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france - Page 55

  • Catastrophe médicale annoncée : en France, plus de la moitié des médecins ont plus de 60 ans

    Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2021

    Catastrophe médicale annoncée : en France, plus de la moitié des médecins ont plus de 60 ans

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    C’est la conséquence directe du numerus clausus, instauré en 1971. En France, plus de la moitié des médecins ont plus de 60 ans, selon un document du Conseil national de l’Ordre des Médecins.

    Et pour ceux qui restent, la tension est palpable, comme l’explique ce médecin radiologue sur Twitter, qui a décidé de démissionner de son poste de MCU-PH (Maître de Conférences des Universités – Praticien Hospitalier), annonçant la fin de notre système hospitalo-universitaire (que le monde nous envie…).

    Et pendant ce temps, le ministre essaie de comprendre…

     

    Source : lesalonbeige
  • La France transforme 1,14 milliard d’euros de dette ivoirienne en subventions au bénéfice de la Côte d’Ivoire

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    La France a signé mercredi avec la Côte d’Ivoire un «contrat de désendettement et de développement», un accord visant à transformer une partie des dettes ivoiriennes en subventions à son propre bénéfice, pour 1,14 milliard d’euros. Cette mesure, entérinée mercredi par le ministre de l’Économie Bruno Le Maire et son homologue ivoirien Adama Coulibaly, vise «à mobiliser, tant au niveau bilatéral que multilatéral, les financements nécessaires aux besoins des pays en développement, en particulier en Afrique», indique le ministère français dans un communiqué.

    Le Figaro via fdesouche

  • Rapport Blanchard sur les noms de rues : 318 noms de personnalités “issues de la diversité” pour baptiser des rues, l’Algérie surreprésentée

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021

    A la demande d’Emmanuel Macron, une équipe de chercheur dirigée par Pascal Blanchard a proposé 318 noms de personnalités issues de la diversité pour baptiser des rues. Dans une note à l’Institut Thomas More, Julien Volper, conservateur de musée et maître de conférences en histoire de l’art africain, dénonce la méthode et l’idéologie qui sous-tend ce rapport. Le rapport a été remis à la ministre de la cohésion des territoires et la ministre de la ville.

    L’idée était de fournir un catalogue de 318 noms de personnalités historiques, plus ou moins connues, issues de la diversité. L’objectif principal de ce rapport a été énoncé par Emmanuel Macron au site Brut : il déplorait qu’une partie de notre histoire ne soit pas représentée et affirmait qu’une partie de notre jeunesse cherchait des héros qui lui ressemblent. Le postulat de départ est donc que la France n’exprime pas assez sa diversité dans le domaine odonymique, c’est-à-dire les noms de rues, de places, d’établissement.

    La première chose à pointer du doigt, qui est très flagrante, c’est le «je veux» macronien. Nous sommes dans un souhait présidentiel. Il n’y a pas eu une demande des maires de France qui auraient affirmé la nécessité d’une liste pour les guider dans le changement des noms de rue. […]

    Plusieurs choses. D’abord, j’ai du mal à saisir l’idée de départ : trouver à notre jeunesse des héros qui leur ressemblent. Mais sur quels critères s’établit cette ressemblance ? En lisant le rapport, on comprend que la notion de ressemblance se fait avant tout sur la question de l’origine des personnes. Une personne est honorée ou choisie parce qu’elle est d’origine italienne, sénégalaise ou vietnamienne. Une personne comme Émile Zola, personnage éminemment célèbre pour son œuvre littéraire, et reconnu en tant qu’écrivain français, est choisi parce qu’il a des origines italiennes. […]

    Diriez-vous que ce rapport porte une vision communautaire ?

    À mon sens, oui ! «Trouver des héros qui vous ressemblent» était l’objectif du rapport. Il est sain d’apprendre à s’aimer soi-même, mais il est aussi important d’aimer l’autre. Prenons le cas de femmes franco-françaises comme Olympe de Gouges ou Louise de Keralio-Robert, deux femmes importantes de la révolution. Ce sont des militantes qui ont combattu l’esclavage de façon viscérale. En quoi ces personnes ne peuvent pas être sélectionnées et mises en avant ? En quoi ne peuvent-elles pas être des modèles ? Parce qu’elles sont blanches et françaises ? Cela aboutit à des situations cocasses : les chercheurs sont allés jusqu’à trouver des origines très lointaines à des femmes pour les placer. Édith Piaf est citée parce que sa grand-mère maternelle est italo-kabyle. […]

    N’est-ce pas normal que l’on représente davantage des personnalités d’Algérie plutôt que d’Asie puisque nous y sommes davantage liés, par notre histoire récente ?

    Les personnes algériennes, d’origine algérienne ou qui ont un lien avec l’Algérie, représentent une cinquantaine de personnes. C’est énorme, cela représente 17 % de l’ensemble des noms du rapport, et 69 % des personnalités du Maghreb.

    Je pense que cela relève d’une vision macronienne. De fait, l’Algérie a eu un rôle important à jouer dans le présent quinquennat présidentiel. Entre autres choses, c’est dans ce pays qu’il a parlé de colonisation comme crime contre l’humanité, il a commandé un rapport à l’historien Benjamin Stora, et effectué l’hommage aux victimes de 1961. Cette prédominance de l’Algérie dans le rapport est, à mon sens, le reflet de la politique mémorielle du Président de la République. […]

    Le Figaro  via fdesouche

  • La France au pillage par le haut et par le bas

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

    synthesenationale

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    Olivier Pichon

    Il est des périodes dans l’histoire où un pays croit en lui et affiche une rigueur en gestion publique, ajoutée à un sens de la souveraineté économique ; ce fut le cas, toutes choses égales par ailleurs, de la France des Trente Glorieuses. Tout se passe aujourd’hui comme si le renoncement était la seule loi qui prévale. Alors, comme en biologie, les organismes affaiblis sont la proie de toutes sortes de prédations et de parasitismes.

