Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2024

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Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2024

Publié par Guy de Laferrière le 29 novembre 2024
Piotr Tolstoï confirme que l’escalade actuelle entre la Russie et les États-Unis est une réalité incontournable. Il souligne que l’administration Biden laisse un héritage difficile pour la future administration Trump. Selon lui, l’Europe a perdu sa souveraineté pendant que la Russie se concentre sur ses propres intérêts, notamment la situation en Ukraine.
La position de la Russie et les médias : Une rupture irréparable ?
Le vice-président de la Douma critique la décision de la France d’autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles français à longue portée, affirmant que cela montre que les mises en garde russes ne sont pas prises au sérieux. Il souligne que la Russie n’a pas encore répondu aux frappes sur les centres de commandement européens, mais que toute escalade supplémentaire pourrait entraîner une guerre ouverte avec l’OTAN.
Publié par Guy de Laferrière le 24 novembre 2024

Publié par Guy de Laferrière le 24 novembre 2024

Au cours de cet échange, Jean-Noël Barrot a expliqué que l’Ukraine pourrait tirer des missiles français à longue portée sur la Russie « dans une logique de légitime défense ». En revanche, il n’a pas confirmé si des armes françaises avaient déjà été utilisées. « Le principe a été posé… nos messages au président Zelensky ont été bien reçus », a-t-il glissé.
Il s’agit ici d’une prise de position « significative », note la BBC, rappelant dans la foulée que le président Macron « a indiqué plus tôt cette année que la France était prête à autoriser le tir de missiles vers la Russie ». Les mots du chef de la diplomatie prennent toutefois un sens assez fort dans le contexte actuel, « quelques jours après que des missiles à longue portée américains et britanniques ont été utilisés de cette manière pour la première fois ».
Jean-Noël Barrot estime que les alliés occidentaux ne devraient pas fixer de limites au soutien à l’Ukraine contre la Russie et « ne pas fixer et exprimer de lignes rouges ». Ce soutien pourrait-il conduire jusqu’à l’envoi de troupes françaises au combat ? « Nous n’écartons aucune option », a-t-il répondu.
« Nous soutiendrons l’Ukraine aussi intensément et aussi longtemps que nécessaire », a poursuivi le ministre. « Parce que c’est notre sécurité qui est en jeu. Chaque fois que l’armée russe avance d’un kilomètre carré, la menace se rapproche d’un kilomètre carré de l’Europe », a-t-il déclaré.
Source : lesmoutonsrebelles
Publié par Guy de Laferrière le 17 novembre 2024
