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armée

  • Armée : la LPM qui cache la forêt du sous-entraînement des forces françaises

    Publié par Guy de Laferrière le 13 juin 2023

    Les militaires et la LPM
    Les militaires et la LPM

    Dans l’actualité, le sujet phare des armées est la loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030 avec un budget en progression de 30% environ à 413 Mds d’euro, de 47 en 2024 à 68 Mds d’euro en 2030. A quoi cela va-t-il servir ? L’augmentation de l’inflation, notamment sur les matériels et leur maintenance, atténuera ce budget sans précédent. Cependant, pour répondre franchement à la question, cela servira à atteindre la capacité opérationnelle d’aujourd’hui avec des matériels en cours de renouvellement ou maintenus correctement avec normalement du personnel entraîné au combat de haute intensité. Car selon mes sources, le constat actuel dans les forces n’est pas si réjouissant que cela:
    – limite de potentiel ( c’est-à-dire, ils sont limités soit en nombre de kms soit en nombre d’heure de fonctionnement) pour les engins blindés car les armées reportent tout sur les engins basés en Lituanie ou en Roumanie. Ils n’ont que les miettes pour l’entraînement en France ;
    – manque de munitions tous calibres, notamment en 155mm (on comprend pourquoi… Macron ayant envoyé la moitié de notre artillerie en Ukraine) et même en petit calibre (5.56mm) où certaines unités à l’entraînement font « pan pan » pour imiter les tirs lors d’exercice. Décidément, c’est pire qu’avant !
    – les budgets entraînements sont dérisoires (manque de carburant dès maintenant, aussi de potentiel pour les vols d’entraînement des pilotes de chasse ou de transport, environ moins 25%).

    Même si le chef d’état-major des armées prône l’entraînement pour le combat à haute intensité et que cela a été validé par le pouvoir, il n’empêche que cela mettra du temps, beaucoup de temps à se mettre en place car cela nécessite de l’argent, mais aussi un changement de mentalité des militaires qui ont la mauvaise habitude de tout faire avec des bouts de chandelle ou de ficelle. Aujourd’hui, les forces françaises ne sont pas prêtes pour un combat de haute intensité comme cela se passe au Donbass. Cela est en train de changer, mais très très lentement à la vue des dernières informations. J’avais indiqué il y a un an dans un précédent article que cela pourrait prendre dix ans pour remonter la pente. La LPM est sur 7 ans, plus les aléas des livraisons de matériel, les retards en organisation et en formation du personnel, je ne suis pas loin du compte.

    Anatole Castagne.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les séropositifs vont pouvoir intégrer l’armée mais pas les non “vaccinés” Covid

    Publié par Guy de Laferrière le 10 mai 2023

    Les séropositifs vont pouvoir intégrer l’armée mais pas les non “vaccinés” Covid

    Nous écrivions début avril que, bientôt, la seule profession en France qui maintiendrait le “vaccin” contre le Covid obligatoire serait l’armée française. Alors que les soignants “non-vaccinés” vont enfin pouvoir être réintégrés, nous apprenons que les séropositifs vont pouvoir s’engager dans l’armée française au nom de la lutte contre les discriminations.

    Nous vivons dans un monde de fous :

    Les personnes séropositives vont désormais pouvoir intégrer l’armée, a annoncé, lundi 8 mai, sur France 2 le ministre des armées, Sébastien Lecornu, qui a pris un arrêté en ce sens.

    L’arrêté, sur proposition du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin« sera publié dans les jours qui viendront » et s’appliquera à la « gendarmerie, [aux] sapeurs-pompiers de Paris et de Marseille, et [à] l’ensemble des forces armées », a précisé M. Lecornu dans l’émission « Les Quatre vérités ». « Avoir le VIH ne sera plus un critère de discrimination par principe », a-t-il souligné (…)

    A la fin de novembre 2022, cette discrimination à l’embauche visant les personnes vivant avec le VIH, le virus responsable du sida, avait déjà été levée pour les policiers.

    Le gouvernement avait abrogé par décret l’application du Sigycop, un dispositif d’évaluation de l’aptitude physique utilisé dans plusieurs métiers de la fonction publique. Appliquée strictement, cette évaluation classait comme inaptes les personnes séropositives.

    Jusqu’à présent, le ministère des armées, dont le service de santé régit le recrutement des gendarmes et des pompiers militaires, s’était toujours refusé à modifier le Sigycop.

    Visiblement, le service de santé des armées est plus sensible aux revendications du lobby LGBT qu’au sort des milliers de jeunes qui veulent rejoindre les armées et qui ne le peuvent pas car ils ont refusé de se faire injecter une substance expérimentales (sans parler de ceux qui ont été mutés ou virés). 

