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bhl - Page 2

  • Véronique Jeanne Lévy, la soeur de BHL convertie au catholicisme, dit ses quatre vérités à Jacques Attali

    Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2020

    On se souvient tous de la conversion au catholicisme de Véronique Lévy, soeur de Bernard-Henry Lévy. La Porte Latine avait titré l’événement ainsi : “Bernard-Henri Lévy foudroyé par la conversion de sa soeur Véronique au Catholicisme”. Secoué, le frère de la “convertie” avait déclaré : “cette nouvelle, en effet personnelle, qui me tombe dessus un petit peu comme la foudre !”

    C’est aujourd’hui Jacques Attali, un ami du fumeux BHL, qui attaque Véronique en la déclarant “radicalisée”. Mal lui en a pris, car il se fait remettre à sa place dans un long message sur Facebook qui lui tombe dessus comme la foudre divine. Le premier prénom de Mlle Lévy est Véronique, le même que celui de la sainte femme qui a essuyé les crachats sur le visage tuméfié de Notre Seigneur; son second prénom est Jeanne : elle le porte avec honneur !

     

     

     

     

    Voici le texte repris du compte Facebook de Véronique Lévy :

    “Bonsoir monsieur Attali…il paraît que vous avez parlé de moi dans une revue.. vous avez évoqué ma route comme un chemin perdu, celui d’une femme fragile manipulée par l’extrême droite identitaire anti-sioniste… la soeur de BHL comme vous m’appelez s’est radicalisée avec les intouchables… oui je suis devenue une stigmatisée, non pas hélas des saints stigmates du Christ mais de ceux des innommables… les surnuméraires, les furieux, les extrêmes, les édentés, les réfractaires, les vandales, et pourquoi pas les black blocs bientôt…Ou déjà, qui sait? Je suis au Christ Jacquot, au Roi des juifs , de la terre et des Cieux; au Seigneur désarmé et Nu , je suis dingue du très Haut Qui Se fit très bas… et Se cacha dans la chair douce comme du lait d’une vierge de Nazareth. Je suis de Sa famille Jacques, j’ai retrouvé les miens: je suis chrétienne comme l’étaient déjà les prophètes, les poètes et les rois de l’Alliance native… gravée dans la pierre de la loi avant qu’elle ne se fit chair dans le Coeur de Sa miséricorde… aux entrailles maternelles d’un Dieu d’Amour. Il faut que je vous confie un secret… oui je vous l’offre comme le cadeau d’un départ, un présent pour la route, une chanson pour la vie, une berceuse pour traverser la mort: j’attends mon amour, je l’attends, je L’attends… je guette Ses pas… je L’attends. Mon corps est déchiré de la blessure de Sa Lumière et Sa lumière est une épée, la Vérité. Je L’ai épié dans le fin murmure d’un silence pénétrant comme le prophète Elie… je me languis de Sa Présence et je respire à la brise du soir le parfum de Son Souffle… au fil tranchant de Son Verbe… Mais Il Se cache… Et Se dévoile soudain dans le visage défiguré de ceux qu’on assassine sur un cri silencieux, les non nés ou non conçus encore et dont la voix se perd aux coulisses d’une vie exterminée in utéro, ou bien labellisée aux laboratoires privés du triage génétique. Cri silencieux des germes d’hommes congelés aux chambres fortes du planning familial. Mon Bien-Aimé m’appelle au secours aussi dans le sourire dépouillé des vieillards endormis de mort lente, de la “bonne mort” dites-vous, assistés médicalement dans les couloirs de la santé publique… Hélas il n’y a pas assez de lits…. et toutes les croix sont arrachées. Une mort sans croix c’est une mort sans pourquoi, sans fenêtre ouverte, sans les bras du Ressuscité étreignant la solitude et la douleur pour les coloniser de Son éternité et de Sa Paix. Une mort à la sauvette, une mort honteuse, une mort qui se veut propre mais qui pue le chien crevé et les viscères ouvertes comme ces pauvres maccabés de l’université Paris Descartes qu’on a laissé pourrir et qu’on a profanés dans une haine de l’Homme qui ne croit plus au Ciel, qui n’espère plus… programmant l’immortalité car il a peur de Son éternité.

    Elle le regarde de Ses eaux infinies.

    Jacques, je ne suis d’aucun parti, d’aucun clan, d’aucune tribu, je m’arracherai la peau avec le matricule anti-viral que vous voulez, vous, les marchands du temple de nos corps, graver dans notre chair… à Son Image et à Sa ressemblance nous furent créés et Son Visage est notre liberté… je suis à mon Amour tout simplement et Il m’appelle toujours plus loin, en eaux profondes dans le silence des vies d’enfants jetées à la poubelle ou bien brûlées comme combustible dans les fours crématoires des hôpitaux anglo-saxons. Et puis je suis de France, car la France voyez vous… ce n’est pas la potée, les binious , les bérets… la France c’est le coeur d’une vierge aussi… une vierge qui dit oui à l’Archange saint Michel… dans les clairières de sa Lorraine natale… La France c’est une Annonciation qui se déploie, du Calvaire à Chinon… de Chinon à toujours… car sa mission à la France c’est de chanter sur la plus haute branche avec saint Irénée et pour le monde entier: “la gloire de Dieu c’est l’Homme vivant!”

