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climat - Page 2

  • Vaccin, climat, instruction : mais jusqu’où iront-ils ?

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2021

    Ca devient lassant… et terriblement inquiétant : cette manière de nous menacer à tout bout de champ ! Car enfin, à en croire les , les Jean-Christophe Lagarde et autres Jean-François Carenco – le président de la Commission de régulation de l’énergie -, il nous reste fort peu de temps.

    climat,instruction,mais où iront-ils?,vaccinPour vivre libres d’aller où nous voulons, de choisir ce qui est bon ou non pour nos enfants, de manger autre chose que de la nourriture vegan et de produire autrement que de l’énergie verte.

    Ce satané Covid aura décidément marqué le déclin de nos libertés individuelles. Nous voici rendus à la phase de l’injonction vaccinale demain imposée au personnel soignant. Qu’apparemment ni l’appel au devoir civique, à la morale ou même à la responsabilité collective n’a convaincu. Passé, en quelques jours, du « statut de héros à celui d’assassin », selon le bon mot de Julien, infirmier, qui se confie à Slate : « Cela donne l’impression d’un retour du paternalisme médical, du genre “Nous, nous savons ce qui est bien pour vous et sinon, c’est la punition”. »

    Une punition bien sévère en perspective puisque, d’ici peu, Julien et ses collègues se verront donc contraints d’accepter les Moderna, Pfizer ou autres sous peine de perdre leur emploi…

    Après les soignants, ce sera sans nul doute le tour des autres récalcitrants. Avec, à la clef, la crainte du gendarme. Sans complexes, Xavier Bertrand, sur un plateau télé, « souhaite que l’on développe beaucoup plus vite le . Pour dire à ceux qui ne veulent pas se faire vacciner, et pas seulement les soignants, qu’ils ne peuvent pas nous mettre en risque. Et que s’ils font le choix de ne pas se faire vacciner, alors ils doivent savoir qu’ils n’auront pas la même liberté que les autres. » Nul besoin d’avoir « fait Saint-Cyr » pour comprendre entre les lignes : pas de , de salles de spectacles, de voyages, voire d’accès aux bureaux ou aux écoles pour les « antivax ». Carrément ! On se croirait revenu à l’époque des tribunaux révolutionnaires. Les mots d’un Saint-Just dans la bouche d’un candidat à l’élection présidentielle…

    Le plus grave, c’est que cette façon de faire a ses émules. Jusque dans le domaine énergétique. On savait certains automobilistes interdits bientôt de circuler dans Paris car coupables de balader des véhicules trop polluants. Mais c’est, à présent, les anti-éoliens qui sont dans la ligne de mire de Jean-François Carenco. Ce père des éoliennes en mer ne manque pas d’arguments pour vendre son produit sur LCI : « Que ceux qui ne veulent pas des éoliennes soient privés d’électricité. La promesse d’une énergie abondante et disponible pour tous est une promesse républicaine, il faut en accepter les contraintes. »

    Pendant ce temps-là, à l’Assemblée nationale, un autre débat fait rage : celui de l’instruction des enfants dans les familles. Interdire ce mode de scolarisation au nom de la lutte contre le « séparatisme » pour ne pas dire «  ». Et tant pis si le Sénat a reconnu lui-même qu’« aucun chiffre n’a été présenté pour relier l’IEF [instruction en , NDLR] à des pratiques radicalisées ». La bonne santé de la République vaut bien la liberté de choix des parents…

    Le pire est à craindre. L’homme semble être devenu un loup pour l’homme. Notre partisan de l’éolien se défend : « Produire de l’énergie, ça crée des désagréments. Est-ce que, ensemble, on accepte un certain nombre de désagréments pour que tous ensemble nous vivions un peu mieux ? » Voilà bien tout le nœud de l’affaire : quels principes de précaution valent que l’on sacrifie nos libertés sur l’autel de l’intérêt collectif ?

