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arménie - Page 2

  • VIVE L'ARMÉNIE !

    Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023

    De l'Ambassade d'Arménie :

    "En ce jour du 31ème anniversaire de l’Armée arménienne, nos pensées vont à tous nos #soldats qui protègent les frontières et la paix de notre #Patrie, ainsi qu’à leurs #familles et à leurs proches."

     

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    VIVE L'ARMÉNIE !

    SOUTIEN À NOS FRÈRES CHRÉTIENS AGRÉSSÉS PAR LES NAZÉRIS D'AZEBAÏDJAN

    ET EN PREMIÈRE LIGNE FACE À LA GRANDE OFFENSIVE EXTERMINATRICE LANCÉE PAR L'ISLAM CONQUÉRANT, TOTALITAIRE ET GÉNOCIDAIRE CONTRE L'OCCIDENT CHRÉTIEN... 

     

    Source : lafautearousseau

  • Bravo à eux !

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    lafautearousseau

     

    Bravo à eux ! Dans Nouvelles d'Arménie : De jeunes Arméniens ont fabriqué en trois ans un drone d'attaque intelligent doté de caméra et d'ailes : Nerses, 24 ans, et une douzaine d'autres jeunes ont conçu et mis en œuvre un drone d'attaque (avec explosifs) doté d'une intelligence artificielle…

    https://www.armenews.com/spip.php?page=article&id_article=99618&utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

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    VIVE L'ARMÉNIE !

    COMME LA SERBIE AU KOSOVO,

    ELLE A LE DROIT DE SE DÉFENDRE

    ET DE REPRENDRE PAR LA FORCE CE

    QU'ON LUI A VOLÉ PAR LA FORCE !

  • Intenses bombardements de l’Azerbaïdjan sur l’Arménie dans la nuit de lundi à mardi

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Le premier ministre Nikol Pachinyan s’est entretenu cette nuit au téléphone avec les présidents russe et français, et en appelle à l’ONU pour faire cesser l’agression de Bakou.

    Une nuit d’angoisse et de peur. C’est ce qu’ont vécu les trois millions d’habitants de la république d’Arménie dont plusieurs villes et villages frontaliers ont subi cette nuit des bombardements intensifs de la part de l’armée azerbaïdjanaise.

    À lire aussiHaut-Karabakh : que se passe-t-il (encore) dans cette région sous tension depuis trente ans ?

    À 0h05 (22h05, heure française), les habitants de Jermuk, Vardenis et Goris ont entendu plusieurs explosions : des tirs d’artillerie depuis la zone frontalière. «Nous avons entendu aussi comme des gros bourdonnements au-dessus de nos têtes»nous déclare un habitant de la ville de Goris (25.000 habitants dont des centaines de réfugiés de la république autoproclamée d’Artsakh, conquise aux trois quarts par les Azéris en 2020). Dans la région du Gegharkunik, au nord-est de l’Arménie, des drones ont aussi été repérés à proximité du lac Sevan : les fameux Bayraktar turcs TB-2, utilisés avec succès par l’armée ukrainienne contre les envahisseurs russes. Dans le sud du pays, à Kapan, des tirs ont été entendus à partir d’une heure du matin. Mais aussi à Martouni, près du lac Noir, à Artanish et à Sotk. Selon le ministère de la Défense arménien, les attaques ont fait plusieurs morts et blessés, sans qu’un bilan comptable précis n’ait encore été établi.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Tortures, exécutions, destructions : halte à la barbarie anti-arménienne

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 202

    Tortures, exécutions, destructions : halte à la barbarie anti-arménienne

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    Solidarité Arménie lance une pétition à l’adresse des acteurs politiques français :

    Endeuillée, amputée, appauvrie, seule pour panser ses plaies. Après un bref intérêt médiatique, la nation arménienne est retombée dans l’oubli total.

    Plus de 3 mois après le cessez-le-feu, au moins 200 prisonniers de guerre n’ont pas été rendus par l’Azerbaïdjan, et de nombreuses vidéos qui circulent font craindre le pire aux familles des disparus. Tortures, dépeçages de corps humains, exécutions sommaires ; les images sont insoutenables.

    Certains civils ayant préféré rester sur leurs terres du Haut-Karabakh ont été eux aussi malmenés ou torturés ; comment ne pas repenser avec effroi à ce vieil homme auquel des soldats azéris ont coupé les oreilles en se filmant avec des rires sadiques ?

    Loin d’ignorer ou de condamner cette situation, les autorités turques et azerbaïdjanaises favorisent l’anéantissement du patrimoine arménien et l’installation de jihadistes syriens. Cimetières, khatchkars, églises ; les détériorations ou destructions se multiplient dans le silence de la communauté internationale.