    Véronique Jeanne Lévy”

     

    Source : medias-presse.info

  • Et BHL qui vend toujours aussi peu de livres !

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2019

    Ignace – Le dessin du jour

    Ignace - ...Et BHL qui vend toujours aussi peu de livres !
     
     
  • Un documentaire sur BHL bénéficie de plus de 700 000 euros de subventions par les chaînes nationales

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2019

    Auteur : Michel Janva

    Un documentaire sur BHL bénéficie de plus de 700 000 euros de subventions par les chaînes nationales

    Propagande avec l’argent du contribuable, ainsi que le révèle le Canard :

     

    Source : lesalonbeige

  • L’incroyable arrogance de BHL face aux chefs d’Etat et de gouvernement européens

    Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2019

    Auteur : Rédaction

    Bernard-Henri Lévy n’exerce pas seulement son influence, voire son contrôle, sur l’Etat français (jusqu’à le faire récemment attaquer un autre pays : la Libye).

    Il parcourt l’Europe entière pour sermonner et menacer les autorités qui ne suivent pas avec assez de zèle le programme mondialiste et cosmopolite.

    Après avoir ces dernières semaines fait la leçonà Victor Orban, Premier ministre hongrois – pendant 2h30 dans son bureau ! – , après avoir rencontré le nouveau président ukrainien Zelensky pour le découvrir et le prévenir, il vient d’aller voir le Premier ministre tchèque, pour lui intimer de soutenir l’Union européenne et l’idéologie des « frontières ouvertes » (sauf pour Israël, qui a même le droit de construire des murs à ses frontières).

    Évidemment BHL en lui-même ne représente pas grand chose, il n’est qu’une créature médiatique et politicienne servant de porte-parole à un groupe organisé, à un lobby.

    BHL et ses comparses sont si sûrs de leur domination qu’ils n’hésitent pas à publier des photos qui choquent par leur arrogance : 

    D5OPKuFW0AA_vlj.jpg

     

    Bernard-Henri Lévy
    @BHL

    Rencontre, à Prague, en marge de , avec @AndrejBabis. L’homme est plus complexe, et sympathique, que sa réputation. Mais le PM choisira-t-il ou ? l’ ou ? l’esprit de ou ? Pour l’heure, forme pure du populisme.

  • Bernard Henri-Lévy a passé au mauvais quart d’heure avec le New Yorker

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2019

     le 

     

    Dans un entretien mis en ligne le 18 mars, le magazine américain The New Yorker se paye Bernard-Henri Lévy. L’intellectuel français est critiqué pour son soutien inconditionnel à Roman Polanski et Dominique Strauss-Kahn, deux hommes accusés de violences sexuelles. Bernard-Henri Lévy est ainsi confronté à certains de ses propos passés sur le cinéaste Roman Polanski, accusé du viol d’une mineure en 1977. Le journaliste attaque ainsi :

    “Vous avez écrit que Roman Polanski avait ‘peut-être commis une erreur de jeunesse‘ (…) Il avait, je crois, 13 ans à l’époque des faits. Ah, non, c’était sa victime qui avait 13 ans. Lui en avait 43“.

    En difficulté, le philosophe ne répond pas… et assure que Roman Polanski a été “puni durement” parce qu’il était riche et célèbre, n’hésitant pas à parler de “justice de classe inversée”.

    “On parle du viol d’une enfant de 13 ans”, relance le journaliste.

    “Oui, un viol ; 14 ans, 15 ans, 13 ans, peu importe. C’est de toute façon un crime”, balaye BHL, avant d’assurer que le cinéaste avait “purgé” sa peine. Ce qui n’est pas le cas.

    “Il a fui le pays”, réplique le journaliste.

    “Il est allé en prison d’abord”, défend l’intellectuel.

    “C’était un fugitif”, rappelle le journaliste, qui enchaîne avec le cas Dominique Strauss-Kahn, accusé de viol et arrêté en 2011 à New-York.

    “Quand une autre femme l’a accusé de tentative de viol, vous avez écrit ‘j’en veux à ceux qui ont accepté avec complaisance le récit de cette autre femme, cette fois-ci Française, qui prétend avoir été victime d’une tentative de viol similaire [à celle de Nafissatou Diallo, la femme de chambre du Sofitel], mais qui s’est tue pendant huit ans, mais, sentant une opportunité en or, ressort son dossier (…) Comment savez-vous qu’elle prétendait ?“.

    “Où ai-je dit ça ?”, répond BHL, avant de dire qu’il ne se souvenaitt pas de ce texte, publié sur le Daily Beast.

    La même amnésie semble s’emparer de Bernard-Henri Lévy lorsque le New Yorker l’interroge sur des propos tenus en 2006 où il compare le voile à une “invitation au viol”.

    “J’ai dit à plusieurs reprises que je n’avais jamais dit ça. Ce n’est pas une de mes citations”, se défend l’intellectuel, avant de comparer le port du voile à un “esclavage”.

     

    Source : lesalonbeige