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climat - Page 2

  • Greta Thumberg : « Le climat change à cause du racisme, du colonialisme, du patriarcat »

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2019

    La jeune Suédoise, Greta Thumberg, l’égérie écolo des sphères financières, le pantin désarticulé manipulé par des forces politiques dont elle n’a pas même un début de commencement d’idées de leur puissance, celle qui ne va pas à l’école et n’apprend rien, si tant est que l’on apprend encore quelques chose dans les écoles de la modernité et du progrès fabriques d’idiots utiles du système, est de tous les combats idéologiques de la gauche bien-pensante passée du rouge au vert. Il en va de la déconstruction de l’Occident et de la culpabilisation de l’homme blanc, en marche depuis la seconde guerre mondiale, et dont les élites mondialistes, vautrées dans un sentiment des plus masochistes, sont si friandes.

    La dernière trouvaille de Thumberg pour alimenter sa lutte environnementale si déconnectée des véritables préoccupations de la génération au-dessus d’elle, le monde de ceux qui travaillent et triment pour vivre, voire survivre, et faire vivre tous ces adolescents en mal de notoriété, et enfants gâtés de la post-modernité, est de relier changement climatique et racisme. Faire cause commune avec l’indigénisme, cette surenchère de l’anti-racisme, cette nouvelle mode médiatique du politiquement correct…

    « Après tout la crise climatique ne regarde pas seulement l’environnement. C’est une crise des droits humains, de justice et de volonté politique. Les systèmes d’oppression coloniale, raciste et patriarcale l’ont créée et alimentée. Nous devons tous les démanteler. Nos responsables politiques ne peuvent plus se soustraire à leurs responsabilité » a déclaré, dans une tribune publiée sur le Project Syndicate, cette pythie des temps modernes, interprète de la divinité des athées Gaïa. Et il se trouve dans le monde occidental déchristianisé, matérialiste et vide de sens, sans repères culturels et identitaires, des adultes débiles, et d’autres subversifs, des jeunes fragiles sans avenir et idéologiquement dociles, pour observer scrupuleusement les directives de cette froide jeune fille, au visage sans expression et à la colère enfantine, agent de recyclage des slogans de la gauche progressiste. Le millénarisme apocalyptique de Greta Thumberg épouse les idées radicales et extrémistes du marxisme sociétal, celui de l’anti-racisme, de l’anti-colonialisme, de l’anti-patriarcat.

    Et voici donc les trois « anti » politiquement corrects qui viennent à la rescousse du combat écolo anti-changement climatique, on ne voit pas trop sur quelles bases scientifiques… mais on voit bien par là que le combat de l’activiste suédoise n’est autre que l’agenda politique de la révolution mondiale totalitaire en marche

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les priorités de l’Europe : engagement sur le climat et laxisme sur l’islamisme

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    Énonçant les priorités de la Commission européenne, la présidente Ursula von der Leyen a mis en premier la lutte contre les changements climatiques. Quant à la sécurité et la nécessité de combattre le terrorisme islamique, elles ont été expédiées. Une omission révélatrice de l’état d’esprit de l’ex-ministre de la Défense de l’Allemagne où des centaines de djihadistes ont embrassé la cause du Califat en réalisant massacres et attentats en son nom.

    A la lumière du dernier attentat islamiste survenu à Londres vendredi dernier, cette omission révèle la grave responsabilité et la profonde inconscience de nombreux politiciens européens qui par leur politique immigrationniste ont favorisé l’inflation des actes terroristes au sein du Vieux Continent.

    Usman Khan, l’assassin du London Bridge, libre malgré une condamnation à 16 ans de prison pour avoir planifié un attentat à la Bourse de Londres, est l’illustration de la mollesse doublée d’un laxisme idéologique avec lesquels l’Europe affronte la lutte contre le terrorisme islamique.

