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covid-19 - Page 6

  • Ignace – Macron atteint du covid

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Auteur : 

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    Source : medias-presse.info

  • Création d'un passeport sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Sous l'œil bienveillant du Premier ministre, le groupe UDI a proposé à l'Assemblée nationale la création d'un passeport sanitaire établi après vaccination contre le COVID, document sans lequel il serait impossible de se rendre dans un restaurant, un cinéma, un théâtre, un musée, de prendre l'avion et sans doute le train.
    C'est la version française du passeport interne soviétique et de la propiska.
    Les réfractaires seront mis au ban de la Nation, les dissidents condamnés à la mort civile, et un jour ou l'autre, les déviants internés dans une psikkushka. Dictature sanitaire, Beria pas mort.
    JFT.
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  • Covid-19 : l’horreur progressiste démasquée.

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Depuis le début de la pandémie, le  est le mot qui revient à chaque fois à la charge pour justifier toutes les mesures de  et autres, au nom de la préservation de la santé, du caractère sacré de la vie. Thème récurrent du progressisme, que l’on retrouve d’ailleurs dans des pays comme Cuba qui, bien que très pauvre, et totalement privé de toute liberté, est doté d’un système de santé que bien des pays peuvent lui envier.

    covid-19,l'horreur progressiste démasquéeSi le premier confinement pouvait se justifier par l’effet de surprise, la méconnaissance du virus, l’impréparation de notre système de santé, le même argument ne tient plus aujourd’hui. Les mesures liberticides d’ampleur exceptionnelle prises en France, bien plus sévères que partout ailleurs, ne se justifient que par l’incompétence de ce gouvernement à adapter notre système de santé au risque, alors qu’il a disposé de huit mois pour améliorer les capacités hospitalières ! Il a gaspillé ce temps et, aujourd’hui, ce sont les Français qui paient au prix fort les pots cassés de ses errances.

    Progressisme signifierait protection de la santé : oui, mais visiblement pas pour toutes les pathologies. Car si les statistiques nous font un état précis quotidien de la mortalité due au Covid-19, personne ne nous parle des décès liés à des reports de soin, d’examen, pour les autres maladies. Très peu nous parlent de mal-être des Français : il y aurait un doublement des cas de dépression nerveuse. La tristesse et la détresse s’installent dans nos populations. Et il y a de quoi. De nombreuses professions se voient interdites de travailler, d’exploiter leur commerce, de gagner leur vie : restaurateurs, exploitants de salles de cinéma, de spectacle, de discothèque, et bien d’autres. Ces gens se voient privés de revenu, accablés par les charges et les crédits, dépossédés de leur droit fondamental à travailler : ils sont des centaines de milliers en France. Ils sont au bord de la rupture économique, sociale, familiale, psychique, mais pour eux, le progressisme ne compte pas : ils n’ont qu’à faire comme tout les assistés, attendre patiemment que le gouvernement daigne leur débloquer des aides qui ne couvrent même pas 20 % de leurs besoins… Pas grave, ils ne sont pas essentiels, nous dit-on…

    Des humoristes « progressistes » salariés du service public ont même été jusqu’à se moquer d’eux, les « chouineurs »… Les vieux n’ont, eux, qu’à rester à l’isolement, et tant pis s’ils meurent de chagrin. Pour les jeunes, pas de travail, pas de cours à l’université, pas de sortie, pas de distraction, pas le moindre job en vue en cette période de récession sans précédent : ne vous plaignez pas, le pouvoir vous sauve la vie, et celle de vos aînés…

    Cette année, la dépense publique en France va atteindre les 63 % du PIB : un score inégalé, digne de la Hongrie ou de la Pologne au temps du bloc soviétique. Mais peut-être est-ce là le vrai but recherché par le « progressisme » qui, depuis Marx, s’oppose au « populisme » réactionnaire des petits propriétaires ? Pendant que Macron et sa bande versent des larmes de crocodile sur les indépendants, ce sont Amazon et les GAFAM qui se frottent les mains de sa politique. Que deviendront nombre de commerces et restaurants poussés à la faillite ? Nombre d’entre eux seront probablement, demain, la propriété de grands groupes, grandes banques qui les rachèteront à la casse.

