommets inégalés. Même en France où, pourtant, il n’est pas possible de parler de la colonisation sans avoir préalablement revêtu le cilice de pénitence, l’exigence de soumission au dogme de la culpabilité coloniale n’a pas (encore ?) une telle ampleur.

    En Allemagne, il est aujourd’hui impossible, tant elle est longue, de dresser la liste des rues, des places, des squares, des musées, des instituts et des casernes débaptisés au seul motif qu’ils ont un rapport avec la période coloniale ou avec des personnages ayant un lien avec cette dernière. Dirigé par la gauche, le Land de Berlin a même fait de la repentance coloniale un de ses principaux axes politiques (…) Ici, il n’est pas un jour sans qu’il soit demandé aux habitants transformés en chiens de Pavlov de l’auto-flagellation, de psalmodier la liste des péchés ultramarins de leurs grands-parents et de « regarder en face les crimes coloniaux allemands ainsi que le génocide des Herero et des Nama » commis en Namibie, l’ancien Sud-Ouest africain.

    Or, dans cette affaire, l’acte d’accusation contre l’Allemagne est un montage datant de la Première guerre mondiale, quand Français et Britanniques qui avaient besoin d’arguments « moraux » pour s’emparer de ses colonies, accusèrent l’Allemagne d’avoir « failli » à son « devoir de civilisation ». Fut alors constitué le dossier à charge de la guerre des Herero réutilisé aujourd’hui par la gauche allemande.

    Ce dossier passe totalement sous silence les actes atroces commis par les Herero: familles de colons massacrées, torturées, les femmes dépecées vivantes sous les yeux de leurs enfants, les hommes émasculés puis éventrés… Quand elles tombaient entre leurs mains, et après avoir été violées, les femmes allemandes étaient suspendues par les pieds à un arbre, jambes écartées, puis éventrées et éviscérées, comme des bêtes de boucherie…Or, ce furent à ces mêmes arbres, qu’après les avoir jugés, les Allemands pendirent ceux des Herero qui s’étaient rendus coupables de ces meurtres abominables. Mais, alors que nous n’avons que des témoignages concernant les premiers crimes, les exécutions judiciaires furent quant à elles photographiées et ces clichés furent ensuite utilisés par la propagande alliée pour « démontrer » la « culpabilité coloniale allemande ». Aujourd’hui, ce sont ces mêmes photos qui alimentent la campagne de repentance nationale.

    Pour la gauche allemande et pour les Eglises qui soutiennent naturellement, et même avec gourmandise, son combat, tous ceux, civils et militaires qui participèrent, de près ou de loin, à la guerre des Herero sont donc par définition des criminels.

    En premier lieu Paul Emil von Lettow-Vorbeck (1870-1964), légendaire officier colonial qui devrait pourtant figurer au Panthéon des gloires allemandes pour sa campagne de l’est africain (1914-1918)[1]. Or, tout au contraire, bien qu’il ait été un adversaire du III° Reich, présenté aujourd’hui comme l’archétype du  « criminel colonial », il est donc devenu une des principales cibles de ce politiquement correct qui achève d’émasculer une Allemagne étouffée sous ses complexes. (…) Des ouvrages indigents et d’une rare malhonnêteté intellectuelle sont également publiés afin de salir sa mémoire (…)

     

    Source : lesalonbeige

  • Allemagne : une alliance d’églises a acquis un bateau pour transporter des migrants en Europe

    Publié par Guy Jovelin le 04 février 2020

    L'alliance d'églises United4Rescue fait un pas de plus dans ses plans pour sa propre mission de sauvetage en Méditerranée.

    L'alliance a acquis le navire de recherche de Kiel "Poséidon", comme elle l'a annoncé vendredi. United4Rescue collectait depuis décembre des dons pour l'achat d'un navire adapté aux opérations de sauvetage en Méditerranée.