    Or, il viendra bien un jour où tous ces punis, ces parias, ces exclus et ces sanctionnés perdront totalement de vue la nécessité de contribuer à l’effort collectif qui ne les concernera plus. Ils refuseront de payer l’impôt. Et ce gouvernement aura la monnaie de sa pièce.

     

    Sabine de Villeroché

    Juriste

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Greta Thumberg : « Le climat change à cause du racisme, du colonialisme, du patriarcat »

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2019

    La jeune Suédoise, Greta Thumberg, l’égérie écolo des sphères financières, le pantin désarticulé manipulé par des forces politiques dont elle n’a pas même un début de commencement d’idées de leur puissance, celle qui ne va pas à l’école et n’apprend rien, si tant est que l’on apprend encore quelques chose dans les écoles de la modernité et du progrès fabriques d’idiots utiles du système, est de tous les combats idéologiques de la gauche bien-pensante passée du rouge au vert. Il en va de la déconstruction de l’Occident et de la culpabilisation de l’homme blanc, en marche depuis la seconde guerre mondiale, et dont les élites mondialistes, vautrées dans un sentiment des plus masochistes, sont si friandes.

    La dernière trouvaille de Thumberg pour alimenter sa lutte environnementale si déconnectée des véritables préoccupations de la génération au-dessus d’elle, le monde de ceux qui travaillent et triment pour vivre, voire survivre, et faire vivre tous ces adolescents en mal de notoriété, et enfants gâtés de la post-modernité, est de relier changement climatique et racisme. Faire cause commune avec l’indigénisme, cette surenchère de l’anti-racisme, cette nouvelle mode médiatique du politiquement correct…

    « Après tout la crise climatique ne regarde pas seulement l’environnement. C’est une crise des droits humains, de justice et de volonté politique. Les systèmes d’oppression coloniale, raciste et patriarcale l’ont créée et alimentée. Nous devons tous les démanteler. Nos responsables politiques ne peuvent plus se soustraire à leurs responsabilité » a déclaré, dans une tribune publiée sur le Project Syndicate, cette pythie des temps modernes, interprète de la divinité des athées Gaïa. Et il se trouve dans le monde occidental déchristianisé, matérialiste et vide de sens, sans repères culturels et identitaires, des adultes débiles, et d’autres subversifs, des jeunes fragiles sans avenir et idéologiquement dociles, pour observer scrupuleusement les directives de cette froide jeune fille, au visage sans expression et à la colère enfantine, agent de recyclage des slogans de la gauche progressiste. Le millénarisme apocalyptique de Greta Thumberg épouse les idées radicales et extrémistes du marxisme sociétal, celui de l’anti-racisme, de l’anti-colonialisme, de l’anti-patriarcat.

    Et voici donc les trois « anti » politiquement corrects qui viennent à la rescousse du combat écolo anti-changement climatique, on ne voit pas trop sur quelles bases scientifiques… mais on voit bien par là que le combat de l’activiste suédoise n’est autre que l’agenda politique de la révolution mondiale totalitaire en marche

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les priorités de l’Europe : engagement sur le climat et laxisme sur l’islamisme

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    Énonçant les priorités de la Commission européenne, la présidente Ursula von der Leyen a mis en premier la lutte contre les changements climatiques. Quant à la sécurité et la nécessité de combattre le terrorisme islamique, elles ont été expédiées. Une omission révélatrice de l’état d’esprit de l’ex-ministre de la Défense de l’Allemagne où des centaines de djihadistes ont embrassé la cause du Califat en réalisant massacres et attentats en son nom.

    A la lumière du dernier attentat islamiste survenu à Londres vendredi dernier, cette omission révèle la grave responsabilité et la profonde inconscience de nombreux politiciens européens qui par leur politique immigrationniste ont favorisé l’inflation des actes terroristes au sein du Vieux Continent.

