Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

australie - Page 3

  • Australie : procès du Français Smail Ayad, qui a poignardé à mort Mia, une jeune touriste britannique (MàJ : Il avait crié « Allahu akbar » pendant l’attaque)

    Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2021

    Le tueur avait crié “Allahu akbar” pendant l’attaque et son arrestation, mais la piste terroriste avait été écarté.

    ABC


    Rosie Ayliffe, la mère de la victime, pensait que sa fille de 20 ans, Mia Ayliffe-Chung, ferait de la randonnée en toute sécurité en Australie pendant son année sabbatique. Mais en 2016, lorsque Mia a cherché à prolonger son visa et a dû travailler 88 jours dans une ferme, une catastrophe a suivi.

    Quatre jours après que Mia a emménagé dans une auberge de jeunesse à Home Hill, dans le Queensland, pour occuper un emploi dans une ferme de canne à sucre, elle a été mortellement poignardée par le ressortissant français Smail Ayad, 29 ans.

    Un autre jeune routard britannique, Tom Jackson, est décédé plus tard des suites de ses blessures en essayant de protéger Mia.

    “Avant d’entrer au tribunal, j’avais [la mère de Mia] écrit cette lettre à la mère d’Ayad:

    Les membres de la famille présents au tribunal aimeraient vous exprimer nos plus sincères condoléances. Nous comprenons que votre souffrance n’est pas différente de la nôtre et nous ne vous en voulons pas. Si vous souhaitez rencontrer et parler parent à parent, je serais heureux que cela se produise.”

    Elle [la mère d’Ayad] n’était pas présente au tribunal […]

    “Rien ne peut annuler ce qui s’est passé cette nuit-là. Cependant, je souhaite seulement à cette personne et à sa famille la paix, car une fois que cette personne se rendra compte de ce qu’elle a fait, sa souffrance intérieure sera pire que tout ce qui lui sera imposé.”

    The Guardian via fdesouche

  • L’Australie “protège les Australiens” en retirant sa citoyenneté à un imam algérien condamné pour avoir planifié un attentat

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2020

    L’Australie a annulé la citoyenneté d’un religieux musulman d’origine algérienne qui a été reconnu coupable d’avoir dirigé une cellule terroriste, qui prévoyait une attaque lors d’un match de football à Melbourne en 2005, a déclaré mercredi le ministre de l’Intérieur Peter Dutton.

    Abdul Nacer Benbrika est la première personne à être déchue de sa citoyenneté alors qu’elle se trouvait encore en Australie.

    […]

    “Si c’est une personne qui représente une menace terroriste importante pour notre pays, alors nous ferons tout ce qui est possible dans le cadre de la loi australienne pour protéger les Australiens”,

    a déclaré Dutton aux journalistes à Brisbane.
    […]

    Il a été emprisonné pendant 15 ans pour avoir dirigé un groupe terroriste, être membre d’un groupe terroriste et posséder du matériel associé à la planification d’un acte terroriste. Benbrika reste incarcéré malgré la fin de sa peine.

    […]

    En 2019 l’Australie a retiré sa citoyenneté à Neil Prakash, recruteur présumé de l’État islamique emprisonné en Turquie. L’Australie avait fait valoir qu’il avait la double nationalité car il disposait également la nationalité fidjienne, bien que les Fidji aient nié cette affirmation.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Bangkok Post via fdesouche

  • La loi autorisera les agents publics à arracher les sous-vêtements des Australiens pour les vacciner

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2020

    Auteur : 

    Le Covid est décidément le virus qui rend fou.
     
    L’État d’Australie occidentale a légiféré pour permettre aux policiers ou autres “agents autorisés” de maîtriser les individus qui se montreraient récalcitrants et refuseraient de se déshabiller eux-mêmes. Ils peuvent légalement leur enlever de force leurs sous-vêtements pour  leur administrer le vaccin jugé nécessaire. 
     
