Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2021
Pour rappel, la France enregistre environ 610 000 décès chaque année (les chiffres mentionnés ci-dessus par la JHU portent sur une période de 16 mois).
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2021
Pour rappel, la France enregistre environ 610 000 décès chaque année (les chiffres mentionnés ci-dessus par la JHU portent sur une période de 16 mois).
Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2021
Lu dans Le Quotidien du médecin :
Après une première série de plaintes en décembre contre six médecins – dont les Prs Didier Raoult et Christian Perronne, après des propos controversés sur l’épidémie de Covid-19 – le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) aurait décidé de saisir les chambres disciplinaires de première instance de plaintes (CDPI) ou de s’associer à une plainte en cours, à l’égard de dix praticiens : les Drs Martine Wonner, Louis Fouché, le Pr Luc Montagnier, les Drs Peter El Baze (généraliste retraité), Vincent Reliquet (généraliste), Antoine Venault (généraliste), Denis Agret (généraliste et urgentiste), Laurent Montesino (anesthésiste-réanimateur), Hélène Bouscal (généraliste) et François-Xavier Richez (généraliste).
Cette décision, révélée le 9 juillet par l’agence de presse médicale APMNews, fait suite à une session qui s’est tenue les 24 et 25 juin, où l’instance ordinale a examiné plusieurs plaintes ou signalements visant des médecins, pour des faits ou propos tenus publiquement sur la pandémie de coronavirus.
Parmi les médecins visés, on retrouve le Dr Martine Wonner, psychiatre et députée du Bas-Rhin, qui a contesté depuis des mois le port du masque et les bienfaits de la vaccination contre le Covid.
Dans un avis rendu hier sur le projet de loi liberticide du gouvernement, le Conseil d’Etat entérine le passe sanitaire et l’obligation vaccinale :
D’une part, il estime que le contexte sanitaire actuel et son évolution prévisible justifient le maintien jusqu’au 31 décembre 2021 des dispositions organisant le régime de sortie de l’état d’urgence sanitaire et permettant l’édiction des mesures de police sanitaires nécessaires à la lutte contre l’épidémie. D’autre part, le Conseil d’Etat admet la généralisation à la vie quotidienne de l’obligation de passe sanitaire. […]
Le Conseil d’Etat considère que l’instauration d’une obligation vaccinale à l’égard de professionnels de santé et de ceux travaillant aux côtés de personnes vulnérables est proportionnée à la lutte contre l’épidémie de la Covid-19 et ne se heurte, dans son principe, à aucun obstacle d’ordre constitutionnel ou conventionnel. Il constate que la liste des personnes concernées à travers leur lieu de travail et leur profession est précisément fixée par le texte. […]
Le Conseil d’Etat admet que le législateur peut créer un motif spécifique de suspension des fonctions et des contrats de travail, impliquant l’interruption du versement de la rémunération […].
S’agissant des salariés soumis au passe sanitaire car ils travaillent dans un établissement soumis à cette obligation (activités de loisirs, culturelles, restaurants,…), le Conseil d’Etat estime que le fait d’imposer la détention du passe sanitaire à l’ensemble des professionnels et bénévoles intervenant dans ces établissements ne porte pas une atteinte disproportionnée à la liberté d’exercice de leur activité professionnelle par les intéressés. Il retient le fait que ceux qui ne disposeraient pas d’un justificatif de vaccination pourront toujours présenter un certificat de dépistage négatif et que seuls ceux d’entre eux qui s’abstiendraient de présenter un tel certificat de vaccination pendant une période de deux mois consécutifs s’exposeraient à un licenciement ou à une cessation de fonction. […]
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2021
Après la pédagogie, puis le durcissement des mesures, l’exécutif assène les coups. Dimanche, dans une interview au Parisien, le porte-parole du gouvernement s’en est violemment pris aux manifestations organisées en opposition à l’extension du pass sanitaire, annoncé lundi dernier par Emmanuel Macron et qui sera au menu du Conseil des ministres du 19 juillet.
Gabriel Attal a ainsi distingué deux France. D’après lui, l’une est “laborieuse et volontariste, [et] veut mettre le virus derrière elle et travailler“. Cette dernière, “largement majoritaire“, est à distinguer d’une autre, “une frange capricieuse et défaitiste, très minoritaire, qui se satisferait bien de rester dans le chaos et l’inactivité“. “Entre les deux, il y a évidemment des Français qui doutent sincèrement, à convaincre“, a-t-il toutefois concédé.
Pour Gabriel Attal, la lutte face au virus n’est désormais possible qu’à condition de protéger l’ensemble de la vaccination grâce au vaccin. “Il faut être clair : dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral, il n’y a pas d’alternative“.
Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021
Interdits d’université, d’hôpital ou de supermarché… Des millions de Chinois sont menacés d’être mis au ban de la société s’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid-19, selon des directives adoptées par une vingtaine de collectivités locales.
La Chine, où le coronavirus a fait son apparition à la fin de 2019, a déjà administré plus de 1,4 milliard de doses de ses vaccins et prévoit d’immuniser totalement les deux tiers de sa population d’ici à la fin de l’année. Mais nombre de Chinois ne sont pas convaincus, soit qu’ils doutent de l’efficacité des vaccins, soit qu’ils ne jugent pas nécessaire de le faire puisque l’épidémie est pratiquement éradiquée dans le pays.
Mais alors que le variant Delta, plus contagieux, circule dans les pays voisins, plusieurs villes et comtés tentent d’imposer la vaccination à leurs habitants — une démarche qui pourrait annoncer des mesures prises au plan national. Dans le Yunnan, la ville de Chuxiong (510.000 habitants) a ainsi annoncé mercredi 14 juillet au soir que tous les citoyens de plus de 18 ans devraient avoir reçu au moins une dose de vaccin avant le 23 juillet. Les récalcitrants «ne seront pas admis dans les lieux publics tels que hôpitaux, maisons de retraite, écoles, bibliothèques, musées, prisons ou transports publics», a averti la mairie. Un mois plus tard, seules les personnes ayant reçu deux injections pourront accéder à ces lieux.
Dans le Henan, le comté de Tianhe a pour sa part menacé de licencier les fonctionnaires non vaccinés d’ici au 20 juillet, selon un avis publié lundi. Ces différentes mesures ont été critiquées sur les réseaux sociaux. «D’abord on nous a dit que la vaccination était facultative et maintenant ça devient obligatoire», tempête un internaute sur le réseau Weibo. «Je viens d’avoir ma deuxième dose mais cette politique ressemble à un oukase», se plaint un autre utilisateur. […]
Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021