    Doit-on vivre seulement pour ne pas mourir ? C’est le choix qu’un régime comme celui de Cuba a proposé à son peuple. C’est un choix que le progressisme nous impose aujourd’hui sans nous permettre d’évaluer le pour et le contre. Comme il nous a déjà imposé le libre-échangisme, l’immigration de masse : à chaque fois, on nous pousse dans un sens précis sans nous permettre d’évaluer sérieusement les tenants et aboutissants. Après nous avoir dépouillé de nos usines, de nos emplois, de notre identité, de notre sécurité, voilà qu’on veut s’emparer de nos libertés et de ce qu’il nous reste de patrimoine. Mais rassurez-vous, c’est pour notre santé que le gouvernement progressiste agit ainsi…

     

    Olivier Piacentini

    Ecrivain, politologue
     
  • Blanche neige et Halluciné : danger, nouvelles bouffées délirantes

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2020

    Blanche neige et Halluciné : danger, nouvelles bouffées délirantes

    nouvelles bouffées délirantes

    Le nain Joyeux (le Professeur Salomon, le morbide des décomptes ; pas celui qui veut que Brigitte mange sa part de bûche de Noël à la cuisine pendant qu’Emmanuel mangerait la sienne à la salle à manger) l’avait annoncé :

    « Nous devons tous être sensibilisés aux conséquences de l’épidémie de Covid-19 sur la santé mentale de la population »

    Confirmation avec une nouvelle épidémie de bouffées délirantes, hier 1er décembre, chez Blanche-Neige-Macron et sa bande de nains.

    Blanche-Neige venait d’obtenir un succès diplomatique majeur lors de sa rencontre avec le Premier ministre du Royaume de Belgique ; il avait obtenu que les téléskis belges restent à l’arrêt pendant les vacances de Noël. Mais ayant appris que l’Autriche et la Suisse garderaient les leurs en activité, Blanche-Neige a sorti le grand jeu sanitaire : pas question qu’on aille là-bas pour choper le virus !

    « S’il y a des pays de l’UE ou hors UE qui maintiennent leurs stations ouvertes, nous aurons des mesures en effet de contrôle pour d’abord dissuader plutôt nos concitoyens d’aller dans des zones où on considère qu’il y a des risques d’infection, et pour ne pas aussi créer une situation, si je puis dire, de déséquilibre avec une situation en France…  Oui, nous aurons des mesures restrictives et dissuasives, je vous le confirme, et elles seront affinées dans les prochains jours ».

    Vlan ! Et nous qui avions compris que, n’est-ce-pas, le virus n’avait pas de frontière et que le protectionnisme, c’est vilain…

    Le chef des nains, Halluciné, n’a pas voulu être en reste. Il a, lui, déclaré à l‘Assemblée nationale ce même 1er décembre :

    « Nous avons été conduits à prendre, en France comme ailleurs en Europe, après la flambée épidémique grave qui a caractérisé l’ensemble de notre continent à la fin du mois d’octobre, des mesures difficiles, qui ont été critiquées à l’envi. Ces mesures étaient nécessaires, et la meilleure preuve en est leur résultat et non l’opinion que peuvent en avoir les uns ou les autres. Vous avez raison de le rappeler mais il faut le dire avec prudence et humilité, notamment à l’endroit de celles et ceux qui donnent beaucoup de leçons avec une grande assurance et en permanence, les résultats enregistrés par la France sont actuellement les plus favorables en Europe. Et pour la première fois nous avons de meilleurs résultats que l’Allemagne ».

    En réalité, nous avons appris depuis qu’en effet, Halluciné avait décidé de terminer l’année à la première place européenne tant pour la baisse du PIB que pour le nombre de morts par habitant et le nombre de personnes soignées pour troubles de dépression. Une triple couronne dont on aurait dit en début d’année qu’elle était totalement hors d’atteinte du pays ayant le meilleur-système-de-soins-que-le-monde-nous-envie. Mais grâce aux efforts continus et acharnés de Blanche-Neige et sa bande de nains, la France est effectivement maintenant en pole position.

    Quant à Grincheux (M.Véran), cela fait longtemps qu’il est étrangement silencieux. D’aucuns ont cru qu’il avait attrapé le covid et se faisait soigner secrètement à l’IHM. En réalité, Grincheux travaille très dur pour faciliter l’acceptation du vaccin contre le coronavirus par la population. Sa dernière idée ? Une dose de vaccin donnerait droit à une dose de remdesivir gratuite. Que voulez-vous, il y en a tellement sur étagères…

     

    Source : lesalonbeige

  • COVID-19 : les Français solidaires, mais pas pigeons !