    Les pays européens, malgré les nombreux attentats au nom d’Allah sur son sol, n’ont pas encore été capables de se doter d’une législation et de tribunaux spéciaux capables de garantir des détentions plus longues et la suspension des libérations conditionnelles pour les terroristes mahométans. Ces lacunes empêchent entre autres le rapatriement, la condamnation à des peines adéquates et le maintien en prison des quelques 1 200 combattants européens de Daesh détenus dans les prisons kurdes en Syrie.

    Mais l’incapacité d’imposer des peines sans rémission aux coupables de terrorisme est aussi le symptôme des contradictions d’un Vieux continent sans plus aucune colonne vertébrale. Nous combattons le terrorisme en Irak, en Syrie, en Libye, en Afghanistan mais nous oublions que ses mandataires et ses instigateurs sont dans nos villes depuis longtemps. Dans ces mosquées européennes transformées en terminaux bancaires d’importants flux monétaires, provenant de cette Arabie saoudite, filière de l’islam wahhabite fondement de Daesh, ou de la proche Turquie ou du Qatar, deux pays protecteurs et financiers de ces Frères musulmans toujours prêts à proclamer la supériorité de la charia sur les lois des États occidentaux.

    Et viennent amplifier cette tolérance dangereuse les politiques de cette gauche bien-pensante toujours prête au nom du politiquement correct et de la lutte contre l’islamophobie à empêcher une surveillance adéquate et, où cela est nécessaire, la répression et la mise hors-la-loi des groupes islamistes qui prétendent être accueillis en Europe mais refusent de respecter les ordonnances des nations qui les reçoivent. Autant dangereuses sont les tentatives politiques, sociétales et intellectualistes pour imposer aux européens le « vivre-ensemble », le ius culturae, le ius soli et toutes des idéologies de l’accueil sans limites, destinées à élargir la consistance des communautés islamistes déjà difficilement intégrables, et encore moins assimilables dans le contexte social et culturel européen.

    Un laxisme coupable qui finit par pousser les jeunes musulmans de la deuxième et troisième génération à l’intégration manquée vers la redécouverte de leur religion dans toute sa dimension intolérante. Un laxisme coupable et collaborateur du terrorisme islamiste.

    Elle leur va comme un gant, à tous ces bien-pensants, politiciens et technocrates européens, ces Ursula van der Leyen, Merkel, Macron et autres François, qui préfèrent détourner les yeux du problème islamiste pour se focaliser sur des changements climatiques douteux, cette condamnation proférée par Gunther, le chef des services secrets allemands dans le roman d’espionnage de John Le Carré, Un homme très recherché, à l’encontre de la jeune avocate gauchiste, bien-pensante, spécialisée dans l’aide aux « réfugiés », « assistante sociale pour terroristes »  comme il la surnomme :

    « On est dans le vrai monde Annabelle. On est en guerre contre la frange extrémiste d’une nation appelée Islam. Vous avez franchi les limites, vous êtes dans leur camp maintenant. »

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Climat : le mouvement de Greta Thunberg est financé par de riches mécènes

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2019

    Le Climate Emergency Fund, cofondé par des membres des familles Getty et Kennedy, soutient aussi le groupe radical Extinction Rebellion, qui pratique la désobéissance civile.

    La couleur du mouvement international de lutte contre le réchauffement climatique est aussi verte que les dollars qui le financent. Largement soutenues et promues par la jeune activiste écologiste suédoise de 16 ans, Greta Thunberg, les manifestations qui déferlent dans les grandes métropoles du monde depuis plusieurs mois sont en partie subventionnées par de richissimes personnalités, dont certaines appartiennent à d’illustres familles américaines. Une manne militante qui soutient même parfois des actions illégales de groupes radicaux.