    Ces pouvoirs extraordinaires conférés aux “agents autorisés” comprennent l’usage de la force dite “raisonnable” pour : 
    • appréhender les personnes visées, les emmener vers un lieu où elles devront se soumettre à un examen ou à un traitement médical, ou à la vaccination, conformément aux termes de la directive.
    • les détenir sur le lieu où se déroulera l’examen ou le traitement médical, incluant la vaccination.
    • leur faire retirer ou leur retirer de force leurs vêtements, ou sous-vêtements selon que de besoin, pour permettre un examen ou traitement médical ou, éventuellement, l’administration du vaccin à la personne. 
    • Il est précisé que les personnes (s’agit-il toujours de “ personnes” à ce stade?) concernées se voient accorder un délai “raisonnable” pour retirer elles-mêmes leurs sous-vêtements, avant qu’ils ne leur soient arrachés avec usage de la force.
    Le texte de loi est consultable en anglais ici : updated version of the act
     
    La Australian Broadcasting Corporation (ABC) qui fait office de censeur du net, à l’instar du Monde ou de Libération en France, a publié un article pour expliquer que ces pouvoirs n’étaient “applicables que dans le cadre d’un état d’urgence de santé publique”. Or c’est justement le cas en Australie occidentale et ce, depuis le 23 mars 2020, en réponse à la pandémie décrétée par l’OMS à cette même  époque. 
     
    Cet état d’urgence sanitaire aurait évidemment dû cesser puisqu’il n’y a plus eu de transmission du virus en AO depuis le début d’avril dernier. Mais les gouvernements n’abandonnent pas si volontiers les pouvoirs que leur ont conférés des lois liberticides.
    Et c’est ainsi que l’état d’urgence se mue en dictature.
     
    Les Australiens jouissent en ce moment d’un petit répit, car la compagnie pharmaceutique britannique Astrazeneca à laquelle leur gouvernement avait commandé ses futurs vaccins du Covid (utilisant des cellules souches provenant de bébés avortés, soit dit au passage), a annoncé un moratoire après qu’un cobaye britannique soit tombé sérieusement malade. A quelque chose malheur est bon.
     
  • Feux de forêts en Australie : arrestation de Faid et Abraham Zraika, deux pyromanes

    Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2020

    Les bulletins d’informations rappellent régulièrement que l’Australie est actuellement frappée par une série d’incendies. Les médias européens se montrent par contre bien moins enclins à signaler que plusieurs pyromanes ont été arrêtés. La police australienne a notamment interpellé à l’ouest de Sydney deux individus aux noms exotiques : Fadi et Abraham Zraika. Ces deux frères sont accusés d’avoir déclenché un feu d’herbe dans un parc de Guildford, le 22 décembre dernier.

    Selon la presse locale, Fadi et Abraham Zraika ont été arrêtés dans un fast-food à Merrylands. Loin de tout remord, Fadi Zraika se serait présenté devant le tribunal en affichant un grand sourire narquois après avoir déjà comparu à plusieurs reprises.

    Ces deux individus issus de l’immigration ont été traduits en justice pour de multiples chefs d’accusation (manipulation négligente d’explosifs, refus de révéler leur identité, port d’un couteau dans un lieu public…).

    L’édition australienne du Daily Mail ne manque pas d’ajouter que l’Etat islamique décrit dans ses publications de propagande comment déclencher d’énormes incendies de forêt en Occident pour mener le djihad.

    Auteur : 

    Source : medias-presse.info

  • L’Australie ramène les bateaux de migrants… chez eux

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2019

    Les Australiens emploient la manière forte pour refouler les clandestins qui s'aventurent dans leurs eaux territoriales. En Australie, pas d'états d'âme. On respecte les conventions des Nations Unies qui font obligation aux Etats membres d'accueillir des migrants, et les Australiens ont fait le choix de ne pas accepter n'importe qui. Chez eux, pas de Lampedusa. Depuis qu'ils ont adopté cette manière forte, plus un seul bateau de clandestins ne se risque dans les eaux territoriales.

    Un reportage en anglais. via lesobservateurs