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2020

    Rédigé par notre équipe le 02 novembre 2020.

    Assurance_COVID_pertes_exploitation

    Frappés de plein fouet par la crise du COVID-19, de nombreuses professions accusent le coup, parmi lesquelles, les restaurateurs, qui cherchent par tous les moyens à obtenir réparation auprès de leurs assureurs. Problème : leur potentielle prise en charge est étroitement liée aux cotisations des Français…

    Qui n’a jamais pesté contre son assureur pour la simple et bonne raison que celui-ci rechignait à le rembourser ? En raison de la crise actuelle, les assureurs français sont plus que jamais pris à partie, notamment par les restaurateurs, qui multiplient les actions en justice pour exiger la prise en charge de leurs pertes d’exploitation, qu’on leur refuse jusqu’alors.

    Si tout un chacun ne peut que s’émouvoir de la situation et de ses implications pour celles et ceux qui, d’ordinaire, nous accueillent et nous servent, et prendre leur parti contre les méchants assureurs, qui, dans l’imaginaire collectif – bien souvent à raison –  engrangent les deniers quand tout va bien, mais se montrent bien moins charitables lorsqu’il s’agit d’indemniser leurs assurés, la question de la prise en charge des pertes d’exploitation liées au COVID-19 doit être abordée selon un prisme des plus rationnels.

    Car au-delà de l’aspect émotionnel d’un tel affrontement, qui amène chacun d’entre nous à se ranger du côté des victimes, des logiques mathématiques sont à l’œuvre, et elles pourraient bien prendre au dépourvu bon nombre de Français.

    Risque pandémique, quèsaco ?

    Le principe assurantiel est simple : chaque mois, l’assuré paye un ensemble de « risques » – calculés sur une série de variables allant de son passif au nombre de chevaux que possède son véhicule – à son assureur qui, en cas de pépins et selon certaines conditions, lui vient en aide, financièrement et/ou physiquement. En toute logique, plus la couverture proposée par l’assureur est étendue, plus le coût mensuel de celle-ci est élevé, les risques à couvrir étant plus nombreux.

    Or, depuis toujours, l’écrasante majorité des contrats assurantiel proposés en France ne couvrent pas les risques liés aux virus et autres microorganismes – parmi lesquels le COVID-19 -, ces derniers faisant partie des clauses d’exclusion contractuelles. En d’autres termes, les assurés n’ont jamais cotisé pour ce « risque », les empêchant, de fait, de réclamer sa couverture. Ceci étant dit, la situation étant pour le moins exceptionnelle, celle-ci appelle à une solidarité exceptionnelle.

    Oui, mais jusqu’à quel point ? Car si les assureurs n’ont jamais récolté de cotisations en prévision du risque pandémique, il n’existe aucune réserve devant permettre sa prise en charge. Dès lors, si la justice vient à obliger les assureurs à prendre en charge les pertes d’exploitation liées au COVID-19 des restaurateurs français, ils devront aller chercher l’argent là où il se trouve : dans la poche des autres assurés, c’est-à-dire des Français !

    Au bas mot, la couverture du risque pandémique se chiffre à 60 milliards d’euros, qui, rapportés au nombre d’assurés français, impliqueraient pour chacun d’entre eux une augmentation de 15€ de leur cotisation mensuelle. Le tout pour permettre aux restaurateurs français de réaliser un bénéfice similaire à celui de l’année passée !

    Solidarité à sens unique

    Cette logique mathématique est bien évidemment mise de côté par le syndicat des restaurateurs, l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH), qui n’a de cesse de se présenter en victime de la crise et d’exiger la prise en charge des pertes d’exploitation des restaurateurs français par les assureurs.

    Plus roublards, les grands avocats parisiens mandatés par l’UMIH n’hésitent pas à tordre le cou au droit pour obtenir gain de cause. En témoigne les récents jugement rendu par les tribunaux de Commerce – qui n’ont pas peur du ridicule – en faveur des restaurateurs. Dans ces décisions, les juges non-professionnels de la justice commerciale retiennent souvent que les pertes d’exploitation des restaurateurs ne sont pas directement liées au COVID-19 !

    Comme si le confinement avait été décrété pour une autre raison que le COVID-19 !  Et l’instance de lobbying des restaurateurs d’appeler l’ensemble des restaurateurs français à avancer des arguments similaires devant les tribunaux ! Quitte donc à ce que, in fine, on vienne faire les poches des autres assurés français.

     

    Source : 24heuresactu