    Enfin, en dépit des accords du traité de cessez-le-feu, le territoire arménien est régulièrement victime d’incursions ou de tirs de l’armée azérie.

    Alors qu’environ 600 000 arméniens vivent France, dont 400 000 sont nés dans l’hexagone, et que la France et l’Arménie chrétiennes possèdent des relations multiséculaires, nous refusons de laisser cette situation se perpétrer dans l’indifférence.

    Nous demandons à nos élus et au chef de l’Etat d’agir enfin contre l’expansionnisme d’Erdogan qui ne cache pas sa volonté de rayer l’Arménie de la carte. La dignité humaine n’a pas de couleur politique. Elle n’est pas négociable !

    Halte aux massacres, halte à la barbarie !

     

    Source : lesalonbeige

  • Comment le pétrole de l’Azerbaïdjan a vaincu l’Arménie.

    Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2020

    Qui l’eût cru ? Après avoir remporté une victoire éclatante, conclue en 1994, par la prise du  et des territoires azéris environnants, l’ a, cette fois, été battue en six semaines par une armée peu réputée pour ses hauts faits d’armes.

    arménie,azerbaïdjan,pétroleMais en vingt-cinq ans, la tendance a été totalement inversée à cause de la manne pétrolière. Les gisements de pétrole de la mer Caspienne ont fait de Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan, un port pétrolier important, source de revenus considérables pour le pays. La population n’a pas beaucoup profité de ces pétrodollars, mais le président Aliyev en a investi une part considérable dans du matériel militaire haut de gamme.

    Au pouvoir depuis 2003, succédant à son père (l’Azerbaïdjan est une démocratie relative…), Aliyev s’est résolument tourné vers le pétrole.

    Il y a longtemps que l’on connaît l’importance des gisements pétrolifères et gaziers de la mer Caspienne, mais l’Union soviétique vieillissante avait d’autres priorités. L’Azerbaïdjan, dès son indépendance arrachée en 1991, s’est attelée à la tâche, soutenue par la  et les Occidentaux. Après des années d’études et de négociations, un cap a été fixé : construire un oléoduc partant de Bakou et évitant soigneusement l’Iran au sud, la Russie au nord et, bien sûr, l’Arménie à l’ouest. C’est donc par la Géorgie que l’ouvrage passe, puis la Turquie, pour finir dans le port de Ceyhan, dans l’ancienne Cilicie, non loin de la Syrie.

    Ce trajet improbable et fort coûteux a été financé par la Banque mondiale, la BERD et des banques américaines sous l’égide de British Petroleum, qui possède 30 % des parts, suivie par une compagnie azérie, avec 25 %, les autres pays occidentaux se partageant le reste, États-Unis en tête (L’Usine nouvelle du 25 mai 2005). Personne n’est oublié puisque la Turquie et la Géorgie perçoivent de substantielles redevances, l’oléoduc traversant leur pays. On comprend mieux, soit dit en passant, le grand intérêt que les États-Unis portent à la Géorgie depuis quelques années, aidant à l’installation d’un régime pro-occidental et antirusse.

    En 2005, lors de l’inauguration de cet oléoduc – un des plus longs du monde, avec près de 1.800 kilomètres -, le secrétaire d’État américain à l’énergie Samuel Bodman était présent, en bonne compagnie avec les présidents turc, azéri et géorgien (Le Monde du 25 mai 2005).

    L’afflux d’argent qui suivit la mise en service de cet oléoduc permit à l’Azerbaïdjan de moderniser son armement et, surtout, d’acheter de très nombreux drones israéliens et turcs. Ce sont eux qui ont fait la différence. La valeur du combattant arménien, sans être mise en cause, ne pouvait rien face à ce déluge de technologie meurtrière. L’Arménie est un pays pauvre, sans ressource énergétique.

    Ce ne fut pourtant pas sans mal, et le président Aliyev lui-même (celui qui traite les Arméniens de « chiens ») a reconnu que le franchissement des fortifications arméniennes fut très difficile. Les pertes des Azéris et des islamistes syriens envoyés par Erdoğan restent secrètes mais sont considérées comme très élevées par les observateurs.

    Tout cela était parfaitement connu de la Russie, qui a laissé faire. Poutine et Lavrov ont rappelé leur ligne : il fallait rendre à l’Azerbaïdjan les territoires azéris conquis en 1994 pour conserver l’intégralité du Haut-Karabakh. Certes, et l’ONU s’était prononcée dans ce sens. L’entêtement du médiocre Premier ministre Pachinian (qui ne le restera pas longtemps) a coûté cher.

    Mais tout de même, quelle tristesse de voir une partie du Haut-Karabakh et son  chrétien plus que millénaire laissés aux mains des Azerbaïdjanais et de leurs alliés islamistes syriens.

     

    Antoine de Lacoste

     

    Source : lafautearousseau