    Usman Khan, l’assassin du London Bridge, libre malgré une condamnation à 16 ans de prison pour avoir planifié un attentat à la Bourse de Londres, est l’illustration de la mollesse doublée d’un laxisme idéologique avec lesquels l’Europe affronte la lutte contre le terrorisme islamique.

    Les pays européens, malgré les nombreux attentats au nom d’Allah sur son sol, n’ont pas encore été capables de se doter d’une législation et de tribunaux spéciaux capables de garantir des détentions plus longues et la suspension des libérations conditionnelles pour les terroristes mahométans. Ces lacunes empêchent entre autres le rapatriement, la condamnation à des peines adéquates et le maintien en prison des quelques 1 200 combattants européens de Daesh détenus dans les prisons kurdes en Syrie.

    Mais l’incapacité d’imposer des peines sans rémission aux coupables de terrorisme est aussi le symptôme des contradictions d’un Vieux continent sans plus aucune colonne vertébrale. Nous combattons le terrorisme en Irak, en Syrie, en Libye, en Afghanistan mais nous oublions que ses mandataires et ses instigateurs sont dans nos villes depuis longtemps. Dans ces mosquées européennes transformées en terminaux bancaires d’importants flux monétaires, provenant de cette Arabie saoudite, filière de l’islam wahhabite fondement de Daesh, ou de la proche Turquie ou du Qatar, deux pays protecteurs et financiers de ces Frères musulmans toujours prêts à proclamer la supériorité de la charia sur les lois des États occidentaux.

    Et viennent amplifier cette tolérance dangereuse les politiques de cette gauche bien-pensante toujours prête au nom du politiquement correct et de la lutte contre l’islamophobie à empêcher une surveillance adéquate et, où cela est nécessaire, la répression et la mise hors-la-loi des groupes islamistes qui prétendent être accueillis en Europe mais refusent de respecter les ordonnances des nations qui les reçoivent. Autant dangereuses sont les tentatives politiques, sociétales et intellectualistes pour imposer aux européens le « vivre-ensemble », le ius culturae, le ius soli et toutes des idéologies de l’accueil sans limites, destinées à élargir la consistance des communautés islamistes déjà difficilement intégrables, et encore moins assimilables dans le contexte social et culturel européen.

    Un laxisme coupable qui finit par pousser les jeunes musulmans de la deuxième et troisième génération à l’intégration manquée vers la redécouverte de leur religion dans toute sa dimension intolérante. Un laxisme coupable et collaborateur du terrorisme islamiste.

    Elle leur va comme un gant, à tous ces bien-pensants, politiciens et technocrates européens, ces Ursula van der Leyen, Merkel, Macron et autres François, qui préfèrent détourner les yeux du problème islamiste pour se focaliser sur des changements climatiques douteux, cette condamnation proférée par Gunther, le chef des services secrets allemands dans le roman d’espionnage de John Le Carré, Un homme très recherché, à l’encontre de la jeune avocate gauchiste, bien-pensante, spécialisée dans l’aide aux « réfugiés », « assistante sociale pour terroristes »  comme il la surnomme :

    « On est dans le vrai monde Annabelle. On est en guerre contre la frange extrémiste d’une nation appelée Islam. Vous avez franchi les limites, vous êtes dans leur camp maintenant. »

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Climat : le mouvement de Greta Thunberg est financé par de riches mécènes

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2019

    Le Climate Emergency Fund, cofondé par des membres des familles Getty et Kennedy, soutient aussi le groupe radical Extinction Rebellion, qui pratique la désobéissance civile.

    La couleur du mouvement international de lutte contre le réchauffement climatique est aussi verte que les dollars qui le financent. Largement soutenues et promues par la jeune activiste écologiste suédoise de 16 ans, Greta Thunberg, les manifestations qui déferlent dans les grandes métropoles du monde depuis plusieurs mois sont en partie subventionnées par de richissimes personnalités, dont certaines appartiennent à d’illustres familles américaines. Une manne militante qui soutient même parfois des actions illégales de groupes radicaux.