    Sauf erreur de notre part, la directive du service de santé des armées de juillet 2021 (voir ici), rendant obligatoire la “vaccination ” anti-Covid pour l’engagement, la mission Sentinelle et les OPEX n’a toujours pas été abrogé et est donc toujours d’actualité…

     

    Source : lesalonbeige

  • VIVE L'ARMÉNIE !

    Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023

    De l'Ambassade d'Arménie :

    "En ce jour du 31ème anniversaire de l’Armée arménienne, nos pensées vont à tous nos #soldats qui protègent les frontières et la paix de notre #Patrie, ainsi qu’à leurs #familles et à leurs proches."

     

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    VIVE L'ARMÉNIE !

    SOUTIEN À NOS FRÈRES CHRÉTIENS AGRÉSSÉS PAR LES NAZÉRIS D'AZEBAÏDJAN

    ET EN PREMIÈRE LIGNE FACE À LA GRANDE OFFENSIVE EXTERMINATRICE LANCÉE PAR L'ISLAM CONQUÉRANT, TOTALITAIRE ET GÉNOCIDAIRE CONTRE L'OCCIDENT CHRÉTIEN... 

     

    Source : lafautearousseau

  • Pourquoi envoyer l’armée dans les cités n’est pas possible ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    Depuis mai dernier, le colonel Emmanuel Combe, 45 ans, commande le 2e régiment étranger de génie de Saint-Christol. Un millier de légionnaires d’une centaine de nationalités. Il répond à nos questions.

    Emmanuel Combe

    Quand des élus ou des candidats à la Présidentielle évoquent l’envoi de l’armée pour sécuriser les cités gangrenées par les trafics de drogue et l’insécurité, est-ce réaliste ?

     « Je pense qu’on ne sait pas bien ce qu’est le travail de l’armée. Je ne fais en aucun cas partie des forces de l’ordre, je n’ai pas d’officier de police judiciaire chez moi, et jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas de guerre civile en France. Notre intervention est toujours dans le cadre de l’antiterrorisme. Que notre présence puisse faire baisser la petite délinquance justement parce qu’on est présent ou que ça puisse rassurer les gens, très bien. Mais ce sont des effets de bord. Ce n’est pas du tout notre mission principale. Notre mission principale est d’être capable de lutter contre la menace terroriste. Il ne faut pas se tromper. Ce qui est inquiétant, c’est qu’on voudrait faire porter sur l’armée l’échec de ce qu’on aurait dû faire avec d’autres moyens. Si vous avez besoin de détruire un immeuble pendant une guerre, je peux le détruire, mais sinon je ne suis pas convaincu que ça s’inscrive vraiment dans la volonté de la population. »

    Mais si on vous donne l’ordre de le faire, d’investir des cités ? 

    « Non. Non, car ce n’est pas mon métier, et que c’est un ordre illégal, et j’ai interdiction d’obéir à un ordre illégal. Le jour, où un immeuble sera tenu entièrement par des terroristes de Daesh, la question ne se posera pas. La question qui se posera sera celle de savoir quels sont les civils qui sont à l’intérieur, et pourquoi le Raid ou le GIGN ne peut pas prendre en compte la mission. Attention, on est sur le territoire national. Mon problème est aux frontières, et quand la menace terroriste s’infiltre, la notion de frontières est alors ramenée à l’intérieur du pays. »

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Australie – L’armée en renfort pour contrôler les confinés

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2021

    Des centaines de soldats sont arrivés à Sydney pour aider la police à sévir contre les résidents ne respectant pas le confinement.

    Les soldats sont envoyés frapper aux portes pour vérifier que les gens ne sont pas sortis.
    Ces militaires ne porteront pas d’armes en patrouillant dans les rues de Sydney mais le maire de Cumberland convient que cette utilisation des troupes est “extrême”
    Trois cents militaires suivront une formation au cours du week-end afin de patrouiller dans les rues avec la police lundi pour s’assurer que les résidents se conforment aux ordonnances sanitaires.

    Le ministre régional David Elliott a déclaré que le déploiement militaire était nécessaire car une petite minorité de personnes pensaient que “les règles ne s’appliquaient pas à elles”.

    “Ce n’est pas différent de ce que nous avons vu à Melbourne l’année dernière, où la police a travaillé main dans la main avec l’armée pour effectuer rapidement ces contrôles de conformité basés sur le renseignement.”

    Le commissaire Fuller a déclaré que l’aide de l’ADF permettrait à la police de doubler le nombre de visites à domicile qu’elle peut effectuer dans les huit zones de gouvernement local (LGA) concernées.

    “Ils ne viennent pas avec des pouvoirs spéciaux et ils ne porteront pas d’armes à feu mais ils viennent avec un énorme entraînement, très disciplinés, et ils comprennent la tâche.”

    Le ministre de la Défense Peter Dutton a déclaré que les militaires agiraient comme un « multiplicateur de force » pour augmenter la présence policière dans les zones ciblées.

     

    Source : medias-presse.info