    Le Climate Emergency Fund (CEF), un fond qui finance la désobéissance civile pour le climat, a été lancé en juillet dernier par trois multimillionnaires pour arroser « des activistes disruptifs », dixit Trevor Neilson, un des co-fondateurs. « L’investissement le plus intelligent pour les philanthropes vise cette nouvelle génération de militants qui refusent d’accepter les excuses des adultes dont l’approche paresseuse face au climat nous mène dans le précipice, a-t-il ainsi confié au New York TimesL'ère du gradualisme dans l'activisme environnemental est terminée. »

    Business, Malibu et feux de forêts

    Trevor Neilson est le PDG de la société i(x) investments, co-fondée avec le petit-fils du financier milliardaire et 3e fortune mondiale, Warren E. Buffett. Il a aussi été directeur exécutif de la Global Business Coalition, coalition de plus de 200 multinationales, dédiée aux questions de santé et créée avec Bill Gates, George Soros et Ted Turner. Ex-dirigeant de la Fondation Bill & Melinda Gates, Neilson a été nommé « Jeune leader global » par la Forum économique mondial

     

    Valeursactuelles.com via lesobservateurs

  • CLIMAT : LE DÉBAT CONFISQUÉ

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    POSTÉ LE AOÛT 20, 2019, 10:38

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    La revue « Nature Communications » a publié, dans sa livraison d’août 2019, un article « prouvant » que les « négationnistes du climat » (selon le jargon des journalistes français) étaient plus présents dans les médias que les « climatologues sérieux ».

    La première chose qui vient à l’esprit, c’est qu’une telle étude n’a guère d’intérêt dans une revue scientifique de premier plan. Certes, « Nature Communications » n’est qu’un « sous-produit » de la revue « Nature », mais cette dernière dilapide son crédit en étant associée à de telles « enquêtes ».

    Car cette enquête n’a rien de scientifique et relève plutôt de l’opération de basse police : il s’agit de « balancer » les noms des « mal-pensants » pour empêcher qu’ils soient publiés ou que leurs recherches soient financées.

    Rappelons que la science ne progresse que par la critique des « consensus » et qu’interdire toute critique du prétendu consensus sur le « réchauffement climatique d’origine anthropique » est le plus sûr moyen de ne jamais rien comprendre à l’évolution du climat dans le monde.

    Mais, surtout, sur le fond, la mauvaise foi le dispute à l’amateurisme. Tout est arbitrairement mélangé dans cet article bourré de statistiques, mais très peu scientifique.

    De multiples questions se trouvent ainsi « amalgamées » : Observe-t-on un réchauffement global ? Ce réchauffement est-il lié au CO2 ? Ce réchauffement est-il d’origine humaine ? Ce réchauffement est-il durable ? Ce réchauffement est-il dangereux ? Etc.

    Parler, comme le font les journalistes français signalant cette étude (mais comme se garde prudemment de le faire « Nature Communications »), de « négationnistes du climat » est à la fois absurde (douter du réchauffement climatique n’est pas douter de l’existence du climat !) et calomnieux.

    C’est d’autant plus grave que ce « négationnisme » risque d’être bientôt condamné par la loi comme l’autre – auquel il fait implicitement référence.

    Enfin, il faut vraiment prendre le public pour un ramassis d’abrutis pour oser prétendre que la thèse du réchauffement climatique d’origine anthropique est sous-représentée dans les médias. Il est impossible à la plupart des politiciens et des journalistes de mettre en doute ce « consensus » et ce serait l’opinion adverse qui musellerait le débat ?

    Au moins l’un des « négationnistes » visés, Lord Monckton of Brenchley, a annoncé son intention de porter plainte. Souhaitons que l’affaire aille jusqu’au bout : il est monstrueux que des commissaires politiques tentent ainsi d’intimider des scientifiques « dissidents » !

     

    Source : les4verites

  • La grève pour le climat et Greta Thunberg : un autre abus de mineurs

    Publié par Guy Jovbelin le 17 mars 2019

    Hier vendredi 15 mars, dans une centaine de pays, les étudiants et les lycéens-collégiens ont fait « grève » pour protester contre les politiciens qui ne prennent pas, selon eux, de mesures fortes contre le réchauffement climatique global.