    Le Climate Emergency Fund (CEF), un fond qui finance la désobéissance civile pour le climat, a été lancé en juillet dernier par trois multimillionnaires pour arroser « des activistes disruptifs », dixit Trevor Neilson, un des co-fondateurs. « L’investissement le plus intelligent pour les philanthropes vise cette nouvelle génération de militants qui refusent d’accepter les excuses des adultes dont l’approche paresseuse face au climat nous mène dans le précipice, a-t-il ainsi confié au New York TimesL'ère du gradualisme dans l'activisme environnemental est terminée. »

    Business, Malibu et feux de forêts

    Trevor Neilson est le PDG de la société i(x) investments, co-fondée avec le petit-fils du financier milliardaire et 3e fortune mondiale, Warren E. Buffett. Il a aussi été directeur exécutif de la Global Business Coalition, coalition de plus de 200 multinationales, dédiée aux questions de santé et créée avec Bill Gates, George Soros et Ted Turner. Ex-dirigeant de la Fondation Bill & Melinda Gates, Neilson a été nommé « Jeune leader global » par la Forum économique mondial

     

    Valeursactuelles.com via lesobservateurs

  • CLIMAT : LE DÉBAT CONFISQUÉ

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    POSTÉ LE AOÛT 20, 2019, 10:38

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    La revue « Nature Communications » a publié, dans sa livraison d’août 2019, un article « prouvant » que les « négationnistes du climat » (selon le jargon des journalistes français) étaient plus présents dans les médias que les « climatologues sérieux ».

    La première chose qui vient à l’esprit, c’est qu’une telle étude n’a guère d’intérêt dans une revue scientifique de premier plan. Certes, « Nature Communications » n’est qu’un « sous-produit » de la revue « Nature », mais cette dernière dilapide son crédit en étant associée à de telles « enquêtes ».

    Car cette enquête n’a rien de scientifique et relève plutôt de l’opération de basse police : il s’agit de « balancer » les noms des « mal-pensants » pour empêcher qu’ils soient publiés ou que leurs recherches soient financées.

    Rappelons que la science ne progresse que par la critique des « consensus » et qu’interdire toute critique du prétendu consensus sur le « réchauffement climatique d’origine anthropique » est le plus sûr moyen de ne jamais rien comprendre à l’évolution du climat dans le monde.

    Mais, surtout, sur le fond, la mauvaise foi le dispute à l’amateurisme. Tout est arbitrairement mélangé dans cet article bourré de statistiques, mais très peu scientifique.

    De multiples questions se trouvent ainsi « amalgamées » : Observe-t-on un réchauffement global ? Ce réchauffement est-il lié au CO2 ? Ce réchauffement est-il d’origine humaine ? Ce réchauffement est-il durable ? Ce réchauffement est-il dangereux ? Etc.

    Parler, comme le font les journalistes français signalant cette étude (mais comme se garde prudemment de le faire « Nature Communications »), de « négationnistes du climat » est à la fois absurde (douter du réchauffement climatique n’est pas douter de l’existence du climat !) et calomnieux.

    C’est d’autant plus grave que ce « négationnisme » risque d’être bientôt condamné par la loi comme l’autre – auquel il fait implicitement référence.

    Enfin, il faut vraiment prendre le public pour un ramassis d’abrutis pour oser prétendre que la thèse du réchauffement climatique d’origine anthropique est sous-représentée dans les médias. Il est impossible à la plupart des politiciens et des journalistes de mettre en doute ce « consensus » et ce serait l’opinion adverse qui musellerait le débat ?

    Au moins l’un des « négationnistes » visés, Lord Monckton of Brenchley, a annoncé son intention de porter plainte. Souhaitons que l’affaire aille jusqu’au bout : il est monstrueux que des commissaires politiques tentent ainsi d’intimider des scientifiques « dissidents » !

     

    Source : les4verites