    Le coût de l’immigration longtemps nié, les Français découvrent, un peu tard, que la prédation est partout, pillage de la Sécurité sociale, des millions de cartes Vitale en surnombre, ce qu’a démontré Charles Prats. Ce que l’on sait moins, c’est que les transferts unilatéraux (appellation pudique de la comptabilité nationale pour désigner les virements à l’étranger), en direction du Maghreb par exemple, constituent des montants non négligeables. Quand les immigrés espagnols ou portugais, dans les années 1960, pratiquaient ces transferts, ceux-ci provenaient de leur travail : aujourd’hui ils viennent des innombrables allocations sociales. Il faut aussi prendre en compte l’AME (1,5 milliard) et les coûts induits : délinquance, insécurité, justice, police, écoles, santé, toutes né- cessitant des dispositions particulières liées à l’immigration, qui augmentent la dépense. Globalement, un faible pourcentage (14 %) d’immigrés entrants travaille et participe au PIB dans un système, comme en France, où les transferts sociaux sont importants : 470 milliards de budget social contre 350 milliards pour le budget de l’Etat. Dans les années de croissance, le budget de l’Etat était supérieur au social. On voit bien aujourd’hui le déséquilibre entre le social et le régalien. Par exemple, plus l’insécurité augmente, plus elle induit des coûts sociaux publics, mais au détriment des mesures de sécurité qui relèvent du budget général. Un cercle vicieux est ainsi amorcé depuis trois décennies.

    Pillage par le haut

    L’affaire Alstom est emblématique ; nos amis américains ont obligé la firme à payer une énorme amende et l’ont contrainte à se vendre à General Electric en détournant le droit et la morale, pour les utiliser comme des armes économiques sous couvert de lutte contre la corruption (FCPA, Foreign Corrupt Practices Act). Mais dans la collection de nos amis, l’Allemagne joue aussi sa partition : d’ores et déjà la production du moteur Vinci est transférée de la France à l’Allemagne ; les moteurs d’Ariane 6, construits à Vernon (Eure), seront assemblés à Ottobrunn (Bavière). Coût du transfert : 40 millions payés par la France ! Grâce à l’euro, l’avantage compétitif est en faveur de l’Allemagne, et consacre l’hégémonie de l’industrie allemande sur sa rivale, ce qui lui permet d’accumuler les excédents commerciaux, tandis que la France accumule les déficits extérieurs (70 milliards). L’excédent allemand est de 215,6 milliards. Sans compter que le jour (proche) où les taux d’intérêt remonteront, c’est encore l’Allemagne qui sera maîtresse de ces taux, comme le laisse entendre le président de la Bundesbank Jens Weidmann. Dans ces conditions, que fera la France de son énorme dette (2 762 milliards) ? Moralité : la reconquête de la souveraineté est un gage de prospérité.

    Source : Présent 13/10/2021

  • L’explosion boursière arrive à la vitesse grand V !

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2021

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    Marc Rousset

    La BCE est déjà en train de préparer un programme d’urgence d’un QE illimité pour sauver l’Italie, voire la France.

    Ce nouveau programme permettra d’aider l’Italie avec un bazooka monétaire car il n’y aura plus de limitation maximale de la création monétaire par pays, selon des quotas maximaux prévus par les règles actuelles, en fonction du PIB, c’est-à-dire du poids de l’économie de chaque pays.

    Pour la galerie – parce que tout est censé s’arranger alors qu’en fait, tout se détériore -, on va donc en réalité accroître la création monétaire actuelle, par la BCE, de 20 milliards d’euros par mois et du maximum autorisé de 1.800 milliards d’euros du plan PEPP qui doit s’achever fin mars 2022.

    Les médias bien-pensants nous expliquent que la BCE va diminuer la création monétaire ; dans la réalité, la BCE va sans doute l’accélérer sans limite aucune, selon des décisions qui seront prises probablement fin décembre 2021 par Christine Lagarde, avec l’approbation des gouverneurs. La crainte est de voir les taux italiens s’envoler ; il s’agira de pouvoir éviter de nouveau, quoi qu’il en coûte, un crash obligataire et boursier italien. Le risque d’incendie et d’explosion en Europe, voire dans le monde, si l’on observe aussi ce qui se passe aux États-Unis et en Chine, approche sans bruit !

    Il suffit d’observer également en Bourse les premiers soubresauts. Les taux italiens sont actuellement de 0,89 %, au plus haut, avec une augmentation de 0,25 % depuis juin 2021. En Espagne, ils ne sont que de 0,49 %.

    L’or, qui végète actuellement, va s’envoler un de ces jours, comme le Bitcoin, mais sans redégringoler peu après. Le Président Macron, alors que la dette française approche les 2.800 milliards d’euros, se moque du monde sur l’état réel catastrophique de l’économie française car la faillite est d’ores et déjà inévitable à terme. L’explosion à venir de la zone euro est tout aussi inévitable, tandis que le fondateur d’« En marche vers la catastrophe » nous prêche les vertus de l’Union européenne et de la monnaie unique.

     

    Source : synthesenationale