    Selon le porte-parole de l'association, Joachim Lenz, le navire a coûté 1,5 million d'euros. D'après ces chiffres, l'alliance a contribué à hauteur de 1,1 million d'euros. Le reste de la somme sera couvert par l'organisation Sea-Watch, qui doit exploiter le navire au nom de l'alliance.

    Avant que l'ancien navire de recherche puisse prendre la mer pour sa future destination, des transformations sont encore nécessaires. Il faudra notamment aménager une infirmerie et acheter des canots pneumatiques. Selon M. Lenz, les responsables veulent d'abord avoir une vue d'ensemble du travail nécessaire. Il espère que le navire sera disponible pour des opérations de sauvetage à partir de Pâques.

    [...]

    L'église protestante se félicite de l'achat

    Le président de l'Église protestante de Rhénanie, Manfred Rekowski, a également salué cet achat. "Le sauvetage en mer est un devoir d'État, qui n'a pas été rempli efficacement en Méditerranée depuis des années", a déclaré le président de la Chambre de l'EKD pour la migration et l'intégration. "Par conséquent, cette initiative est encore nécessaire". Le député européen Sven Giegold (Verts), l'un des co-initiateurs de l'Alliance, a déclaré : "Ce navire sauvera des vies et peut contribuer à changer la politique européenne".

    [...]

    (Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

    Op-marburg.de via lesobservateurs

  • Gelsenkirchen (All.) : un Turc armé d’un couteau et criant « Allah Akbar » abattu après avoir tenté d’agresser des policiers

    Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2020

    Par  le 06/01/2020

    Un homme âgé de 37 ans a été abattu devant le commissariat de Gelsenkirchen, une commune située à l’ouest de Dortmund (Allemagne) ce dimanche soir vers 19h40. Ce dernier était armé d’un couteau et s’est précipité sur deux policiers.

    Un policier a ouvert le feu a au moins une reprise ce dimanche soir. Il se trouvait avec l’un de ses collègues devant le commissariat de Gelsenkirchen lorsque les deux agents ont aperçu un homme qui s’approchait d’eux, avec un couteau à la main rapporte Welt.

    Malgré les injonctions des policiers, l’assaillant ne s’est pas arrêté et a continué à s’approcher. C’est à ce moment là que l’un des deux policiers a ouvert le feu, tuant le mis en cause. Les secours ont tenté de le réanimer, en vain.

    « Allah Akbar »

    Ce dernier aurait hurlé « Allah Akbar » au moment des faits selon Bild. Le défunt qui était un ressortissant turc de 37 ans, avait été condamné à plusieurs reprises par la justice précise le quotidien allemand.

    Actu 17 Via fdesouche

  • Allemagne : Merkel défend la loi favorisant l’immigration non-européenne

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2019

    Par  le 14/12/2019

    Pour remédier à un cruel manque de main-d’œuvre, le gouvernement allemand a adopté une loi permettant à partir du 1er mars prochain d’accueillir des non-Européens sur le marché du travail

    Des aides-soignants, des informaticiens, des ingénieurs et des artisans : la liste des métiers et secteurs où l’Allemagne manque de main-d’œuvre qualifiée s’allonge. Le chômage est au plus bas et 2,5 millions de personnes venant d’un autre pays de l’Union européenne travaillent déjà en Allemagne mais cela ne suffit plus.

    À partir du 1er mars prochain, une loi sur l’immigration choisie entre en vigueur. Pour préparer son application, un sommet se tient le 16 décembre au soir à la chancellerie […].

    « Nous devons recourir à de la main-d’œuvre qualifiée étrangère sinon nos entreprises iront s’installer ailleurs […], a prévenu Angela Merkel. Cela signifie que des visas soient octroyés rapidement et que l’information circule entre les entreprises allemandes à la recherche de main-d’œuvre et les pays d’où ces personnes pourraient venir ».

    […] Avec la nouvelle loi, il ne sera plus nécessaire de vérifier si pour un poste de travail donné une personne en Allemagne ou au sein de l’Union européenne est disponible.

    RFI via fdesouche