    Une initiative, qui d’après la narration officielle, naît de l’exemple de la jeune Suédoise de 16 ans, Greta Thunberg. C’est la vraie “rock-star” du moment. En première page de tous les grands journaux mainstream de l’univers : tout le monde en parle, lui offre des entretiens ! La consécration définitive est arrivée cette semaine : l’adolescente activiste, promotrice de cette « marche des jeunes pour le climat »,  Climate Strikeen Europe et ailleurs, a été proposée pour recevoir le Prix Nobel de la Paix « en signe de reconnaissance pour son engagement contre la crise climatique et le réchauffement global ».

    Lors d’un de ces nombreux entretiens, Greta Thunberg a déclaré au quotidien italien radical-chic La Repubblica :

    « Nous sommes en plein dans une crise. Et c’est la plus urgente et grave que le genre humain a eu à affronter. Nous sommes en train de scier la branche sur laquelle nous sommes assis et la majeure partie de la population mondiale n’a pas idée des conséquences possibles à cause de notre incapacité à réagir. »

    Mais les choses sont un peu plus complexes : derrière cette mobilisation, derrière cette jeune autiste, affectée du syndrome d’Asperger, se cachent des élites écologistes et fondations américaines qui sont en train d’utiliser les jeunes pour des batailles qui valent des centaines de milliards de dollars !

    Greta Thunberg, qui tous les vendredis s’assoit en face du parlement suédois avec une pancarte dans les mains sur laquelle est écrit ‘Skolstrejk för klimatet’, « grève de l’école pour le climat », n’est pas un phénomène spontané né de nulle part mais est habillement utilisée dans une stratégie de marketing.

    Andreas Henriksson, fameux journaliste d’investigation suédois, a dévoiler le pot-aux-roses. Après reconstitution des événements, il a découvert que cette grève scolaire faisait partie d’une stratégie publicitaire pour lancer Scenes from the Heart, le nouveau livre de la mère de Greta, la célèbre chanteuse Malena Ernman, et que le grand stratège de cette campagne est un ami de la famille, Ingmar Rentzhog, expert en marketing et publicité. Ce dernier a profité, de son côté, de l’image de la jeune fille pour lancer sa start-up, We Do not Have Time (Nous n’avons pas le temps) ayant pour but d’influencer les décisions des politiques contre le réchauffement climatique. Ingmar Rentzhog se vante pourtant « d’avoir découvert la jeune fille » sur le trottoir et ensuite « d’avoir fait croître sa popularité ». Très rapidement, grâce à Greta, l’icône de We Do not Have Time, cette start-up décolle, et lance une campagne de  crowdfunding pour environ 2,8 million de euros

    Rien de vraiment fortuit, rien de vraiment spontané : l’immédiat succès de Greta est du à une habille propagande, relayée par le monde médiatique politiquement et climatiquement correct, en direction tout particulièrement de ces jeunes générations endoctrinées. Cette campagne climato-fanatique vise à soulever une population juvénile, que l’on a matraqué depuis des décennies avec une propagande sans fin et anxyogène sur l’éminence d’une catastrophe climatique. Et ce dans le but de contraindre les gouvernements à approuver des législations écologiques, véritable carcan pour les classes moyennes et pauvres des pays occidentaux (la révolte desGilets jaunes prend sa source dans l’augmentation du prix de l’essence et diesel, ces énergies fossiles qu’il faut éliminer selon la doxa écologique !). Ces jeunes sont devenus des proies faciles et dociles entre les mains d’élites et de fondations de milliardaires, telle la Fondation Rockefellerqui sont en train d‘imposer une dictature globale au nom de la lutte contre les changements climatiques tout en encaissant des milliards de dollars.

    Le tout a une saveur d’exploitation d’enfants. Plus grave, cette manipulation de Greta et des jeunes, bien comparable à l’endoctrinement des jeunes esprits pratiqué dans les régimes totalitaires, se fait au nom de la lute contre un « changement climatique » sur lequel les hommes ne peuvent rien … puisque le climat a toujours changé au fil des siècles !

    Mais ces mêmes élites globalistes et écologiques l’imputent à l’homme : le grand péché d’aujourd’hui c’est de respirer, la pénitence c’est de payer la taxe carbone !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info